Leslie Hs02
Leslie HS02 Hors-série La confidence de Joyce
Une nuit, avant de nous endormir, épuisée par nos ébats, alors que Joyce était lovée contre moi, elle ma fait cette confidence :
« Je fais souvent le même rêve et cela devient une obsession, il faut que te le raconte, peut-être quainsi cela va me libérer.
Imagines, je suis dans un demi sommeil, allongée nue dans ce lit dhôtel, je tire la couette matelassée sur moi, mon corps est parcouru par un léger frisson que la nuit froide mimpose.
Seule une petite lumière, venant de la lampe de chevet posée sur la commode, éclaire cette chambre dhôtel où jai pris mes quartiers pour la nuit.
Un grand lit confortable à deux places avec des chevets de part et dautre de la tête de lit, un bureau et deux chaises composent le mobilier et, bien sûr plaqué contre la cloison en face du lit une grande télévision pour les soirées solitaires des occupants de passage.
Juste ce quil faut pour passer pour une nuit quand je suis en déplacement.
Car en fait, je suis dans cette chambre pour passer la nuit, car je suis en déplacement pour mon travail.
Il est plus de minuit et la télévision diffuse des images de sexe dune chaine spécialisée, je repose mon téléphone sur le rebord de la table de nuit en souriant, je viens de recevoir un texto dun homme rencontré le jour même, il ma dragué et le courant est passé, alors il doit venir me rejoindre vers les deux heures du matin quand il aura bouclé tout son travail, il a un article très important à finir et à rendre avant limpression du magazine. Il est journaliste.
- Donnes-toi du plaisir en mattendant, commence sans moi avec ton gode, ma-t-il dit avant de raccrocher.
Un sourire nait sur mon visage, oui certainement que je vais commencer sans lui en lattendant, mon corps entier est dans lattente de plaisir.
Cette nuit jai létonnement de revoir cet inconnu rencontrer peu de temps auparavant, mon corps réclame du plaisir, il me trouve belle et désirable, je frisonne et je laisse mes mains glisser vers cette partie de moi qui ne demande quà senflammer et exploser dans la jouissance totale.
Je ne me reconnais pas dans ce rêve, mais je sais que cest moi, emprise à tous mes vielles chimères et tous mes fantasmes non assouvis
Je suis nue pour linstant, étalée dans mes draps. Lentement mes doigts caressent le haut de mon buste, mon épaule gauche, puis passent sur mes seins. Mes tétons sont déjà au garde-à-vous, bien fermes et dressés. Ma paume sempare de cette chair claire réclamant lindex pour que mon mamelon tournoie sous ses titillements.
Mouiller de ma salive le bout de mon doigt est doux sur mon téton qui sérige, je poursuis ma course en effleurant mon ventre tout tiède, mes cuisses sont encore fermées, alors jécarte lentement mes jambes, trouve les replis de mon intimité déjà humides, ce sillon source de plaisir.
Ohhh ! Que cest doux et chaud, un bonheur de frôler à peine avec mes doigts ces parties intimes de mon corps, je suis taillée finement, afin de sentir les poils courts de mon pubis et la peau complètement lisse en dessous que jentretiens jusqu'à mon anus, les hommes adorent ça et mon futur amant ne sera pas indifférent.
Ils peuvent ainsi sentir mon odeur de femme ardente, sans avoir les désagréments dune pilosité fournie.
Mais je dois me calmer, pas trop vite mes caresses, attendre un peu, laisser lentement mon corps entrer dans lémoi, alors lentement je pivote, pour me retrouver à plat ventre.
Mon pubis se pose bien à plat contre le drap, je tangue du bassin, je chaloupe des hanches, le frottement du tissu contre ma peau, doucement me fait frémir. Quelques minutes ainsi sans me toucher pour chavirer vers un doux vertige.
Et mon gode, que jai acheté sur le conseil dune amie en prévision de futurs instant de solitude, un gode à vitesses assez réaliste pour me donner du plaisir et pour titiller mon clitoris. Jai rapidement appris à men servir, de cet infernal engin couleur chair, je pense être devenue une pro, maintenant.
Javoue que les premières fois cétait trop intense pour moi, trop impatiente je nattendais pas que mon corps shabitue, mais maintenant quel délice de partir sous ces vibrations et sensations nouvelles quil mapporte.
Humm ! Jouir jadore ça
Le rentrer doucement dans ma vulve et appuyer sur la touche pour le faire vibrer après lavoir longuement fait coulisser en moi, sélectionner progressivement la puissance et me laisser maffoler complètement par cet engin qui me possède, alors jentre en transe et me voilà partie, je jouit.
Il est une heure du matin, je dois me lever pour mettre la panoplie dune femme sexy, comme il me la demandé. Je lai toujours avec moi en déplacement au fond de mon sac de voyage.
Guêpière, bas noirs à couture aux larges hauts en dentelle, string transparent ouvert, pour laisser libre accès à mes orifices, porte-jarretelles, le tout en dentelle noire, bref la tenue de la parfaite salope ! Juste un peu, mais salope quand même.
Il me désire habillée comme ça, enfin non ! Juste ainsi sous mon manteau, ça mamuse de me montrer ainsi, juste pour lui, enfin jespère
Tout à lheure je vais descendre dans le hall, avec, à mes pieds, des chaussures noires à talons aiguilles et à fines brides et dessus mon long manteau noir, bien fermé, afin de ne rien lui laisser deviner au premier coup dil, juste laisser limagination
Je suis trop excitée, lattente se fait longue et interminable.
Il est une heure trente. Aucun bruit autour de moi ni à létage, tout le monde dort.
Mon téléphone sonne, cest lui, jentends sa voix grave qui me fait fondre, me dire :
- Je suis devant lentrée
- Jarrive
Vite, jenfiler mon manteau, je sors de la chambre et je prends lascenseur. Le miroir de la cabine me renvoi limage dune femme qui va retrouver son amant, heureuse, je souris.
Il est là, il mattend et son sourire en me revoyant me donne encore plus envie dêtre avec lui dans la chambre. Ses baisers dans lascenseur sont plus quengageants.
Nous nous dépêchons dentrer et de fermer la porte à double tour.
Ses mains qui glissent déjà sur moi, il sassied sur le rebord du lit et alors que je suis de dos, il soulève le bas de mon manteau pour regarder.
Humm, splendide, dit-il.
La vue de mon petit cul enveloppé dans la dentelle noire doit laiguillonner, et aussitôt, il me retourne vers lui et commence à détacher un à un les boutons de mon manteau. Le dernier défait, lentement il écarte les pans du manteau et je me retrouve devant lui dans une tenue plus que sexy. Je le regarde et à ses yeux quil porte sur moi je vois quil apprécie et à envie, et nos regards qui se cherchent et se trouvent.
Ses doigts effleurent la soie de mes bas, caressent mes fesses et sattardent sur mes reins, puis reviennent sur mes fesses à peine protéger par la dentelle de mon string ouvert.
Il laime vraiment mon petit cul, il est doux et ses doigts le caresse, ses mains le malaxent, et je sens son désir monter.
Ses lèvres sapprochent de mon ventre pour y déposer un baiser, je fonds et ne résiste pas quand il me bascule sur le lit, et je me retrouve allongée sur le lit, sa tête entre mes cuisses et il commence à me à me lécher et à me dévorer par louverture de mon string qui lui laisse libre accès à mon intimité.
Jouvre grand les cuisses pour libérer laccès à lespace quil convoite, je nai plus de volonté tellement sa bouche me donne du plaisir.
Après un long moment de bonheur, il vient sur moi, alors je prends son sexe dans ma main, il est tendu et raide, et son gland est humide du liquide visqueux qui me montre son désir.
Son sexe je laspire dans ma bouche, jadore sucer, prends sa verge sur ma langue et mémerveille du plaisir que je lui donne.
Puis en position soixante-neuf, nous nous goûtons lun et lautre, explorer les points sensibles qui nous font soupirer et nous faire frémir de plaisir. La pointe de sa langue qui sattarde entre mes lèvres, qui écarte ma vulve pour entrer dans ma profondeur, et mon miel que je sens couler.
Puis il se redresse et se remet sur moi après mavoir écarté les jambes, ses lèvres reprennent possession des miennes et son sexe se pose sur ma vulve, juste à lentrée, les légers va-et-vient quil minflige mexcitent, puis jexplose quand il me pénètre de toute la longueur de son sexe qui vient frapper au fond de mon vagin.
Ohhh ! Que jaime ça, être pénétrée, bourrée par une belle queue, ballottée sous les assauts de mes amants, et lui sait y faire, mais bientôt je perçois ses doigts qui meffleurent la corolle de lanus, puis doucement je sens sinsérer en moi un et même peut-être deux de ses doigts.
Il me soulève, les mains passées sous mes reins et me glisse un oreiller dans le bas de mon dos, ainsi le bas de mon dos est relevé, offrant laccès à mon petit trou.
Jaime être ainsi, soumise et offerte, indécente aux velléités de mon amant et penser que dans peu de temps il va entrer et sortir de ma rondelle pour menculer au plus profond.
Je suis sous lemprise du plaisir, il fait de moi ce quil veut, se servant de mon corps à sa guise, je lui appartiens, je feule comme une louve et réclame comme une salope.
Jai maintenant lanus comblé par sa grosse queue et ses doigts sacharnent sur mon petit bouton sortit de sa protection, la jouissance memporte et je suis prise de vertiges, mon corps est prise de spasmes et frissons, des larmes coulent sur mes joues tellement lorgasme est fort et je jouis en mévanouissant
.
Quand je reviens à moi, jai toujours son sexe au fond de mon cul, je sens quil va marroser les entrailles, quil va se déverser en moi. Son sexe est si tendu et gonflé, inconsciemment mon anus se referme sur son membre lenserrant comme pour ne jamais le perdre, et il redouble ses coups de reins et il jouit au fond de mon cul en gémissant de bonheur
»
- Un rêve Leslie, me dit Joyce, jai rêvé, mais quand je me réveille mon intimité est toute humide et depuis je ne pense quà ce rêve
En me racontant sa confidence Joyce navait cessé de me caresser le membre de la main, caresse douce parfois, puis plus ferme dautres fois, en fait elle me tenait dans une parfaite érection en faisant bien attention de ne pas me faire jouir et se mettant sur le ventre et cambrant ses fesses elle me dit ;
- Prends-moi maintenant comme dans mon rêve !
Je suis passé par-dessus son corps, elle était offerte, indécente, attendant que je la pénètre de mon sexe raide, alors jai placé mon gland sur sa petite rosette frémissante de désir et lentement je lui ai investi son anus serré.
Joyce gémissait durant la progression de mon sexe en elle, trop heureuse de se faire sodomiser comme dans son rêve, plus je progressais en elle et plus elle hurlait de plaisir, ne retenant plus ses cris en soffrant à mes assauts.
Puis ancrer au fond delle, je suis restée un instant sans bouger, profitant de létroitesse de son fondement qui menserrait le sexe, puis je me suis mise à aller et venir en elle, en jouant de mes doigts avec son clitoris dénudé de sa protection.
Joyce jouit en hurlant la jouissance, la jouissance lemporte et elle est prise de vertiges, son corps vibre sous les spasmes et frissons, des larmes coulent sur ses joues tellement lorgasme qui lemporte est fort et elle hurle en sévanouissant
.
Quand elle revient à elle, jai toujours mon sexe au fond de son cul, je sens que je ne vais pas tarder à lui arroser les entrailles, je vais me déverser en elle comme dans son rêve.
Mon sexe est tendu et gonflé, son anus se referme sur mon membre lenserrant comme pour lempêcher de séchapper de son cul, alors je redouble mes coups de reins et lentends me dire :
- Ohhh, oui, comme dans mon rêve
Je vais et vient dans son cul, longtemps, comme si je voulais que jamais elle noublie cet instant, ou rêve et réalité se confondent dans un même moment.
Ohhh, jouit, me dit-elle, jouit !
- Alors je jouis au fond de son cul en gémissant de bonheur et en lentendant râler de plaisir
Nous sommes restées longtemps amantes avec Joyce, profitant de tous les instants pour prendre du plaisir.
Parfois en passant devant chez elle, je me dis que je monterais bien la voir
A suivre
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