Mes Aventures Aux Thermes - Le Sauna

Un samedi matin, mon maître annonça son attention de profiter de ses thermes personnelles durant toute la journée afin de se détendre, accompagné par des amis, ainsi que par moi, sa fidèle chienne.

Quelques minutes plus tard la cloche sonne, et mon maître, qui est encore en train de déjeuner, m’ordonne d’aller ouvrir la porte. Pour rappel, je suis constamment nue dans la maison, et ce matin ne fait pas exception. C’est donc en me cachant derrière celle-ci que j’ai largement ouvert la porte afin de laisser entrer les amis de mon maître.

Le premier homme entre en hurlant : « Et où est la chienne ? C’est quoi cet accueil ? »
Pendant ce temps il contourne la porte et m’att violement par les cheveux.

-Pardon, monsieur ! Pardon ! Je m’excuse !
-Regardez les gars ! Notre chienne est là, et nue comme il se doit ! Mais elle se cachait, et ça ça mérite une correction, non ?

J’entends alors des rires, et je me risque à lever les yeux. A mon grand soulagement, la porte est fermée et tout le monde se trouve dans le hall, seulement le nombre d’hommes présents me surprend.
Ils sont 6 en tout, et je me trouve à mouiller à la pensée qu’ils vont tous me baiser.

-Le mieux ça serait encore de la souiller, pour lui rappeler quelle est sa place ! Allez chienne, à genou, et fais voir comment tu utilises tes gros nichons de pute.

Je me mis à genou pendant qu’ils ouvraient leur brayette, et pus apercevoir qu’ils avaient tous des engins de taille considérable, et déjà bien bandés, avant que le premier ne me fourre sa queue bien épaisse entre mes seins. Je les maintiens ensemble très serrés avec mes mains, et il déverse très rapidement sa semence sur mon torse. Je ne pus rien faire avant que le suivant ne prenne sa place. Je reçu ainsi toutes leurs déjections sur le corps, qui est maintenant vraiment souillé.

J’ai rejoint ainsi mon maître qui, en me voyant, prit un air furieux.



-Je vois que tu as offensé mes invités ! Qu’à fait cette chienne, Pietro ?
-Elle s’est caché derrière la porte, nous privant ainsi de la vision de sa nudité alors que nous étions transi en attente d’une chienne en chaleur !
-Chienne ! Au pied ! Tu vas regretté ta pudibonderie !

Il m’attacha alors avec force une pince à linge à chaque téton. C’est douloureusement excitant.
C’est donc couverte de sperme qui me dégouline sur le corps et de pinces à linge qui meurtrissent mes seins que je conduis les hommes au vestiaire.

-Chienne, distrais-nous le temps qu’on se prépare, et ça doit être excitant ! Pas trop compliqué pour une pute en chaleur qui attend de se faire saillir.

Ces mots me font si possible encore plus mouiller. Avec mes deux mains j’ai commencé à étaler le sperme sur mes seins en les pétrissant, fort, au passage. Je me mis alors à tirer sur les pinces jusqu’à m’arracher un cri de douleur. Mes tétons sont rouges et durs, très durs. Je continue ce jeu encore quelques instants, avant de prendre une quantité importante de sperme dans ma main et de la porter à ma bouche. Je coule le sperme dans ma gorge, et puis je lèche ma main en regardant les hommes devant moi, tous enfin nu et le sexe dressé. Le sperme est froid et le goût n’est pas exactement pour me plaire, mais je vis que mon initiative est appréciée au soubresaut que firent leurs queues. Pour finir, je mis ma main sur mon sexe et il plante directement mes 5 doigts.
Je suis tellement mouillé que je ne sens aucune douleur, et faillis même presque jouir sur le coup.

-Cette pute est vraiment trop bandante !
-Je vous l’avais bien dit. Et aujourd’hui, tous ses trous sont à vous messieurs.

Avec ces mots et ma main dans ma chatte, je jouis d’un coup en un cri silencieux. La punition ne se fit pas attendre, et mon maître m’arracha d’un coup les pinces à linges, accompagné cette fois d’un cri de douleur bien audible tellement la douleur est forte et saisissante.
Mon maître, ainsi que les autres hommes, me regardent avec un grand sourire.

Mon maître me mit alors un collier autour de coup, avant de tirer dessus pour me mettre à 4 pattes me faire avancer. A côté du sauna, il m’installe, toujours à 4 pattes, la tête dans une grande roue de pierre sur laquelle on peut observer 5 attaches équidistantes. Il attache alors mon collier à chacune de ces attaches à l’aide de corde. Comme c’est le but, je ne peux absolument plus bouger ma tête.

-Chienne, nous voulons profiter du sauna. Et c’est bien beau de prendre une douche pour se protéger, mais nos queues méritent mieux que ça. Tu vas donc t’occuper personnellement de l’humidification de nos queues avec ta gueule, comme une chienne, c’est compris ?

Je hoche la tête. J’avais bien compris. Cependant, pour ne pas m’, je dois me maintenir avec mes bras, de sorte que je ne peux en réalité rien faire que de les laisser agir, de m’imposer leur volonté et leur rythme, et donc de me dominer. Le meneur, Pietro, s’approche de moi et me la fourre directement au fond du gosier. Je ne pouvais plus respirer, d’autant plus qu’il m’a prise par surprise. Je vois à ces yeux qu’il le sait, et que ça l’amuse énormément. Il me fait un peu flipper. Au bout d’un moment qui me semble infini, il me laisse enfin respirer avant de me la remettre au fond.

-Dis la pute ! Excite-moi un peu avec ta langue, car là j’ai l’impression de prendre le trou de mes chiottes, puisque je fais le boulot à ta place. Tu serais moins excitante qu’un trou de chiotte ? D’un autre côté, tu en es un de trou de chiotte, et de base qualité, en plus. Si tu ne te magnes pas, je ne te laisse pas respirer, c’est compris la pute ?

Je laisse échapper un hoquet. Ces mots, clairement humiliant, me font un effet de dingue, au point de me faire honte. A côté de ça, plus que dominant, je le sentais un peu sadique, et je suis persuadé qu’il suivra exactement ce qu’il vient de dire.

Je commence alors tout doucement à serrer mes joues en compressant sa queue, comme quand on veut tirer les dernières gouttes d’un berlingot.
Il gémit. Avec les joues douloureuses, je fais alors venir ma langue comme un petit sexe le long du sien, avec d’énormes bruits de succions. Ce jeu repris 3-4 fois, avec des arrêts juste suffisant pour me permettre de respirer, avant qu’il ne ma jute toute sa semence dans l’œsophage. Une fois terminé il se dégage et je le nettoie du mieux que je peux. A ma grande stupeur, je vois qu’il se met à rebander, et je me dis que ma journée est vraiment loin d’être fini.

Les hommes suivants me donnent raison, car à l’image de leur chef, ils me prennent tous de cette même façon très dominante et humiliante pour moi, et reprennent de la vigueur tout aussi vite.
Je me sens vraiment chienne, et même pire, je commence à me sentir un peu trou de chiotte, et pourtant je prends mon pied à un point imaginable. Ce qui m’excite particulièrement, c’est de voir mon maître, dans le sauna avec les hommes qui ont déjà eu leur tour, me regarder avec satisfaction alors que je suis couverte de sperme, souillée et utilisée alors que lui-même ne profite pas de moi. Je me sens fière de lui obéir, de me laisser souiller par ceux qu’il a choisis, et de lui offrir ainsi ma jouissance.

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