Le Parc Perdu
La nuit déroule son ciel. Les étoiles brillent encore plus que dhabitude. Jai rendez vous tout à lheure avec celle qui va me faire connaitre des plaisirs particulièrement relevés. Elle est grande, châtain clair. Ses seins sont un peu lourds pour ses 25 ans. Le peu que jai vu de ses cuisses, lautre jour dans la salle de gym était parfait. Nous nous sommes revus à la sorti. Elle devait être en manque, puisque nous avons bu un café, elle a tenue à passer sur la table la plus cachée. Je comprenais ce quelle désirait quand elle a pris ma main pour la poser sur sa jambe. Je relevais le bas de la jupe, je passais ma main pour aboutir sur son trésor de femme. Elle était toute mouillée, pour dire lurgence. Je ne suis pas un spécialiste de la masturbation féminine, jarrivais à la contenter. Elle ma donné rendez vous pour ce soir, dans le square à la sortie de la ville. Elle me fait attendre un bon quart dheure. Jai patienté avec raison ; Elle est venue toute pimpante avec un simple robe avec bretelles. Elle ne sest pas assise, seules ses lèvres ont effleuré ma bouche ; Elle ma entrainé à deux minutes de là, sur une grande place avec des bancs cachés derrière des bosquets.
Elle men embrassé, sa langue envahissant mon palais. Ses mains étaient colées derrière moi, sur la nuque. Pendant le baiser elle passait une cuisse sur la mienne. Elle me libérait le passage pour retourner vers ses mystérieux secrets. Linvitation était discrète et d'un coté directe. Elle avait une envie bien cachée. Sa peau était douce pour ma main, je caressais lentement sa jambe. Je montais doucement, je montais tellement quelle a encore ouvert son compas. Je retrouvais sa chatte. Cette fois encore plus mouillée que laprès midi. Par contre cétait bien plus facile : elle navait plus de culotte, barricade des femmes vers le plaisir immédiat.
Elle prenait linitiative en posant directement sa main sur la braguette : je bandais déjà, alors sa main en plus
.
Elle avait aimé la masturbation, je recommençais à lui en administrer une. Elle répondant fort bien en caressant la bite selon les normes internationales. Je ne sais qui lui a appris à branler si bien, à savoir juste le moment où elle devait arrêter pour que je ne gicle pas vite. Pour elle mes mouvements pouvaient ne pas cesser. Elle appréciait tant quelle jouit deux fois avant de me demander une suite plus complète.
Sa robe a glissé vers le sol. Cest nue quelle a voulu jouer. Mes mains se sont déchaînées sur son corps. Il était si doux, si séduisant, si tentant, si appétissant que je nai pas du oublier un pouce de peau. Particulièrement ce que je pouvais toucher des fesses. Venir des ses chevilles à ses genoux, monter encore plus haut, traverser le danger des cuisses pour aboutir à son nid de plaisir était excitant au possible.
Elle faisait monter et descendre le prépuce sur la queue. Elle tenait lhomme en entier. Je me serais laissé aller à un orgasme prématuré. Je voulais la baiser, pas me faire branler, quoi que.
Elle avait envie davoir son sexe assiégé et pris par lennemi : ma pine. Je ne pouvais pas lui faire de mal en restant assis. Elle venait sur mes genoux et encore avec une jambe de chaque coté. Je sentais son humidité sur les jambes. Elle sapprochait de moi, je venais vers elle. Nous nous sommes embrassés. Cette fois cest ma langue qui allait en repérage de patrouille vérifier si sa salive état bien aussi bonne que prévu.
Je prenais ma bite dans la main, je lapprochais de son sac à malice. Elle venait encore vers moi, je crois même que cest elle qui a fait le dernier mouvement.
Je passais mes mains sous ses fesses comme pour la soulager des vas et vient. Mes doigts glissaient vers sa raie. Elle avait écarté ses jambes, jécartais ses fesses tant que je pouvais caresser son anus. Elle nen demandai pas tant, ne protestait pas. Je sentais ma queue au fond de son établissent de plaisir. Jen avais trouvé un autre que je ne lâcherais pas. Javais raison de continuer, un doigt a suffit pour caresser le cul. Elle en remuait les fesses. Jentrai doucement en elle par lautre coté, ainsi jétais dans tous ses trous du bas. Je la possédais par le con, jallais me gêner pour entrer dans son petit trou secret. Je la sentais bien souvrir. Elle devait avoir lhabitude de la sodomie. Jen profitais largement. Ma langue filait dans sa bouche, ma queue vers sa matrice et mon doigt au fond de son cul.
Cest à ce moment quelle a eu un spasme que je navais encore jamais remarqué chez une fille, alors que jétais encore loin de jouir. Elle était secouée sans cesse, gémissait, se tordait sans fin. Je continuais à la limer des deux cotés. Jai donné ma semence dans le fond de son con, jenfonçais mon doigt le plus loin possible : elle faisait part de son orgasme en me mordant les lèvres.
Elle avait eu raison de memmener vers ce parc perdu. Nous nous y sommes retrouvés souvent : elle baisait si bien. La dernière fois que nous avons baisé elle me disait quelle devait partir à létranger se marier à un type, son fiancé. Tant mieux pour lui sil la baise comme moi.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!