Baisée Par Mon Vieux Voisin -2-
"Viens là mon petit vide couille.."
Cela fait trois soirs de suite que René vient s'occuper de moi. Dès que sa femme va se coucher, il fait mine d'allumer sa télé et vient chez moi, je laisse la porte ouverte. Il me prends alors peut importe mon occupation. Aujourd'hui j'étais nue sous ma douche quand il est arrivé. Il m'a plaqué contre la paroi et ma surnommé son vide couille.. C'est le nouveau surnom qu'il me donne, j'adore ça. J'adore qu'il me parle mal et me considère comme sa chienne. Je l'entends defaire son pantalon tandis que je suis plaquée contre la paroi "René.. Baise moi..." Il ne se fait pas prier. Pas de préliminaires, il est déjà tout tendu et je sens qu'il tire mon cul vers lui. La douche est encore en marche et nous somme trempés tandis qu'il s'insère d'un coup sec. Je pousse un gémissement appreciateur... J'aime sentir la bite de mon René dans mon vagin. À mon gémissement je l'entends rire, je sais qu'il adore toute cette situation, avoir sa jeune voisine de 22ans en soumise l'excite comme jamais. Il commence ses va et viens et je frissonne de plaisir, c'est si bon. Ses mains sur ma taille je le sens aller de plus en plus vite et de plus en plus fort, ses couilles claquent contre mon cul. Le plaisir monte et bientôt je ne peux me retenir de lâcher un gémissement sonore. C'est siii bon... En trois jours l'attitude de René a changé. Il ne cherche plus à me retenir, je peux jouir aussi fort que je veux je dois juste éviter de dire son prénom.. Ainsi sa femme pense que j'ai un amant en or sans se douter que cet amant est René... Comment y penser en même temps ? Quelle jeune femme se laisserait ainsi baisée par un vieil homme ?
"Salope va, tu aimes ça hein ? Tu aimes la bite de papy René ? Tu aimes être son petit vide couille ?" "Ouiii... Ouiiii... ooOOOOOh encore... Plus fort !"
René répond à mon désir et s'enfonce toujours plus à chaque va et viens. Je lâche un nouveau cri de plaisir quand je le sens enfin se vider en moi.
Il sort de la douche et s'essuit tandis que je suis alletante contre la paroi. J'ai l'impression de l'avoir encore en moi et je le veux encore..
Je l'entends sortir de la salle de bain et je reprends finalement ma douche avant de sortir et de me sécher. Je suis nue. Il est assit sur le canapé et n'a pas pris la peine de remettre son pantalon. Gourmande, je vais m'asseoir sur ses genoux, face à lui, et je frotte mon entre jambe à sa bite. Toujours aussi vif sa bite se remet à bander.
"T'en veux encore pas vrai ma pute ?"
"J'ai attendu ça toute la journée"
"Viens là alors, je vais te fourrer comme il faut"
Il att ma taille et la soulève, consciencieuse je m'empale alors sur sa bite et commence à faire des mouvements de va et viens pour la sentir le long de mon vagin. Pendant ce temps là, René me mordille les seins. Très vite tout s'accélère et René jouit une nouvelle fois en moi... Je gemis de plaisir et lui att le cou pour l'enlacer. Je ferme les yeux parcouru de plaisir. "C'est si bon mon vide couille... Demain je pars en weekend à la pêche, tu vas venir avec moi, je vais te présenter à mes amis, je leur ai beaucoup parlé de toi et ils sont très intéressés". J'écarte la tête pour voir son visage, il me lance un regard lubrique "Ils vont me baiser ?" je demande alors. "Oh que oui. On va bien s'occuper de toi pendant deux jours entier mon vide couilles". Je pousse un gémissement de plaisir et reprend mes va et viens, la bite de René est toujours en moi et rapidement il se remet à bander.
Le lendemain je l'entends qui frappe chez moi dès qu'il a dit au revoir à sa femme. Il m'a dit de prendre le strict necessaire et que je ne serai pas souvent habillée. J'ai donc mis une robe sans sous vêtements et je l'attends avec mon petit sac à dos. Ensemble nous descendons au rez de chaussé et là une voiture nous attends.
Excitée par la situation je me penche et prends la bite de Maurice à pleine bouche. Je la suce avec ferveur quand je sens soudain qu'il me donne des coups de reins, il est en train de pilonner ma bouche. Il maintient même ma tête pour que je ne bouge pas et soudain, il jouit. J'avale ce que je peux et manque de m'etouffer, je tousse pendant que les trois hommes éclatent de rire. "Elle est bien chaude cette petite, à la station service c'est toi qui conduira Maurice"
Maurice acquiesce avant de coller mon visage à son sexe "lèche le, ne t'arrête pas du voyage" alors je m'active et obéi tandis que la main de Maurice va fouiller sous ma robe. Toujours dans un éclat de rire il dit "Le vide couille n'a même pas de sous vêtements" "Quand je vous avez dis qu'elle n'attendait que ça" réponds mon René, tout fier. Un regard vers lui m'indique qu'il se branle, il adore me voir sucer son ami.
À la station service, Maurice sort et Hubert va pour prendre sa place. Tandis que René et Maurice vont aux toilettes il me met à quatre pattes sur la banquette et deboutonne son pantalon.
Le reste du voyage je le passe à sucer Hubert et quand nous arrivons dans le petit chalet de René, au bord de l'eau, tous les trois sont très excités. À peine les affaires sont-elles posées que René me deshabille, mordillant mes seins. "On va te prendre par tous les trous mon vide couille" je fremis, on ne m'a jamais baisé ainsi... Mais j'ai tellement envie d'essayer. Ils se dehabillent tous les trois et je les sens bientôt me toucher de partout, je suis leur petite chose et ils comptent bien me baiser comme une chienne. René s'allonge alors sur le lit double du chalet. Nous n'avons jamais fait ça dans un lit lui et moi. Il me fait signe de le rejoindre et m'attire sur lui, il me caresse l'entre jambe avec sa main tandis que Hubert sort du lubrifiant qu'il étale au niveau de mon anus. J'avais peur pour ce trou là mais c'est une bonne nouvelle que Hubert s'en occupe, cela durera moins longtemps. Maurice quand à lui se met à l'avant du lit et une fois le lubrifiant installé, je sens la bite de René en premier. Je gemis son nom, sa bite m'a tellement manqué. Mais rapidement ma voix est coupée, Maurice met sa bite dans ma bouche et commence à la pilloner quand Hubert dans mon dos, s'attaque à mon cul. Je frissonne, je gémis, j'ai mal et soudain, je ressens du plaisir de partout. Ils me pilonnent tous en même temps et je ne suis plus que leur vide couille. Des vagues de plaisir me submergent, tout comme le sperme de Hubert toujours aussi précoce suivit une minute plus tard de Maurice. J'essaie d'avaler sa semence tandis qu'il se retirent tous les deux. Il ne reste plus que mon René. Je dégouline de sperme et enchaîne les orgasmes, René n'a jamais tenu aussi longtemps.. Il a du prendre quelque chose. Nous ne sommes plus que tous les deux dans le lit et il me pilonne tandis que les deux autres se branlent.
Notre séance de baise finie, les trois hommes décident d'aller pêcher. Ils vont donc s'asseoir au bord de l'eau tandis que je reprends des forces. Une heure après je sors enfin du lit et remet ma robe. Je vais les voir et m'asseoit sur les jambes de René. Il a un petit rire et soulève ma taille "Attends ma puce, on va faire en sorte que tu profites aussi" il deboutonne son pantalon et soulève ma robe avant de me guider sur son pénis tout tendu. Je m'empale, il pousse un soupire de plaisir. Là je fais des mouvements de va et viens en gémissant de plaisir.
En rentrant ils me reprennent tous les trois en même temps puis Maurice me prends seul en levrette pendant le film que nous regardons. Je vais me coucher avec René tandis que les deux autres finissent dans le clic clac. René m'att dès que j'arrive et caresse mon corps "Alors mon vide couille ? Tu aimes ce weekend ?" "C'est si bon René... Mais, ta bite est meilleure que celles de tes amis" il éclate de rire, flatté "Tu en veux encore ?" demande-t-il alors que ses doigts fouillent ma chatte et que je mouille comme jamais "Oui René... Encore s'il te plait.."
René écarte alors mes jambes et se place entre elles. Toujours sans le moindre préliminaire, il s'enfonce dans mon vagin et fait des va et viens si rapides que ses couilles claquent contre mon cul. C'est si bon, je gémis de plus en plus fort "René ! Oooooh Renééé ! Oooooooh ouiiiiiii" Rapidement l'orgasme arrive, mais pas chez René, qui continue. Il finit par jouir et sort sa bite de moi avant de m'attirer contre lui "Tu es un vide couille pour vieille bite, ne laisse aucun jeune s'en approcher" j'acquiesce encore hebétée par tout ce sexe "René, il n'y a que toi ou ceux que tu chosiras qui pourront me baiser... Je suis ton vide couille René"
A suivre
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