Leslie Hs03
Leslie HS03 Hors-série Diane, la fille de Joyce
Je vous lai dit, Joyce, la femme cougar que javais rencontré un soir et avec qui javais eu une relation inoubliable, a une fille, Diane, nous nous sommes rencontrées le dimanche soir après un week-end torride avec sa mère, et elle ma revue plusieurs fois à loccasion de mes visites chez sa mère.
Elle savait que nous avions une relation, et ne sen offusquait pas, même si elle pensait que jétais une fille et que javais presque son âge, jai même parfois remarqué le regard de Diane qui me regardait avec insistance et peut-être du désir, et Diane ne se gênait pas de me faire des clins dil complice en passant sa langue sur ses lèvres, avant de me dire :
- Tu sais, Leslie, moi aussi je taime bien !
Un jour on a sonné à la porte de lappartement, jétais seule ce samedi soir, Laure étant dans sa famille pour le week-end.
En ouvrant la porte jai découvert une frêle silhouette, la fille de Joyce était là sur le pas de ma porte, elle venait davoir dix-huit ans puisquune fête avait eue lieu la semaine précédente. Javais été invité mais un contretemps men avait empêché.
Elle paraissait embarrassée
- Bonjour, que puis-je pour toi ? Lui demandais-je.
- Euh, c'est-à-dire
enfin voilà, ma mère est partie dans la famille et je suis seule à la maison, il ny a plus rien à manger et elle ne ma pas laissé dargent
- Ce nest rien, entre nous allons passer la fin de laprès-midi ensemble et après nous dineront.
- Cest que jai des devoirs à terminer
- Alors vient vers dix-neuf heures, je prépare une dinette et ce sera bien.
- Ok, merci, me dit-elle, à tout à lheure.
Comme prévu, elle est venue diner, elle rigolait tout le temps et, sans sen rendre peut-être compte, elle ma dragué, alors après le repas je lui ai proposé daller danser, elle était heureuse, car avec sa mère elle navait pas souvent loccasion de sortir
Nous avons passé une belle soirée et avons dansé comme des folles, Diane était heureuse de passer un tel moment et bien-sûr nous avons un peu bu.
Il est quatre heures du matin, quand nous rentrons de boite, encore un peu soûles davoir tant bu toute la nuit et aussi encore enivrées de musique.
Le jour commence à se lever en ce mois de juin et il va faire beau aujourdhui.
Dans lascenseur, qui nous conduit chez moi, je hume une nouvelle fois son parfum envoutant. Je sens quelle na quune envie, celle de mentendre lui dire que jai envie delle, quelle soit contre moi et que je lui fasse lamour.
Dans le club où nous nous étions rendues, après une danse, elle ma regardé et ma dit :
- Tu me plais, mais cest la première fois !
- Que tu viens ici ?
- Non, celle davoir décidé davoir une relation avec une femme.
Nous avons parlé et nous nous sommes rapprochées, le courant passait, en dansant enlacées lune à lautre, elle continuait de me draguer, collant son corps contre le mien et nattendant que ma permission pour membrasser.
Elle me disait que maintenant elle était majeure et quelle pouvait avoir les relations quelle voulait, je lécoutais en me laissant aller et profitant dune dans langoureuse, elle ma embrassé et, collée à elle au milieu de la piste de danse elle a su, à ce moment-là, que je nétais pas vraiment une femme, mais cela ne la pas dérangé, elle ma juste dit :
- Ce sera aussi un premier pas, mais dun autre genre.
Elle ma raconté sa vie, ses aventures amoureuses et son désir davoir une relation avec une femme, mais que comme je lui plaisais cela ne la dérangeait pas, avec une femme ce serait pour plus tard.
Nous sommes rentrées dans lappartement et aussitôt, je la serre dans mes bras, je la couvre de baisers dans son cou, je goûte encore ses lèvres si douces, je memporte déjà et je laisse mes mains ségarer sur son corps.
ment, mes mains fouineuses se sont insinuées sous son pull. ment, il y en a une qui a cherché à ouvrir son pantalon de cuir, avec succès dailleurs ! Et du coup me voilà avec une main sur un sein palpitant, en haut, et lautre main sur une chatte brûlante, en bas.
Nous passons dans le salon, je la coince contre le mur et je la déshabille fébrilement, affamée delle que je suis.
Son jean, ses chaussures, ses socquettes et la culotte ont valsé dans le salon, pour se retrouver nue devant moi, elle halète dans mes bras, soffre si indécemment
Elle maccueille et je ressens par toutes les fibres de mon être, tout lamour quelle a en elle et quelle désire moffrir.
Je la regarde un moment pour profiter de la vision de son corps juvénile, elle a un joli minois de jeune fille, des petits seins à peine formés pour une fille de son âge, un ventre plat et une silhouette mince, des hanches à peine prononcées et une pubis complètement glabre qui lui donne un air dadolescence, ses lèvres intimes bien sculptées sont visibles.
Elle est si belle, et si jeune, ses petits seins sont si doux !
Je fais rougir ses tétons, les titillant et les agaçant du bout de ma langue, elle se pâme sous le plaisir qui lenvahit, et elle dit :
- Ohhh, comme cest fort, jétais loin de me douter
- Et encore, dis-je, ce nest que le début.
- Ohhh, mon Dieu !
Je la butine debout dans le salon ; elle ma bien allumé et je nai pas de limite, elle va connaitre tout du sexe. Lentendre gémir mexcite et je mon sexe raide, alors je lemmène dans ma chambre.
Elle se met sur le lit et la voilà, les jambes repliées, les talons contre le cul, largement ouverte et offerte, le regard brillant et le souffle court.
Elle attend emprise despérance et du désir fou, que simplement je me jette sur sa chatte chaude et trempée, que dis-je, ruisselante.
Je pose mes mains de chaque côté, à lintérieur de ses cuisses et je commence à la lutiner, caressant tendrement chaque centimètre carré de sa peau, je goûte son désir, son impatience. Enfin, je lèche ardemment sa vulve imberbe quelle me tend.
Ohhh, merveille de sa jeunesse et de son indécence ! Jaspire ses nymphes, baise son petit clito, suce ce petit bout de chair qui sérige sur les lèvres, je le fais tourner sur ma langue, elle saffole et gémit, et dans un souffle elle soupire :
- Ohhh, oui, je pars !
Elle jouit fort, elle se cambre, soffre un peu plus à ma bouche gourmande, la respiration courte ! Ma langue coquine, sinsinue en elle et jexplore son illet, elle ne me repousse pas se délectant de cette caresse et soulève son corps pour soffrir, comme pour me montrer son assentiment.
Je bande comme une folle, je me redresse et magenouille entre ses jambes, dépose ses jambes sur mes épaules et mon sexe vient caresser les parties intimes de son corps.
Elle ne sait pas par où je vais la pénétrer, mais son regard me dit quelle est daccord, mon choix sera le sien, quel présent !
Elle à la chatte ouverte et la rosette offerte, je nai quà choisir, alors tout glissant deux doigts dans la moiteur de sa chatte, je me penche pour me saisir dun gode dans le tiroir du chevet de lit, et je lentends murmurer :
- Ohhh, oui !
Le gode est de belles dimensions, Diane le regarde avec désir et pendant que je le porte à mes lèvres pour lhumidifier, je doigte la chatte de ma si jeune amante, son regard de braise parle pour elle et ses gémissements tombent comme des perles à mes oreilles.
Jhumidifie le gode à sa source en le prenant dans ma bouche, elle me regarde faire, puis je place le gland devant sa fente et le plonge en elle, elle sarque boute dans un long râle de plaisir et retombe quand je commence petit à petit à faire aller et venir lengin en elle.
Comme elle est belle dans son plaisir, des râles séchappent de ses lèvres, sa tête si jolie ballotte de droite à gauche. Elle jette son ventre contre ma main, cherchant à avaler le gode encore plus loin et je fais comme elle veut, plus fort et plus vite, et aussitôt elle émet un long cri de jouissance
Doucement je continue de la baiser avec le gode, en pénétrations lentes et profondes, afin de la retenir dans cet état dextase où elle se trouve, surfant sur la vague de son plaisir, elle ondule langoureusement, incroyable jeune fille envahie de jouissance, alors je me prépare à lincroyable
Sans que je me déplace, juste me redressant un peu, mon gland effleure sa rosette offerte, et alors elle me prend le membre dans sa main et le positionne à lorée de sa corole, en disant :
- Oui chérie, sodomise-moi !
Elle prend du plaisir à me regarder dans les yeux dans lattente de la pénétration anale, alors je pousse en elle et entre le gland dans son anus brulant, la faisant soupirer en disant :
- Oui, vas-y !
Je menfonce en elle, tandis quune larme perle au coin de ses yeux, du bonheur ou de la souffrance, mais elle marrange daller plus loin, plus profondément en elle.
Alors je menfonce au plus profond de ses entrailles et commence à la pistonnée, prise par le gode dans sa chatte et mon sexe dans son cul, Diane délire et hurle des mots incohérents, emprise à lorgasme qui la terrasse à nouveau.
Longtemps elle accepte cette double pénétration, les yeux dans le vague, puis me demande de la prendre en levrette et sinstalle aussitôt dans cette position la tête dans les oreillers en disant :
- Je ne veux sentir que ton membre dans mon cul, je veux être ta petite enculée de Diane !
Cest bon, comme ça derrière elle, je prends plaisir à la chevaucher sauvagement en lui claquant le cul, comme une petite fille qui le mérite du fait daimer de se faire enculer. Elle aime, ma petite salope et me le dit, bientôt ses fesses sont rougies sous mes coups secs et cinglants, elle ne se dérobe même pas et en redemande :
- Oui jadore que tu me claque les fesses en menculant !
Je vois son dos qui se creuse, son cul qui se tend allant au-devant de mes pénétrations et sa tête quelle rejette ben arrière en se retournant pour réclamer un baiser.
Et sa voix rauque qui hurle son plaisir :
- Bourres-moi, je suis ta petite salope et je jouis de toi !
Son adorable corps vibre, elle halète et dans un hurlement, un orgasme puissant la submerge, elle se crispe et le plaisir coule delle sur ses cuisses et je jouis à mon tour en violentes saccades qui lui remplit les entrailles.
Nous restons ainsi un moment, puis je me dégage delle et elle vient, pleine de tendresse, membrasser, et soudain je vois son regard plein de vice et je me dis quelle nen a pas fini avec moi.
Elle me cajole et me murmure des mots doux et des mots crus, ses baisers profonds me troublent, et ses mains si douces me caressent le corps. Ses mains soupèsent mes seins gonflés, pincent mes tétons qui durcissent, elle agace mes pointes et je chavire
Une main descend le long de mon corps et trouve mon membre, je tressaille, elle le prend et le fait branle, je mabandonne à ses caresses si précises pour cette jeune fille.
Sensuelle et sadique, elle me branle de plus belle, je suis folle sous ses caresses, alors elle me dit :
- Jai vu dans ton tiroir un gode ceinture, je vais le prendre et te sodomiser avec !
Elle séquipe en un rien de temps et peu de temps après je sens sa tête du gode contre mon illet et dun coup dun seul, elle le pousse dans mon cul ? Jai le souffle coupé par le gode quelle menfonce dans lanus, puis elle le fait coulisser dans mon cul, un peu rudement dabord, car elle na certainement pas lhabitude et me baise comme une chienne, je râle fort et défaille sous la violence du plaisir, en lui demandant dêtre douce.
Je suis ouverte, pleinement engodée par le cul ! Maintenant elle le fait coulisser et bouger doucement, je suis étroite autour de lui, elle mencule maintenant comme si elle avait toujours fait cela et en me branlant elle me fait jouir à nouveau.
Après mavoir libérée de son étreinte, elle membrasse et me serre contre elle en me disant :
- Jai adoré, et toi ?
- Moi aussi !
Nous nous sommes couchées, dans les bras lune de lautre, heureuses, repues damour et de luxure. Avant de sendormir, Diane ma dit à loreille :
- Demain on recommence ?
- Comme tu veux, lui ai-je répondu.
Nous avons passé un week-end de folie, Diane était toute aussi sexuelle que sa mère, heureuse elle ma quitté le lendemain, mais elle est revenue, plusieurs fois et sa mère aussi
Mais jamais en même temps
Fin.
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