Les Aventures De Johanna: Suite 1

David confia donc Johanna à Vincent. Celle-ci ne le connaissait pas mis à part ce vigoureux coup de queue qu’elle venait de prendre.
Elle partit sous la douche pendant que les deux hommes continuèrent de boire les apéritifs qu’elle venait de leur servir. La fraicheur de l’eau qui coulait sur sa peau lui remettait un peu les idées en place. Plein de questions lui venaient à l’esprit et tout d’abord comment David avait fait la connaissance de Vincent. Comment pouvait-il lui confier sa femme, entièrement, sans aucune appréhension. Bien évidement elle savait que certains hommes aiment se sentir cocus mais là c’était différent : David ne voulait même pas être présent pour voir, pour se branler en regardant, Elle avait peur que son mari veuille se débarrasser d’elle en la jetant dans les bras d’un inconnu. Et après ? La jetterait-il comme un kleenex ? Johanna l’aimait bien trop pour envisager ça. Elle réfléchissait et en même temps se réjouissait des évènements. Curieuse sensation. La peur et le plaisir. Elle retourna dans la salle, nue sous son peignoir.
Vincent était partit. Elle se blottit comme à son habitude contre David, la tête sur son épaule.
_Dis-moi mon chéri, tu m’aimes ? »
_Bien sur mon cœur, ne te l’ai-je pas prouvé à l’instant ? »
_Si bien sûr, mais j’ai un peu peur. »
_De quoi mon trésor ? »
_Que tu te dégoute de moi, que tu ne me veuille plus. »
_Alors écoute : Je ne veux que ton bonheur. Je sais que tu aimes le sexe comme peu de femmes. Je sais aussi que malgré que j’aime aussi ça énormément je ne pourrais te satisfaire seul pleinement. Un homme peut faire deux à trois fois l’amour de suite s’il est en pleine forme. Une femme peut se faire prendre par une multitude d’hommes à la suite et son plaisir se décuple à chaque fois. Tu vois nous ne sommes pas fait pareil et c’est la nature.
Si nous continuions comme avant, tu m’aurais trompé à coup sûr et nous serions devenus un couple ordinaire, cocus certainement l’un et l’autre et le divorce aurait clôturé le tout.

En acceptant l’un et l’autre ce jeu, c’est un renouveau sexuel pour nous et cela n’a absolument rien à voir avec la tendresse de mon amour infini pour toi. Jouer avec nos corps avec d’autres personnes ne changera jamais l’amour que je te porte. Si pour toi ça ne le fait pas, dis –le moi et on arrête tout. »
_Oh non, pas du tout, ça me va très bien, le fait de me retrouver le soir avec toi pour m’endormir dans tes bras, te faire des câlins et tout ce que tu as envie me convient, je t’aime. Mais si en plus tu me fais vivre une vie sexuelle intense, même par procuration, me fera t’aimer encore plus, si cela est possible. Juste une question : connais-tu bien Vincent ? Es-tu sur que je ne risque rien avec lui ? »
_Fais-moi confiance, je le connais très bien mais je ne peux tout t’expliquer maintenant, ça briserait le charme. Suis-le, fais tout ce qu’il te demande sans discuter et tu deviendras la vraie salope que j’ai envie d’avoir pour femme. »
_Je ferais ce que tu veux mon amour. »
Ils se couchèrent et elle s’endormit la tête pleine de fantasmes.
Le lendemain, au réveil, Johanna se mit à sucer son mari comme à l’habitude. « La petite pipe du matin » comme ils l’appelaient. Elle avala le jus chaud puis se recoucha de son côté pendant que David se levait et de préparait à partir au travail. Comme tous les matins elle entendit la porte se fermer dans sa somnolence. Presque aussitôt, elle sentit la présence d’un homme dans son lit. Elle se retourna brusquement et vit Vincent près d’elle. Il était entré nu dans le lit.
_C’est bon un lit encore chaud, nous allons faire cocu ton mari dès maintenant »
_Je dois t’obéir, alors allons-y ! »
_Commence par me sucer dit Vincent »
Johanna prit la grosse queue dans sa bouche. Elle était vraiment plus grosse que celle de David qu’elle venait juste de faire dégorger. De toute façon, elle adorait sucer. Elle aimait sentir cet énorme morceau de chair dans sa bouche et avait même l’impression de maitriser l’homme en le tenant ainsi par sa partie la plus vulnérable.
Vincent l’arrêta au bout d’un moment.
_ Maintenant, je vais te baiser, mets-toi à quatre pattes.»
Elle s’exécuta et il l’empala d’un coup, la chatte étant humide et glissante depuis longtemps.
_Oooh ! S’exclama-t-elle »
_Un problème ? »
_Bien au contraire, j’adore ! » Dit-elle en sentant le pieux de chair envahir son ventre.
Elle était aux anges. Elle trompait son mari avec son consentement. L’autre lui limait consciencieusement la chatte avec son membre géant. Elle pensait à David qui était sur le chemin du travail et elle prenait de la bite gentiment. Elle se mit à mouiller encore plus. Elle se sentait vraiment salope et y prenait du plaisir. Le piston lui labourait le vagin, aspirant puis compressant ses entrailles. Elle aurait aimé que ça dure une éternité. Elle jouissait par petits coups, au fur et à mesure, comme en attente de l’explosion qui allait venir. Elle ne pouvait s’empêcher de prendre du plaisir à cocufier son mari.
Son ventre réclamait la verge de cet homme dont elle ne savait rien si ce n’est qu’il était son voisin et qu’il avait conclu un pacte avec son mari. Mais c’était si bon de se faire mettre par cet inconnu à la queue énorme. Il la bourrait de plus en plus fort et c’est ce qu’elle aimait. Elle jouissait de plus en plus, presque en continu. Soudain, elle senti le membre grossir encore plus puis une explosion de sperme envahit ses entrailles. Vincent rugissait de plaisir en criant :
_Prends-ça salope ! »
Elle jouit à son tour une dernière fois. Une jouissance beaucoup plus forte que les autres. Ce que l’homme venait d’hurler avait décuplé son plaisir. Elle se surprenait à aimer se faire insulter.
Johanna sentit comme une aspiration au retrait de l’énorme pieu qui se retirait de sa chatte. Vincent s’allongea un moment et dit :
_Suce moi doucement pour me nettoyer. »
Elle s’appliqua à le prendre délicatement en bouche et suça la grosse verge qui se dégonflait. Elle s’appliquait à ne pas exciter Vincent et ne faisait que du nettoyage, léchant, suçant et avalant le mélange de sperme et de cyprine.
Elle découvrait le gout de Vincent et appréciait. Son sperme était plus salé que celui de son mari mais elle aimait, c’était presque mieux. Malgré ses efforts pour ne pas faire repartir son amant, la queue de celui-ci reprenait vie. Elle se décida donc à le pomper tranquillement, puis plus rapidement et enfin Vincent se mit à jouir à nouveau, lui remplissant la bouche de ce nectar qu’elle appréciait pur à présent.
Elle ne l’avala pas tout de suite, se mit à la hauteur du visage de Vincent, ouvrit la bouche pour lui faire voir sa langue pleine de sperme puis la referma et avala en plongeant ses yeux dans le regard noir de l’homme. Dans ce regard le message était passé : Elle acceptait tout de lui.
Il lui dit en se rhabillant :
_Tu suce bien, je t’en ferais sucer d’autres. »
_D’autres ? »
_Tu ne crois tout de même pas que je vais être le seul à profiter d’une si bonne bouche ? »
_Si tu me le demandes… »
_En attendant, approche-toi de la fenêtre et ouvre les rideaux »
_Mais je suis nue ! »
_Justement, il y a de l’autre côté de la cour un petit vieux qui mate les gens toute la journée, on va voir ce que ton joli petit corps va lui faire. »
_Mais il a au moins 70 ans ce vieux ! Je n’en ai que 23 ! »
_Et alors, parce qu’il est âgé il n’aurait plus le droit au plaisir ? Obéis et vite ! »
Elle bondit vers la fenêtre et ouvrir les épais rideaux encore clos. Le vieux était là, comme à son habitude, assis dans un fauteuil et scrutant tout ce qui bougeait dans l’immeuble.
_Montre-toi bien, aguiche-le ! »
Elle s’exposa en pleine lumière, le vieux se tourna vers elle, médusé. Il n’en croyait pas ses yeux. Johanna, suivant l’ordre de Vincent, se caressait les seins, écartait ses cuisses, se tournait et montrait son joli petit cul.
Elle était très bien proportionnée et mettait ce cul en évidence en augmentant la cambrure naturelle déjà importante de ses reins. Elle mouillait en excitant ce vieillard qui en avait profité pour sortit sa queue toute molle et se la tortillait nerveusement.

_Pourvu qu’il ne fasse pas une crise cardiaque ! » Dit –elle.
_On va voir si il a le cœur solide, mets un peignoir on va chez lui. »
Le ton de la phrase ne souffrait d’aucune réplique et Johanna se retrouva en moins de temps qu’il ne faut pour le dire sur le palier du papy avec Vincent. Celui-ci sonna.
Le vieux ouvrit la porte étonné. Il était lui aussi en peignoir et l’avait mal fermé dans la précipitation à venir ouvrir. Il pensait que le spectacle s’était terminé en voyant partit Johanna de la fenêtre. Ensuit il avait continué de se toucher en pensant à elle et à présent elle était là, devant lui, sur son palier.
_En..entrez ! » Bégaya t’il.
_Merci ! »Répondit Johanna en s’introduisant dans l’appartement, suivie de Vincent.
_Je vais vous expliquer dit Vincent : J’ai vu que vous n’étiez pas indifférent aux charmes de notre voisine, et comme elle aime faire plaisir elle est venue continuer son exhibition chez vous. Vous n’y voyez pas d’inconvénient ? »
_Euh… Oh non ! Je suis seul et personne ne vient jamais me voir alors … »
_Et bien alors, Johanna, déshabille toi devant monsieur. »
La jeune femme fit tomber d’un coup son peignoir et se retrouva nue à moins de cinquante centimètres du vieil homme. Celui-ci recula, surpris, et s’assit sans le vouloir dans son fauteuil. Johanna recommença à bouger son corps dans des gestes très suggestifs et la main du vieillard retrouva le chemin de sa bite à travers l’ouverture du vêtement mal fermé. Elle avait grossi mais était encore un peu molle. Il tentait de la réveiller en la tortillant à nouveau.
_Veux-tu aider monsieur à bander ? »Dit Vincent.
_Heu… Oui ! »Répondit Johanna un peu curieuse de savoir où Vincent voulait en venir.
_Alors suce-le ! » Ordonna t’il.
_Mais non … »Balbutiait le vieux. Trop tard ! Johanna avait déjà dans sa bouche la queue molle. Celle-ci d’ailleurs retrouva rapidement un semblant de rigidité.
Le vieux François se demandait s’il rêvait ou s’il était au paradis. Cet ange blond lui pompait sa vieille bite avec application. Sa jeune bouche lui insufflait comme une nouvelle jeunesse. La vie entrait en lui par son sexe. Il le sentait grandir comme il ne se le rappelait plus. Bien sûr il se branlait encore tout seul dans son appartement trop grand pour lui, mais jamais il n’arrivait à ne sortir que quelques gouttes de ce sexe qui ne durcissait pratiquement plus, même en regardant des tonnes de revues pornos d’une main et en se branlant de l’autre. Et voilà que cette gamine qui pourrait largement être sa petite fille lui redonnait une trique immémoriale. Sa bouche était divine et accueillait son sexe chaudement. Il ne se rappelait même plus que c’était si bon. De plus, il savait qu’il allait en profiter un long moment car ses éjaculations étaient faibles, mais aussi tardives. C’était le bonheur. La petite suçait divinement et arrivait à faire de cette vieille queue une bite bien dure, luisante de salive. Elle lui malaxait en même temps ses vieilles couilles toutes fripées que l’Age avait distendues au fond de leur sac de peau.
Johanna sentait qu’elle faisait du bien à ce brave homme. Elle était heureuse au fond d’elle-même de lui procurer un plaisir qu’il n’aurait jamais espéré. En plus, avec cet homme, il y avait comme un gout d’interdit, d’e, qui l’excitait au plus haut point.
Le vieillard se sentait venir, d’une façon depuis longtemps disparue. Une force qui partait du fond de son bas ventre et remontait vers sa queue. Comme un raz de marée le plaisir le secoua violement. A ce moment, Johanna reçu un flot de sperme dans la bouche, comme si cette queue crachait tout le retard qu’elle avait pris, elle avala avec plaisir, se délectant du bonheur qu’elle apportait au vieil homme.
Le pauvre était épuisé, il tardait à retrouver son souffle. Johanna prit peur un moment, redoutant un problème de santé pour lui. Mais il se mit à sourire et en soufflant il leur dit :
_Merci à vous deux et surtout à toi gamine. J’ai retrouvé ma jeunesse pendant un moment. Je n’aurais jamais cru cela possible. Que puis-je faire pour vous ?
_Nous sommes mercredi ? » Questionna Johanna.
_Oui lui répondit le vieux François.
_Vous êtes libre les mercredis ? »
_Bien sûr, je suis toujours libre. »
_Et bien à partir d’aujourd’hui vous me réserverez tous vos mercredis, je viendrais vous purger si vous le voulez bien. »
_Si je le veux ? Mais qui es-tu donc pour m’apporter autant de bonheur ? »
_Juste une apprentie salope cher monsieur, pour vous servir ! »

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