La Vieille Dame Indigne
LA VIEILLE DAME INDIGNE
En 1963, alors que je suis représentant en produits chimiques à Paris, je couvre la rive gauche de la Seine et une partie de la banlieue Nord et Est et jai beaucoup de temps libre. Les occasions de forniquer ne manquent pas et je ne men prive nullement. Je fais surtout la chasse aux jeunes mamans qui promènent leur progéniture dans les bois de Boulogne et de Vincennes au début de laprès-midi. Jy vais régulièrement et jai quelquefois loccasion de faire tomber dans mes filets une maman qui sennuie. Mais il ne faut pas trop rêver, il y a beaucoup déchec pour peu délues. Par contre, des femmes dun certain âge cherchent laventure dans ces bois assez bien fréquentés dans la journée à cette époque. Je repère quelques « vieilles », entre cinquante et soixante ans, qui pour beaucoup sont presque repoussantes pour mes vingt-neuf ans. Pourtant je suis attiré par certaines qui ont beaucoup dallure et qui portent des vêtements chics avec bas et escarpins.
Un jour que je suis assis sur un banc et que je lis un bouquin, une femme accusant une bonne soixantaine vient sasseoir à côté de moi ; je nai pas trop envie dentamer la conversation, vu son âge, mais cest elle qui maborde en me parlant des voyeurs quil y a dans le bois lorsquune dame comme elle veut soulager une envie trop pressante. Elle me demande sil ne me paraît pas inconvenant de laccompagner afin quelle se sente en sécurité. Demandé comme cela, je peux difficilement lui refuser et je commence à mintéresser à sa personne. Elle nest pas très grande, un peu enveloppée avec une grosse poitrine qui éclate sous son tailleur bleu marine de bonne coupe. Elle porte des trotteurs à talons moyen surmontés dune paire de bas à coutures (nous sommes en 1963) ; elle a de lallure malgré son âge avancé. Son visage, un peu maquillé avec des lèvres dun rouge agressif est surmonté dune coiffure ondulée poivre et sel dun joli effet ; Cest une femme distinguée qui veut se payer un petit jeune, mais je ne suis pas contre car soudain, il me vient une furieuse envie de la baiser.
- Cest moi qui vous fais de leffet jeune homme ?
Je ne réponds pas, interloqué par son audace ; habituellement cest lhomme qui se comporte ainsi à cette époque, jamais cela ne mest arrivé de me faire draguer par une femme, de son âge de surcroit. Lenlaçant, je lui roule un patin, tout en la pelotant sur ses seins et sur ses fesses. Elle se laisse faire, même lorsque je lui sort une grosse mamelle de son corsage et que je tête le bourgeon turgescent qui sort de son mamelon. Puis elle sinquiète de savoir si jai un véhicule garé à proximité et me demande si je veux bien que nous nous y enfermions. Ma voiture est dans une allée à quelques pas et sitôt installée dans lhabitacle, elle me dégrafe les boutons de ma braguette, sort mon pénis de sa cachette et lembouche aussitôt, entamant ainsi une turlute inoubliable. Lorsquelle a recraché le trop plein de sperme dans son mouchoir, elle me laisse la masturber, ayant relevé sa jupe pour être plus à laise.
Puis elle me demande si je veux bien venir chez elle pour que nous fassions lamour dans un cadre plus confortable. Jacquiesce, sans savoir où cette dame respectable va memmener. En fait elle demeure dans un appartement cossu dun immeuble haussmannien du XVe arrondissement ; son mari est dans sa famille pour une dizaine de jours en province et elle massure que nous serons tranquille. Je bande à nouveau en arrivant à lappartement et jai une furieuse envie de tringler cette douairière, aussi je ne perds pas de temps et je me déshabille en un tour de main une fois que nous sommes dans la chambre maritale.
Marthe pousse des soupirs et distille un murmure de gémissements continus à ma stimulation linguale et au doigté que je lui administre. Peu après, elle me confie que son mari ne la jamais caressé de la sorte et quelle na jamais connu aucun amant qui le lui a proposé ; cela ne métonne quà moitié, tous les hommes de ma génération et encore plus ceux des précédentes, rêvent que leur partenaire leur fasse une fellation, mais rechignent et refusent souvent à faire minette à leur épouse ou à leurs maîtresse. Ce nest pas rare dailleurs dans les générations actuelles. Marthe éprouve plusieurs orgasmes avant que je vienne la prendre dans mes bras pour lembrasser. Elle me remercie de lui avoir fait connaître « la petite mort », masturbant mon sexe avec vigueur en me demandant de lenfiler derechef. Enfin, elle me le demande avec des mots plus choisis. En entrant mon vit dans le minuscule sexe de ma vieille dame indigne, je me rends compte quil ne doit pas être plus large que celui dune petite fille à peine pubère ; je glisse difficilement dans une gaine qui enserre étroitement mon membre, plongé dans un magma brûlant qui doit être de la cyprine chauffée à blanc.
Après nous être expliqué plus tard, Marthe suppose que nayant jamais eu ds et ayant fait très peu lamour avec son mari durant plus de trente-cinq ans de mariage, son sexe ne sest pas développé, même avec les quelques amants de passage quelle a depuis environ cinq ans. Je retiens cette théorie en ny croyant pas trop, supposant quil y a une autre raison à ce que cette chatte soit aussi réduite. En tout cas je prends un pied terrible à pilonner ce con jusquau col de lutérus, martyrisant les muqueuses ultrasensibles de son puits damour et arrachant de gémissements de douleur à la dame du XVe. Lorsquépuisé, je lâche mon sperme dans le con brûlant, je mécroule entre les gros lolos de ma partenaire qui nen peut plus non plus. Elle me glisse à loreille que personne ne la baisé ainsi, que je lai complètement anéanti et que si je veux bien, elle va appeler une de ses amies à la rescousse pour continuer cette cavale.
Ce nest plus une vieille dame indigne mais une sexagénaire partouzeuse je mempresse de répondre que je ny vois pas dinconvénient, que plus on est de fous, plus on rigole et pendant que Marthe téléphone à son amie, je vais dans la salle de bains pour me refaire une beauté (je plaisante bien sûr). Il ne se passe pas un quart dheure que lon sonne à la porte. Marthe a passé un déshabillé pour aller ouvrir et moi, installé au salon dans un profond canapé, je reste nu ; inutile de se revêtir puisque la femme qui sonne à la porte dentrée vient pour se faire baiser.
Lorsque la porte souvre, je découvre une femme juchée sur de hauts talons, magnifique blonde à la chevelure permanentée, paraissant avoir une quarantaine dannées (plus tard, japprendrai quelle en a plus de soixante-dix). Elle enlève son manteau de fourrure, apparaissant dans un fourreau noir en satin, mettant ses formes en valeur.
- Je te présente Laure. Je vous laisse faire connaissance pendant que je vais chercher quelques rafraichissements.
Laure sapproche de moi à me toucher et mentourant de ses bras elle membrasse sur la bouche, se collant à moi. Je sens son parfum, le N°5 de Chanel, qui envahit mes papilles et mon odorat, alors que ma queue vient de se mettre au garde à vous et cogne contre son ventre presque emboîté dans le mien. Je retrousse sa robe au tissu très fin pour que mon vit se loge entre ses cuisses. Elle les disjoints me laissant écarter sa culotte et fourrager dans une fourrure abondante. Elle na pas lâché mes lèvres et membrasse de plus en plus goulûment. Aussi, ne la laissant pas se reprendre, je ladosse à un panneau vierge de tout meuble et, je pousse mon pénis à lassaut de son pertuis. Sans coup férir je lembroche et menfonce dans une caverne onctueuse et brûlante, lui arrachant un gémissement de contentement. Je relève se jambes pour quelles menserrent la taille et je la besogne ainsi, encore habillée. Je prends un pied terrible à besogner cette douairière qui a une classe étonnante. Lorsque Marthe revient avec les boissons, elle nous trouve en train de coïter furieusement.
- Eh ! Bien, vous ne perdez pas de temps tous les deux. Ma chère Laure, ton cavalier tas piqué debout sans te déshabiller et tu te laisses baiser ainsi par ce soudard.
La belle Laure ne répond pas, toujours accroché à mes lèvres pour le haut et à mon pieu pour le bas. Elle répond coup pour coup à mes coups de boutoir jusquà ce que je linonde de mon foutre. Un peu fatigué tout de même, je mallonge presque dans un fauteuil et Laure en fait de même, restant pour la circonstance retroussées jusquau nombril. Jadmire le galbe parfait de ses jambes et de ses cuisses, jusquà son ventre à peine bombé. Mon regard se fixe sur les chairs du vagin bien ouvert, dune couleur vive orangé presque sanguine qui, entouré dune toison brune et fournie, atteste que cest une fausse blonde. Marthe nous sert du porto, certainement pour que nous puissions prolonger notre joute à trois. Laure va se laver et je la suis dans la salle de bains. Je lui susurre dans loreille que je suis désolé de lavoir prise ainsi à la hussarde, mais que son apparition à déclenché en moi une furieuse envie de la baiser tellement elle me fait de leffet. Je lui demande comme une faveur de pouvoir embrasser ses seins. Elle sort de son décolleté les deux mignons petits seins correspondant à du 85 C pour ses soutiens gorge et me les offrent à goûter. Ce dont je ne prive aucunement, suçant les tétons et les mordillant, la faisant défaillir de jouissance.
Enfin nous faisons quelques ablutions, car après avoir pris ma douche je laide à se déshabiller et cest toute nue que je la savonne sur tout son corps qui na pas un poil de graisse mais qui est très bien proportionné. Cest vraiment une très belle femme et je nen reviens pas, ayant appris son âge quelle paraisse aussi jeune, entre quarante et quarante-cinq ans au plus. Alors quelle en a plus de soixante-dix et je nose imaginer combien correspondent les plus. Cest ainsi que nous rejoignons Marthe dans la chambre et sur son lit conjugal pour poursuivre nos ébats à trois. Jai grande envie de goûter à la chatte de la belle Laure, mais je ne veux pas vexer notre hôtesse, aussi je leur demande ce quelles attendent de moi. Marthe me dit alors que puisque je suis le mâle, cest à moi de décider ; elles sont prêtes à faire tout ce que jaie envie.
Elles ne savent pas ce en quoi elles sengagent. Je leur demande si elles se connaissent depuis longtemps. Elles me répondent que cela fait plus de vingt-cinq ans quelles sont amies. Et depuis quand elles partagent leurs amants ? Un peu gênées, elles avouent que cest la première fois. Je leur demande si elles sont amantes. Elles rougissent, comme des adolescentes et me disent quelles lont fait seulement deux fois. Je rebondis là-dessus et leur demandent de saimer devant moi ; que ce spectacle va mexciter et me donner encore plus envie de les baiser. Je les sens hésitantes, pas très à laise de se montrer en spectacle devant ce nouvel jeune amant. Pourtant elles se décident à senlacer et à sembrasser, emmêlant leurs jambes et se frottant lune contre lautre. Je les caresse sur tous leurs membres, tâtant et pelotant les fesses rebondies de mes deux hétaïres. Jécarte les cuisses de Laure et celles de Marthe et je caresse leurs minous, puis je leur demande de se mettre tête-bêche pour se lécher chacune la chatte.
Elles sont très indécises, protestant quelles ne lont jamais fait, mais devant mon insistance, elles se décident et approchent leurs visages de lentrejambe de leur partenaire. Bien que maladroites au début par la confusion quelles ressentent, elles lèchent les parties intimes de chacune delles et bientôt ce ne sont que des gloussements de contentement qui sortent de leurs gorges. Jen profite pour examiner le cul de Laure qui se tient au-dessus du corps de Marthe. Jécarte les deux globes et pointe ma langue vers la délicate rosace de lillet plissé du cul de ma belle. Celle-ci, inquiète, a un brusque retrait lorsque ma langue lèche le tour de son anus, mais la sensation ne doit pas être désagréable car elle se détend et me laisse parcourir avec ma langue la raie culière recouverte dune toison presque discontinue. Je suis certain que mes deux donzelles nont jamais été sodomisées et je compte bien les déflorer, au moins une, nimporte laquelle. Un cul est un cul. Pour linstant je les entends glousser et je maperçois quen sus de leurs langues elles ont introduits leurs doigts dans le vagin de leur partenaire et quelles « se font du bien ». Jen profite pour mettre un doigt enduit de salive contre lillet de ma belle Laure et tout en tournant autour je lenfonce progressivement à travers le sphincter qui menserre le doigt fermement. Je laisse de la bave couler de ma bouche sur mon doigt pour faciliter lintroduction dans le trou du cul que je convoite.
Laure ne proteste pas, très occupée à jouir de la langue de sa compagne et à la faire reluire. Jen profite pour enfoncer mon doigt de quelques centimètres en perforant le sphincter, arrachant à ma belle un petit cri étouffé. Je caresse son cul de ma main libre tout en ne bougeant plus de lautre. Puis progressivement, très lentement je menfonce dans le conduit rectal, qui à ma grande surprise nest pas sec mais onctueux. Je retire presque complètement mon doigt puis je lenfonce à nouveau, répétant lopération de nombreuses fois. Laure ne rétracte plus ses fesses à la poussée de mon doigt mais au contraire les projettent à chaque fois que jenfonce mon doigt dans son cul. Cest certain, jenculerai cette femme aujourdhui ; elle a des dispositions à la sodomie. Je vois le visage de Marthe qui gougnotte la vulve de son amie Laure ; mais jai aussi mon vit qui se balance entre mes jambes et je lapproche de la bouche de mon amante qui lavale sans rechigner. Elle me pompe pendant que je coulisse mon doigt dans les entrailles de Laure qui a lair dapprécier. Puis à ma grande surprise, Marthe de ses deux mains, guide mon pénis vers la chatte de sa compagne et lintroduit à lintérieur, me léchant les couilles pour mexciter encore plus. Je ne me fais pas prier, et abandonnant ma préparation à la sodomisation, je prends Laure en levrette, menfonçant jusquà la garde dans son vagin en attendant son cul. Elle feule lorsque jatteints son utérus, la défonçant de toutes mes forces et la pilonnant sans relâche, alors quelle gémit et crie sou mes coups de boutoir. Au moment de jouir, je me retire brutalement et asperge le visage de Marthe, qui aspire aussitôt ma bite pour ne rien perdre. Un peu épuisées tout de même mes sexagénaires ; elles me demandent de souffler un peu et je minstalle entre les deux femmes, leurs mains entourant ma bite bien molle et les miennes passant dans leur dos pour tenir un sein de chaque dans mes mains. Nous sommeillons ainsi une bonne heure jusquà ce que ma pine se redresse sous les doigts agiles de Marthe et de Laure qui me masturbent avec délicatesse. Je tourne alternativement ma tête pour les embrasser chacune leur tour et bientôt elles prennent mon vit en bouche se partageant la tâche. Mais sentant mon éjaculation venir, je me redresse et serre très fort mon membre entre mes doigts pour éviter de rester sans munitions. Jécarte les cuisses admirables de Laure et je contemple avec avidité la toison abondante et la corolle en losange presque parfaite qui se trouve en son centre. Avec deux doigts, jentrouvre la chair brune des lèvres et jappuie ma bouche et sort ma langue pour explorer lantre divin. Je goûte avec ravissement le suc qui séchappe de lantre vaginal, lapant avec délice la cyprine qui, par lexcitation produite, gonfle exagérément les lèvres et donc la vulve de ma septuagénaire - qui donc a dit que les femmes après quarante-cinq ans ne mouillent plus ? en tous cas Laure mouille abondamment et jaccentue encore sa volupté en titillant avec ma langue son méat urinaire, recueillant de petits jets de pisse quelle ne peut contrôler. Enfin, décalottant avec mes lèvres le capuchon de son clitoris, jaspire ce dernier et le suce délicatement. Laure se tend soudain, arcboutant son corps et poussant un cri rauque discontinu devant lorgasme qui la submerge. Me dégageant de ses cuisses, je viens lenlacer et lembrasser, heureux de lavoir fait jouir de la sorte. Entre deux baisers elle mavoue quaucun homme na daigné lhonorer ainsi alors quelle en a toujours eu envie. Elle mest très reconnaissante de lui avoir fait connaître ce plaisir ultime où les orgasmes dit-elle se sont succédés sans interruption, allant crescendo jusquà la « petite mort » finale.
- Disposes de moi comme tu le veux, je suis tout à toi me dit-elle en me baisant la bouche.
- Si je te prends au mot ma chère Laure, il va falloir que tu moffres le pucelage de ton cul, je lui réponds
-
Laure est prise dun léger tremblement et ses yeux se perdent dans un monde imaginaire. Pourtant elle ne se démonte pas et me souffle.
- Va doucement mon Chéri, jai très peur mais mon derrière est à toi. Ne me fais pas trop souffrir sil te plaît. Beaucoup dhommes me lont demandé je nai jamais accepté. Mais toi, tu le mérites amplement.
Depuis le début de nos ébats jai une furieuse envie denculer cette femme admirable dont la classe mémeut. La beauté, la distinction, lâge, tout cela sajoute à mon désir de sodomie et de domination. Je demande à Marthe si elle a de la vaseline ; à cette époque, en 1963, il ny a pas encore de lubrifiant sexuel comme à présent. Bien entendu, la vaseline fait partie de la vie courante des ménages et Marthe mapporte un gros tube de la pommade désirée. Je demande à Marthe une toile cirée que je dispose sur le lit et je demande à Laure de prendre position au milieu du tissu protecteur à quatre pattes. Je glisse trois gros coussins sous son ventre et écarte ses cuisses. Laure est dans une posture certainement très humiliante, le derrière en lair, mais ce nest pas pour me déplaire. Elle a ainsi une position plus confortable et jai une vue compète sur son entrecuisse, depuis lanus, la raie culière et la vulve très ouverte qui laisse sécouler une mouille abondante. Jen profite pour en étaler sur la rosace de son anus et pousse ainsi la mouille avec mon petit doigt dans le conduit rectal. Je prends alors le tube de vaseline sur lequel Marthe a vissé la canule qui va avec et je lintroduis délicatement dans le trou du cul de ma belle. Jenvoie une bonne giclée dans les entrailles de Laure, puis je le retire très doucement en appuyant sur le tube pour que la vaseline garnisse le conduit anal jusquà la sortie du rectum en passant par les sphincters. Certain que la lubrification fera son effet, jenduis trois de mes doigts et, enfonçant dabord lindex profondément, je badigeonne le fondement de la vaseline accumulée.
Laure a eu un brusque sursaut lorsque mon doigt la pénétré ainsi, mais elle me laisse opérer sans protester. Je retire mon doigt et lentre à nouveau à maintes reprises, puis, je tente dentrer le second. Un gémissement sort des lèvres de ma future enculée, mais elle tend son croupion vers mes doigts en signe dassentiment à ce que je lui fais subir. Il mest plus difficile de pousser mon troisième doigt dans le cul très serré de la douairière, mais jy arrive enfin et tourne et retourne mes doigts durant plus de vingt minutes pour élargir lentrée du rectum que je me propose de violer bientôt. Enfin, je pense que ma patiente est prête, mais pour profiter pleinement de son dépucelage, je veux voir son visage. Aussi je retourne comme un pantin ma septuagénaire tout en laissant ses reins sur les coussins pour que sa vulve et son cul puissent être facilement accessibles. Laure perd pied à lintromission imminente de son derrière :
- Mon Chéri, tu es certain que je suis prête jai peur tu sais cela va me faire effroyablement mal ta verge est tellement grosse
-
Je la rassures en lembrassant profondément et en astiquant son bouton damour dune main pour quelle pense à autre chose, ; puis je dispose ses jambes sur mes épaules pour que son postérieur soit relevé le plus possible et je plonge ma pine dans son vagin qui est trempé de son excitation. Ensuite, écartant de deux doigts lanus encore trop fermé, je présente mon gland humide devant lillet plissé. Je glisse à ma belle dans son oreille :
- Décontractes-toi ma Chérie, et surtout, lorsque ma verge entreras en toi, pousses, comme si tu voulais aller à la selle, cela passera mieux et tu auras moins mal. Mais surtout pousses sans discontinuer, tu vas voir ma Chérie, tu vas aimer que je tencules et tu en redemanderas !
À ce moment, sans hésiter, jenfonce sans marrêter mon pieu dans le fondement de Laure, le plus loin possible, mes couilles venant cogner sur ses fesses. Elle lance un cri de douleur, la brûlure qu'elle ressent dans ses entrailles est atroce. Mais jattends patiemment que la douleur s'estompe, restant immobile, et je savoure béatement l'emprisonnement de mon phallus dans l'étroit goulet dont les chairs brûlantes palpitent et me procurent une excitation inouïe. Laure laisse couler des larmes sur son visage, à son âge se faire sodomiser pour la première fois. Elle se sent écartelée par ma verge qui a pris possession de son postérieur. Bien qu'un large et profond cratère se soit ouvert, mon mandrin terrifiant ayant bien du mal à se frayer un passage dans le rectum qui s'élargit avec peine. La pauvre femme transpire à grosses gouttes devant l'ampleur de mon pénis qui distend les parois de son anus. Elle gémit et pleure, mais ne proteste pas, sachant que ce monstre ira jusqu'au bout inéluctablement. Son anus est bouleversé par le va-et-vient que je lui imprime doucement, le glissement de ma verge sur les parois de son rectum est étrange, elle ressent des fourmillements dans les extrémités nerveuses de son fondement, et trouve cela presque agréable ma telle dit plus tard.
Puis je la bourre maintenant sans ménagement, lui arrachant des cris de douleur et de plaisir mélangé, remuant impétueusement ses chairs enflammées, fouillant sans répit son fondement et écartelant ses belles fesses avec mes mains, prenant plaisir à regarder mon vit s'enfourner dans cette brèche. Ma verge entre et sort en cadence de l'anus qui se dilate progressivement. La pauvre femme se lamente et se délecte du mélange de la douleur qu'elle ressent et des sensations inouïes du plaisir que son cul, à son corps défendant lui procure. Elle s'agite en tous sens et délire, criant des mots sans suite, jusqu'au spasme final qui la laisse complètement brisée. Cest à ce moment que jexpulse trop vite à mon gré mon foutre épais, badigeonnant les parois du cul d'une crème visqueuse, facilitant ainsi le glissement de ma verge. Je laisse ma queue enfouie dans le popotin de cette belle septuagénaire pour ne pas que les sphincters se referment. Lorsque je me retire, ayant vidé mes couilles dans le postérieur convoité, je m'aperçois que l'anus est complètement dilaté et que la croupe de ma belle enculée laisse un cratère énorme qui se referme lentement, agité de convulsions spasmodiques, laissant couler son trop plein de foutre qui dégouline entre ses cuisses. Jembrasse sur la bouche ma belle suppliciée Qui me souffle :
- Tu mas fais très mal mon Chéri, mais curieusement jai aimé ça et jai joui de la douleur dans mon derrière. Restes en moi, je voudrais que tu me sodomises encore mon Amour.
-
- Dis-moi que tu veux que je tencule, que tu veux ma bite dans ton trou de bal.
-
- Oui mon Chéri, encules-moi, entres ta bite dans mon trou du cul et après tu iras enculer Marthe. Je veux te voir la déflorer aussi.
-
Des heures à baiser et en à enculer et me faire pomper par ces deux femmes insatiables mont laissé sur le flanc. Je suis rentré chez-moi à 23 heures complètement flagada, prétextant une double crevaison de ma voiture et les réparations chez un garagiste.
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