Mathilde Se Découvre Des Dons De Dominatrice
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cette histoire est issue dune rencontre réelle mais a été, par la suite, enrichie de mes fantasmes. Bonne lecture, Eric.
J'ai rencontré Mathilde lors d'une soirée organisée par une amie artiste, avec laquelle je partageais un atelier.
Mathilde avait un caractère assuré qui lui donnait l'impression d'être chez elle, dans n'importe quel environnement. Aussi, durant cette soirée je ne voyais que sa longue chevelure épaisse et ondulante, virevolter au grès de la musique que Marc, en DJ professionnel, enchainait avec virtuosité. D'ailleurs, Mathilde sortait avec Marc, un grand type assez costaud mais à l'attitude un peu débonnaire. Nous avons bu et dansé jusque tard dans la nuit. Vers 2h du matin, jai oser lembrasser dans le dos de Marc.
...
Notre histoire débuta simplement et tendrement comme deux personnes de 30 ans qui apprennent à se connaitre et à s'aimer. Nous passions des soirées entières à nous raconter nos vies respectives. Je faisais également connaissance avec sa chienne Myrtille, un magnifique husky blanc immaculé qu'elle considérait un peu comme un alter-égo. Je n'avais d'yeux que pour cette femme dont la beauté égalait son appétit de la vie.
Cependant, mon manque d'assurance au lit et mon petit appétit sexuel, qui en découlait, commençait déjà à la chagriner, même si ses paroles restaient réconfortantes. Je me sentais malgré tout obligé de m'expliquer et c'est avec tact et délicatesse que Mathilde me poussa à m'épancher sur mes troubles sexuels, mon manque de confiance dans mes érections, mon sentiment d'infériorité. Elle m'écoutait avec attention et semblait même y prendre du plaisir. Bien sûr à l'époque, j'interprétais son léger sourire comme de la satisfaction, car je lui prouvais là toute la confiance que j'avais en elle et mon envie de ne rien lui cacher.
Trois semaines après notre rencontre, nos soirées au lit s'étaient transformées en un rituel, où je devais verbaliser mon impuissance.
Elle me caressait les cheveux, et par la même occasion me guidait de ses mains, en insistant lorsque le plaisir se faisait plus intense. Elle plaquait mon visage sur son sexe, préférait lorsque mon nez s'enfouissait dans sa vulve et que ma langue caressait son cul. Il était naturel que je passe plus d'une demie-heure dans cette position et désormais Mathilde ne me libérait qu'après avoir joui. Alors elle me tournait le dos, en me souhaitant bonne nuit. Je remontais à ma place et lui répondait : "Bonne nuit ma chérie, fait de beaux rêves".
Un mardi matin, Mathilde n'était pas de bonne humeur. Je lui demandais ce qui n'allait pas et elle me répondit furieuse :
"Ecoute Eric, ce n'est pas possible !
- Quoi ??
- Quant tu vas aux toilettes, tu pisses sans relever la lunette et résultat, le matin quand je m'assois, c'est Dégueulasse !
- Je suis désolé chérie, je vais y faire attention.
- Non, je ne vois pas pourquoi je pisse assise et tu ne pourrais pas en faire autant !
- Mais enfin ...
- Ecoute je suis chez moi, et je ne vois pas ce qu'il y a à redire !
- Tu as raison, abdiquais-je, si tu penses que c'est mieux.
- Bien sûr que c'est mieux ! Plutôt que d'avoir le cul salopé par ta pisse !"
C'était la première fois que je voyais Mathilde dans une telle furie et pour ne pas subir ses foudres, j'acceptais illico son ordre.
Très rapidement, par la suite, Mathilde m'imposa, avec la même facilité, de m'assoir également chez moi, afin de conserver, me disait-elle, cette règle d'hygiène et de bonne conduite. Ainsi, après un mois de vie commune, je n'avais plus l'occasion d'uriner debout. Mais aussi, comme Mathilde avait pris l'habitude de venir vérifier ma position, elle m'avait imposé de la prévenir lorsque j'allais aux toilettes.
Notre vie au quotidien était des plus merveilleuses. Je remerciais la chance d'avoir mis sur mon chemin une femme aussi compréhensive et pleine de vie. J'étais attentionné et j'adorais lui faire plaisir. Elle passait ses journée à écrire (oui, Mathilde est romancière) et après ma journée à l'atelier, je la retrouvais avec toujours plus d'entrain. J'étais amoureux et heureux de cette romance.
Un soir, alors que je terminais mon cunnilingus dans les soubresauts et les cris de jouissances de Mathilde, je me permis de lui demander, alors qu'elle s'était déjà retourné pour dormir, si elle ne désirait pas me faire une pipe, que peut-être cela donnerait de la vigueur à mon érection et que je pourrais la pénétrer. Elle se retourna avec vigueur et me lança d'un ton devenu subitement autoritaire :
"Ce n'est pas possible çà ! Je déteste çà et çà me fait extrêmement mal à la mâchoire ! En plus, je trouve cela dégradant !"
Joignant le geste à la parole, sa main glissa à nouveau dans mes cheveux et fît fermement pression sur ma tête afin que ma bouche embrasse à nouveau son sexe. Je comprenais qu'il me fallait, comme elle me l'avait dit, simplement plus de temps pour trouver mon excitation. Alors, dans un soupir, j'entendis indistinctement la voix de Mathilde :
"Mmmh, ...voilà, c'est mieux comme çà ..."
Quelques temps plus tard, j'avais, pour prendre une douche, malencontreusement fermé la porte de la salle de bain, mais sans la verrouillée. Mathilde était alors entrée sèchement mais plutôt que de hausser le ton, me dit amoureusement :
"Eric, je ne comprends pas ta pudeur ! J'aime voir ton corps, il est agréable et bien proportionné.
J'étais heureux de ce compliment et je réalisais que c'était la première fois que Mathilde me formulait de tels mots d'amour.
Aussi lorsque nous nous retrouvâmes au lit, je pus constater avec satisfaction, qu'une fois sorti d'entre ses jambes, je bandais convenablement. Mathilde était accueillante ce soir là et elle accepta que je la pénètre, malgré son commentaire taquin : "Quelle fougue ce soir !"
Cependant, alors que j'étais allongé sur elle dans la position du missionnaire, Mathilde me repoussa le torse des deux mains. Je ne comprenais pas mais acceptait la position très cambrée qu'elle m'imposait, en plantant mes bras tendus dans le matelas. C'est alors que sa main droite plongea en direction de son sexe et qu'elle se mit à se masturber.
"C'est drôle, tu es un peu comme mon godemichet". J'étais heureux et je pris sa remarque comme un compliment.
Nous étions désormais en été, et lorsque je rentrais du travail, elle me fit une surprise. Elle avait fait les boutiques et m'avait acheté des vêtements. Lorsque j'ouvris les paquets, je découvris tout d'abord un Marcel, bleu ciel. Jétais surpris car je ne portais jamais ce type de vêtement que je trouvais ringard. Le col rond descendait très bas et laissait apparaître largement les poils de mon torse et les fines bretelles me donnais l'impression d'être nu. Dans le deuxième paquet se trouvait un short en matière extrêmement légère et très ample (un peu comme un short d'athlétisme), en plus j'avais l'impression qu'il était légèrement transparent. Elle dû lire ma surprise sur son visage car Elle me dit sur un ton vexé et déçu : "si çà ne te plait pas, je les rends ! Mais je pensais te faire plaisir, il fait chaud et je trouve qu'ils tiront très bien." Je lui répondis un peu gêné que j'étais très touché de son attention, que ce premier cadeau me faisait très plaisir et que malgré ma surprise, j'allais les garder et que peut-être je les mettrais à la maison.
"Ne fait pas ta mijaurée, c'est tellement amusant, j'ai l'impression de sortir Myrtille et il me faut bien une laisse !" J'étais tellement vulnérable que j'en restais les bras ballants. Lorsqu'un couple de jogger arriva à notre niveau, Mathilde s'écarta prestement, lâchant sa prise qui se retrouvait raide en dehors de la résille. Apeuré, m'approchant d'elle comme un animal terrifié dans un environnement hostile, je lui suppliais :
"Mathilde, tout le monde peut voir mon érection !"
- Ne fait pas l'idiot, c'est naturel d'être excité en présence d'une belle femme comme moi !
- Oui mais les joggers ont vu mon sexe !
- Ne t'inquiète pas, je ne pense pas qu'ils aient été traumatisés par la vision. Même quand tu bandes ta bite n'est pas bien grosse et d'ailleurs elle dépassait à peine de ton short !..."
et elle se mit à rire, d'un rire qui me désarma complètement. Alors que nous nous remirent en route pour entrer à son appartement, je mis mes mains dans les poches de mon short afin de rendre cette érection plus discrète. Mais Mathilde ne l'entendait pas de cette oreille et exigea que je sorte mes mains, sous peine de prolonger la balade et l'humiliation. C'est donc aux vues de tous, que nous rentrâmes chez elle, sans bien sûr avoir échappé à quelques regards de travers et rires étouffés de passants.
J'étais obligé de me rendre à l'évidence sur ma situation. J'étais follement amoureux de cette femme et je sentais bien qu'étant donné mes piètres dispositions d'amant, je devais, pour la garder, accepter ses lubies. Je sentais naître en moi un sentiment bizarre, de perte d'indépendance virile mais qui me rassurait en même temps car Mathilde était toujours à mes côtés et je sentais qu'elle était attachée à moi. C'est justement cette période qu'elle choisit pour faire évoluer notre relation.
Un week-end où nous retrouvions tous les deux, elle décida de m'expliquer amoureusement ce qu'elle souhaitait pour moi :
"Eric, je veux que tu saches que j'ai fait preuve d'une écoute sincère lorsqu'au début de notre histoire tu m'as fait part de ton impuissance. Dans le fond j'étais triste, et j'ai cru que notre histoire s'arrêterait là. Mais j'ai fait un travail sur moi, et je pense qu'aujourd'hui je suis celle qui te comprend et qui sait quels sont tes besoins et tes désirs.
- Oh Mathilde je t'aime !
- Ne me coupe pas s'il te plaît, laisse moi finir ce que j'ai à te dire !
- Bien
- Je disais donc que je suis celle qui peut t'accompagner pour te révéler à toi même. Mais pour que notre relation est une chance de continuer, il me faut ta confiance. Es-tu prêt à me faire confiance, éric ?
- Mais oui ma chérie, je t'aime par dessus tout.
- Tout d'abord, tu m'appelles Mathilde et tu me vouvoies afin de marquer ton respect à l'égard de celle qui va coacher ta vie.
Son ton était posé et elle me disait ces mots avec franchise et naturel.
- Chérie, çà ne se fait pas ?
- Je t'ai dit Mathide et est-ce que çà se fait d'être avec une femme et de ne pas être capable de l'honorer comme il se doit ?
- Mais Mathilde ...
- Voilà qui est mieux. Il faut te rendre à l'évidence que j'ai des attentes comme n'importe qu'elle femme et que je veux bien faire un effort pour m'adapter mais il va falloir que toi aussi tu évolues. Cela me paraît naturel, non ?
- Oui bien sûr
- A partir d'aujourd'hui, je vais mettre en pension Myrtille chez des amis car je ne peux m'occuper de vous deux, il me faut du temps pour écrire ! Ensuite, je vaudrais que tu organises ton temps différemment et que tu ne travailles à l'atelier que l'après-midi afin de prendre soin de notre couple le matin. Et je voudrais que l'on mette cela en place dès aujourd'hui.
- Je comprends Mathilde, que souhaitez-vous que je fasse ?
Ce vouvoiement m'avait fait l'effet d'une douche froide, mais dans le fond je trouvais cela romantique.
- J'aimerais que tu viennes à mes genoux pour me demander çà, comme le ferait un prince à son amoureuse.
Elle était assise à son bureau et fît pivoter son fauteuil d'un quart de tour. Son regard était plein de contentement.
Je me levais de mon siège et allais me positionner à genoux devant elle. Elle me caressa doucement les cheveux.
- C'est bien, je t'écoute
- Mathilde, vous êtes la personne que j'aime par dessus tout. Je suis prêt à faire les efforts qu'il faut pour que vous m'aimiez. Dites moi ce que vous souhaitez de moi.
- Je ne souhaite pas, poussin, j'exige !
Et elle pressa ma tête sur sa culotte, serra légèrement mais fermement les jambes et bascula à nouveau son fauteuil face à son ordinateur. Je suivi, contraint, le mouvement pour me retrouver sous son bureau. Là je l'entendis se mettre au travail et commencer à taper sur son clavier d'ordinateur. Je n'avais rien à dire, le message était clair et je me mis à embrasser son entrejambe. Le moment dura une éternité et mes genoux cuisaient, mais chaque fois que je m'arrêtais, sa main agrippait mes cheveux et repositionnait ma tête au travail.
Au bout d'une heure, elle se leva et partit appeler une copine. Ne sachant trop quoi faire, je restais sous le bureau de peur de la contrarier. Sa discussion tournait autour de la semaine passée et malgré mes craintes le sujet ne tourna pas autour de moi, hormis lorsque cette amie dû lui demander comment j'allais, elle ne pût s'empêcher de répondre dans un rire :
"oh éric, il va bien, en ce moment je ne sais pas ce qu'il est en train de fabriquer sous mon bureau !"
La conversation se termina et Mathilde s'adressa à moi :
"Eh bien éric, tu ne vas pas rester planté là toute la matinée !
- Non Mathilde, mais je ne savais pas si Vous désiriez que je me relève.
- çà me fait plaisir éric, je vois que tu comprends très vite ce que j'attends de toi. Tu vas voir ta nature soumise n'est pas honteuse. Il faut simplement que tu acceptes docilement que tu n'as plus le choix de tes actes, et que ma volonté l'emporte sur la tienne. Vois-tu Myrtille va me manquer mais je suis sûr que tu vas t'appliquer à me rendre cette absence mon douloureuse."
Je ne comprenais pas où elle voulait en venir. Quel lien pouvait-il avoir entre Myrtille et moi? Mathilde dissipa rapidement l'ombre de circonspection qui voilait mon regard.
- Tu sais tout l'amour que je porte à Myrtille. Au cours du temps elle apprit à si bien m'obéir, qu'elle devançait même mes désirs. Venant se blottir à mes pieds quand j'avais besoin de tendresse ou me faisant la fête lorsque j'avais le bourdon. Je veux que tu deviennes aussi fidèle et docile que Myrtille. Je sais aussi que c'est ton aspiration profonde et si tu t'appliques bien je n'ai pas de doute que tu y arriveras.
- Mathilde Vous me comparez à Votre chien, mais c'est d'un amour humain que je Vous aime.
- Parce que tu penses que l'amour de Myrtille pour sa maitresse est inférieur au tien ?
- Non ce n'est pas ce que je veux ...
- Ecoute montre moi déjà que tu es capable de m'obéir et on verra après tes considérations de fiote !
Sa voix était colérique, excédée et je sentais que j'étais en train de la braquer. Alors pour tenter d'apaiser la situation, je lui dis :
- Mathilde Vous avez raison, il faut que je fasse des efforts. Vous serez fier de moi et je veillerais à ne pas Vous décevoir."
Je parti à mon atelier toute l'après-midi et les souvenirs de cette matinée venaient claquer à mes tempes au rythme de mes pulsations cardiaques démesurément élevées. Bien sûr je ne pus travailler, ruminant l'évolution de ma relation avec Mathilde. J'étais de comprendre son comportement car je savais que je ne pouvait pas être un homme à part entière. Aussi il lui fallait trouver un modèle de relation nouveau afin de continuer à vivre avec moi. Il était indéniable que sa séparation d'avec Myrtille prouvait son amour pour moi, car elle était attachée à ce chien plus que tout au monde. Je me surprenais à penser que puisqu'elle aimait tant Myrtille, je devais être flatté qu'elle souhaite prendre exemple sur sa relation à son chien, pour développer cette nouvelle relation avec moi. Parallèlement, seul m'importait d'être avec elle et c'est empli de cet amour inconditionnel que je regagnais son appartement samedi soir. J'étais prêt à lui faire une déclaration enflammée lorsque la porte s'ouvrit.
Mathilde était au téléphone et elle me fit signe du doigt de rester sur le palier. Je restais donc penaud à attendre la fin de sa conversation, alors que la porte de l'appartement se refermait tout doucement. La voisine du dessus me croisa dans les escaliers alors qu'elle descendait toute guillerette les marches quatre à quatre. Elle me lança un bonsoir et faisant comme si je m'apprêtais à rentrer, je la saluais. C'est alors que Mathilde réapparut.
- poussin, je vaudrais que tu te déshabilles avant de rentrer chez moi. Tes vêtements puent l'essence de térébenthine. Je mettrais un panier avec un couvercle sur le palier plus tard, pour que tu les mettes dedans. Allez, allez !
J'hottais ma chemise puis mon pantalon ...
- Tout poussin ! Tout pu l'essence, c'est abominable !
Dans le fond je savais bien que je n'avais pas touché un pinceau de la journée et que par conséquent mes sous-vêtements ne pouvaient pas sentir la peinture, mais de peur de la braquer à nouveau, je préférais obtempérer.
- Il faut que çà devienne une habitude, poussin, avant même de toquer à ma porte ! Je veux que tu entres nu et que tu ailles directement prendre ta douche. Allez file !
Je traversais son appartement en vitesse et me retrouvais sous la douche, en train de me savonner. Après quelques minutes, Mathilde entra et me tendit une bombe de mousse à raser et trois rasoir jetables.
- S'il te plait, débarrasse-moi de ces poils disgracieux, tu ressembles à un clebs mouillé.
- Qu'est-ce que je dois faire, Mathilde ? Demandais-je interloqué.
- Eh bien tu te rases, les jambes, la bite, les fesses, le torse, tout quoi ! Qu'est ce que tu crois qu'on fait, nous les femmes !
Elle avait réponse à tout, elle n'était jamais déstabilisée et tout ce qu'elle disait, sonnait avec un naturel désarmant. Ainsi je ressortis de la salle de bain en ayant perdu le peu qui me restait de ma virilité. Ce qui semblait pleinement satisfaire Mathilde qui m'inspecta comme s'approprie un nouveau jouet.
- tu vois, ce nétait pas sorcier ! C'est tellement plus agréable au touché et puis là, tu ne me caches plus ton petit sexe, tu me le montres et tu peux en être fier. Il signe les raisons de ta docilité et on a vu ensemble que tu ne devais pas avoir honte de ta condition. C'est beau les efforts que tu fais pour moi et je veux qu'on le sache !
A ses mots, et après avoir été tellement chahuté psychiquement ses derniers temps, je tombais à genoux et fondis en larmes. Elle était restée debout et se recula pour admirer son uvre
- c'est bien poussin, ce sont des larmes de bonheur, laisse les sortir, elles font parti de toi, de ta nouvelle sensibilité. Je suis heureuse que tu ais enfin compris.
- Oui Myrtille, Vous êtes ce qui m'est arrivé de meilleur dans la vie. Je veux tellement rester auprès de Vous.
- Tu sais que cela ne dépend que de toi. D'ailleurs lorsque tu es dans cette position, il faut que tu écartes bien les genoux de façon à que ton petit zizi soit toujours bien visible. On est d'accord ?
Je fis oui de la tête et vaincu je vis mes jambes s'écarter pour me mettre en position.
- Voilà, après t'avoir essuyé les yeux, tu pourras croiser tes mains dans ton dos et cambrer au maximum les reins. C'est la position d'attente que tu dois adopter chaque fois que tu attends un ordre.
Je reniflais, essuyais mes yeux et me mis en position d'attente comme demandé par Mathilde :
- Puis-je Vous poser une question ?
- Oui
- Quels vêtements vais-je mettre puisque les miens sont à l'extérieur ?
- Mais non poussin, on ne va pas retourner en arrière. Chez moi il n'y a qu'un seul vêtement que tu puisses porter, c'est ta nudité imberbe qui fait de toi ma propriété. Ce que nous allons apprendre ensemble c'est comment en être fier, comme je pouvais fier de promener Myrtille et que les gens me complimentaient sur sa docilité. Allez passons à table maintenant.
Mathilde était toujours aussi belle dans son jean slim et son chemisier Comme des garçons. Elle s'installa sur le canapé, posa son assiette sur la table basse et alors que j'allais m'assoir à côté d'elle, elle m'indiqua le sol à ses pieds.
- Je ne veux pas risquer de faire une tache sur mon canapé. Pour s'assoir, je préfère que les gens soient habillés... (Captant mon regard interrogateur) Je sais, tu vas me dire que Myrtille avait le droit de dormir dessus mais j'avais toute confiance dans ma chienne, elle savait se tenir. Allez, bon appétit poussin !
Je plongeais le nez dans mon assiette alors que mes fesses se refroidissaient au contact du carrelage. Un fois le repas terminé, je fis la vaisselle, comme j'en avais pris l'habitude lorsque nous mangions chez elle. Mathilde de son côté retourna sur son ordi pour vérifier ses mails.
La semaine s'était écoulée et j'avais pris l'habitude, en rentrant de l'atelier, de me mettre nu dans la cage d'escalier de son immeuble avant de rapidement frapper à sa porte. Le panier de linge sale avec couvercle avait été trouvé dans la semaine et c'était même moi qui étais allé l'acheter pour le disposer sur son palier. Parfois Mathilde jouait à prendre son temps pour m'ouvrir mais jamais je n'avais encore eu la malchance de croiser quelqu'un dans les escaliers. Ce dimanche soir, je retrouvais Mathilde tard car elle avait beaucoup de travail, ce n'était que la troisième fois que nous nous retrouvions de la semaine et elle me manquait vraiment. Aussi avait-elle consenti face à mon insistance, à ce que nous nous retrouvions malgré l'heure tardive.
"Et puis, c'est vrai que j'aurais besoin de me défouler un peu après ce week-end ordi !"
Lorsque Mathilde m'ouvrit je tombais à ses pieds pour les embrassés. C'était une nouvelle demande de sa part, elle trouvait que çà lui apaisait le souvenir de Myrtille qui lui manquait terriblement. Je devais, avec ma langue, jouer entre ses orteils comme le faisait Myrtille. Puis je courrais prendre ma douche. J'entendais Myrtille me dire :
"N'oublie pas l'intérieur
- Comment ?
Myrtille apparu dans l'embrasure de la porte de la salle de bain
- Ce nest pas possible, je dois tout t'expliquer ! Aller met toi à quatre pattes. Monte ton derrière et cambre les reins comme je t'ai appris.
Elle agrémenta ses paroles d'une claque appuyée sur mes fesses.
- Voilà c'est bien !
Elle avait pris dans la main une poire remplie d'eau qu'elle présenta à ma rondelle.
- Allez détend toi, il faut que tu l'avales. Voilà... C'est drôle ces bruits non ?
- ...
Appuyant sur la poire, elle remplissait mes entrailles d'eau glacée et mes intestins gargouillaient.
- C'est important que tu sois propre de l'intérieur, j'ai envi de t'utiliser ce soir. Alors tu restes avec le cul en l'air comme çà ! et quand je te dirais tu pourras aller te soulager aux toilettes mais tu penses bien à relever la lunette, poussin.
- Oui Mathilde.
C'était la première fois que je subissais un lavement et après quelques minutes, mes entrailles se tordaient déjà et l'envie était insupportable.
- Mathiiiildes ...
- Pas tout de suite poussin, attends encore un peu.
Au bout de quelques minutes supplémentaires, Mathilde me libéra enfin.
- Vas-y poussin, tu as été sage.
Je me vidais instantanément sur les toilettes, éclaboussant mes fesses et le rebord en faïence, que je mempressais de nettoyer avec le papier.
- Ecoute ce bruit est intolérable, il me donne la nausée. Il faudra que tu fasses tes saletés chez toi dorénavant ou alors j'irais te faire faire tes besoins au bois comme Myrtille, dit-elle en ricanant. Allez dans la chambre maintenant !
Elle était toutefois d'humeur guillerette et ce bruit désagréable n'avait pas entaché sa bonne humeur. Mes intestins me faisaient encore légèrement souffrir lorsque je retrouvais Mathilde allongée sur son lit.
- Allez viens vite entre mes jambes je veux jouir dans ta bouche. Tu l'as tellement mérité, çà te fait plaisir de me retrouver, poussin
- Bien sûr Mathilde Vous m'avez tellement manqué depuis mercredi.
Je m'agenouillais au pied du lit, les genoux écartés, les mains dans le dos et les reins cambrés. Mathilde pris le temps de s'installer confortablement, souleva sa chemise de nuit qui était une chemise qu'elle aimait beaucoup et qui avait appartenu à un de ses anciens amants, positionna ses fesses sur le rebord du lit, saisit mes cheveux et alors qu'elle se renversa sur le lit, vint coller mon visage sur son sexe. Je gardais désormais les mains dans le dos car elle estimait que j'étais alors mieux manipulable. Je m'appliquais à la pénétrer de ma langue mais très rapidement, elle faisait glisser ma bouche vers son trou du cul car il semblait qu'elle préférait cette sensation, mon nez venant chatouiller ses lèvres. Lorsque la jouissance s'approchait, elle tirait sur mes cheveux, remontant ma bouche au niveau de sa vulve et se libérait en jouissant sur mon visage. Généralement c'est à ce moment qu'elle me tournait le dos satisfaite. J'en profitais souvent pour me caresser un peu mais l'érection mettait souvent trop longtemps à venir. Mais ce soir son excitation ne retomba pas. Elle me rassit sur mes talons, se leva et alla passer une culotte. Puis fouillant dans son armoire, elle sorti un gode ceinture qu'elle se mit autour de la taille.
- Poussin, ce soir j'ai décidé de t'enculer. Je pense que çà peut être drôle de changer les rôles ! Enfin pas pour toi, tu n'as jamais eu ce rôle là ... Bref en place... Non, non poussin, c'est bien de te mettre sur le lit mais pas à quatre pattes, çà c'est entre homme et femme, met toi sur le dos. Tu sais, les jambes bien écartées que je vois ton zizi, comme Myrtille quand elle faisait sa soumise. Voilà, est-ce que tu te sens beau et fier de t'offrir comme çà à moi, poussin ?
- ...
- Je t'ai posé une question salope !
Et sous la colère, elle m'enfonça son sexe de plastique jusqu'à la garde, m'arrachant un cri contenu.
- Aaargg !
- Alors !?
Elle s'était arrêté me laissant empalé sur son dard et attendant ma réponse. Je me mis à pleurer.
- Oui, mmhhh, Mathilde, mmhhh, je me sens beau et je suis fier que Vous, mmhhh, me prenniez comme çà ...
- C'est bien poussin, j'aime quand tu pleures, çà accentue ta sensibilité de femelle. Regarde maintenant je peux aller et venir en toi et bientôt tu apprendras à jouir par le cul. Et je pourrais te rendre tout le plaisir que tu me donne avec ta bouche. Tu es belle, tu es lisse, tu es douce, dis moi comme tu aimes çà !
Je lui répondis dans un flot de larmes, alors que tout mon corps était ballotté, comme bercé par les va-et viens réguliers de Mathilde. Malgré la douleur, tout mon corps et les dernières bribes de ma volonté m'abandonnaient.
- Merci Mathilde, mmhhh, merci pour Votre générosité, je suis, mmhhh, si fier que Vous me, mmhhh, possédiez.
- Oui c'est bien poussin, dis moi que tu accepteras tout de moi, que tu es un sous-homme, une lopette. Continue de pleurer poussin, c'est beau ce que tu me donnes, que tu t'abandonnes !
- je suis fier d'être un sous-homme, je veux devenir votre lopette à jamais, Vous pourrez tout faire de moi.
Plus je m'avilissais, plus Mathilde jouissait de sa toute puissance et plus elle m'encourageait à me rabaisser, si bien que, bercé par le cul, je lâchais définitivement mes dernières résistances.
- Oh oui, dis moi que tu es bien quand tu es sailli par moi.
- Gardez-moi près de Vous !
- J'essaierais Poussin, j'essaierais... mais d'abord je veux t'entendre ronronner, laisse toi aller, poussin !
Je ne pouvais m'empêcher de pleurer, mon corps s'était transformé en pantin, mes jambes pendaient de part et d'autre de Mathilde qui accélérait la cadence, agrippant mon sexe et mes couilles, comme la sangle d'une monteuse de rodéo. Je lâchais des râles de douleur, d'épuisement et de plaisir mêlés. Dans son excitation, elle faisait sortir le gode de mon fion qui finissait sa course dans mes couilles, à les éclater. Alors elle se ravisait ("eh merde"), me repositionnait en tirant nerveusement sur mes jambes, puis m'embrochait à nouveau. Après une demi-heure de ce pilonnage, Mathilde était exténuée, elle se retira de mon trou béant et s'écroula sur le lit. Je senti alors ses pieds pousser sur mes épaule, qui me dégageaient du lit comme on vire une couette trop chaude.
- Je préfère dormir seul ce soir poussin, je suis vraiment fatiguée et demain j'ai une dure journée. Je t'ai ressorti le matelas de Myrtille, je nai pas eu le temps de le nettoyé mais Myrtille était propre.
Le matelas était en fait, un grand panier en mousse qui sentait affreusement, et qui n'était pas du tout adapté à mon gabarit, si bien que même recroquevillé, ma tête et mes pieds dépassaient. La nuit fût longue, d'autant que mon cul me faisait un mal de chien. J'avais le sentiment d'avoir été éventré.
Les semaines qui suivirent, les choses rentraient dans l'ordre. J'avais pris l'habitude de passer chez moi pour faire mon lavement et me raser le corps. Je me déshabillais sur son palier, lui léchais les pieds lorsqu'elle ouvrait, courrais à la douche puis me mettait en position d'attente au milieu du salon, à genoux, les jambes écartés, les mains dans le dos et cambré. Généralement nous mangions, moi à même le sol et elle à la table de sa cuisine. Elle aimait bien jouer avec désinvolture de ses pieds sur mon corps glabre, quelque chose qu'elle adorait faire avec Myrtille. Je devais alors m'arrêter de manger et mettre sur le dos, les bras le long du corps, les pieds remontés sous les fesses et les genoux largement écartées. J'avais appris à apprécier ces moments de complicité. Puis elle retournait à ses mails, ses appels aux copines pendant que je faisais la vaisselle et le rangement. Enfin selon son humeur, elle me prenait directement sur la table basse du salon, m'emmenait dans sa chambre pour me caler entre ses jambes ou simplement m'envoyait passer ma nuit dans mon panier, qu'elle avait fini par mettre dans l'entrée. Une fois, elle est venue au milieu de la nuit, après s'être levée pour aller aux toilettes ; m'a pris par les cheveux afin que je lui lèche les poils de son sexe encore humides et acres, puis elle est repartie se coucher.
Mathilde avait raison, car hier nous avons fêté ma première jouissance anale. Elle me labourait comme elle aimait le faire sur la table basse du salon (cette table avait la hauteur idéale qui faisait que lorsqu'elle se mettait à genoux sur un coussin du canapé, son sexe artificiel venait naturellement se positionner sur ma rondelle). J'étais abandonné, la tête dans le vide de l'autre côté de la table, les jambes pendantes de chaque côté de son pantalon. J'avais appris à l'accueillir, à me laisser pénétrer et ce soir là, après un petit quart d'heure, je sentis mon sexe mou, posé sur mon ventre, répandre son jus chaud. Mathilde alors s'écria victorieuse :
- Regarde poussin tu coules ! Il faut fêter çà ! Ne bouge pas je reviens !
Elle se retira immédiatement, me laissant avec ma frustration car mon sexe continuait de couler dans d'infimes soubresauts. Elle revint avec une demi-bouteille de champagne, un verre et une tasse. Je relevais la tête mais elle m'ordonna de rester à ma place. J'entendis le bouchon sauter et le verre se remplir. Puis le contact froid de la porcelaine sur mon ventre. Elle recueillait ma semence avec la tasse et me dit :
- Tu peux te relever poussin, pour trinquer à ton premier orgasme.
Elle me tendit la tasse et la toqua avec sa coupe de champagne. On devait pouvoir lire du dégout sur mon visage car Mathilde haussa la voix.
- Tu ne vas pas me faire cet affront alors que je t'improvise cette petite fête ! Et puis vire moi cette tête de con, tu n'y a même pas goûté comment peux tu savoir que tu n'aimes pas !
J'approchais doucement les lèvres de la tasse, basculais la tête en arrière et fis glisser le sperme jusqu'à ma bouche. Au moment où je retirais la tasse, un long fil se forma.
- On lève le petit doigt avec une tasse, poussin !, fit-elle en riant.
Alors que mon petit doigt se levait, elle m'arrêta :
- Mais non idiot, je rigolais. Pose la plutôt au sol pour la laper ! Voilà qui est mieux, monte bien tes fesses et garde les deux bras le long de la tasse comme si tu avais des pattes. Oui comme çà c'est bien.
Mathilde admirait le spectacle qu'elle venait de mettre en scène, tout en sirotant son champagne. Et c'est à ce moment que "poussin" disparu :
- Si tu te voyais, je suis sûr que tu serais comblé. Je pense qu'il me faut te baptiser maintenant.
Mathilde alla à son bureau et revînt avec un fin collier de cuir noir muni d'une boucle, d'une plaque et d'une fermeture garantie par un petit cadenas. Me le passant autour du coup, elle déclara :
- Voilà, à partir d'aujourd'hui tu t'appelleras doly et tu porteras ce collier en permanence en gage de ton appartenance. Sur la plaque, j'ai fait graver que tu étais ma propriété. Et je garderais en permanence la clé du cadenas à ma petite chaîne de cheville. Maintenant tu peux me remercier doly !
Et elle tendit ses pieds au dessus de la table basse que j'embrassais avec application.
- Allez viens me voir maintenant, doly !
Je m'agenouillais entre ses jambes. Elle releva mon menton avec la main pour admirer le collier.
- Il te va à merveille, je suis tellement fier de ce que tu es devenu. Quelle joie de te voir enfin prendre du plaisir. Je suis heureuse de ne pas avoir perdu espoir et de t'avoir fait confiance ! Retourne sur la table que je te donne du plaisir, doly !
Mathilde tenait toujours sa coupe de champagne et avait repris ses va-et-vient avec gourmandise. Quant à moi, il me semble que dans le fond j'étais soulagé car ce collier garantissait au moins pour un temps la pérennité de notre amour et de notre relation.
(à suivre)
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