Leslie Hs05

Leslie HS05 – Hors-série – Surprises au club

C’est un petit club qui ne paye pas de mine, je l’ai découvert par hasard il y a quelque temps, une amie m’en avait parlé et j’avais été y prendre un verre un soir, l’ambiance m’avait plu et j’y suis retournée un soir.
Au fond d’une cour pavé, il faut vraiment savoir qu’il y a un club à cet endroit, sinon on a toutes les chances de le louper.
Il accueille des gens en mal d’amour et à la recherche d’une aventure d’un soir et surtout des échangistes qui ne se privent pas de faire leurs affaires au grand jour, enfin de nuit, car à minuit les portes se ferment et le club devient privé, laissant libre cour aux personnes présentes de se laisser aller…

Aujourd’hui, le club organise une soirée à thème, « liaisons libres sans lendemain ».
Il y a pas mal de monde, surtout des habitués, qui savent qu’au sous-sol il y a des chambres pouvant accueillir les couples et les laisser se lâcher en étant mater ou non suivant le type de chambres choisies.
Quand à minuit les portes se ferment, mon regard glisse sur quelques femmes vêtues aussi légèrement que la pudeur le permet et certaines même les seins nus s’exhibant en dansant au milieu de la piste et dans les coins les plus sombres certains couples s’adonnent déjà aux caresses bien ciblées ne laissant aucun doute sur la suite de leur soirée.

Je suis installée au comptoir, sur un grand tabouret et je sirote mo verre de gin-fizz, l’éclairage a été baissé d’intensité, rendant l’endroit plus secret et laissant les clients dans une semi pénombre et permettant aux plus intrépides de se laisser aller.
D’ailleurs des gémissements commencent à se faire entendre, venant des coins les plus sombres, maintenant plongés dans une obscurité presque totale, seuls des corps entrelacés se laissent devinés.

A côté de moi, un couple d’environ vingt-cinq ans est installé. La fille est superbe, brune, les cheveux longs et lâchés, les traits réguliers et de grands yeux foncés.

Ce n’est pourtant pas son visage qui attire mon attention, aussi joli soit-il, mais plutôt son corps. Elle porte un jean taille basse, vraiment basse, qui moule des fesses rebondies et qui laisse entrevoir une peau claire et un tatouage tribal dans le bas de son dos et sous un pull d’été assez ample, elle tente, sans succès, de camoufler des seins bien formés qui sont en harmonie avec sa silhouette.
Une cigarette à la main, elle fume près de moi et sa je vois sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration, son bras frôle le mien de temps en temps et je sens l’odeur de son parfum mêlé à la fumée sa cigarette.
Par moment, d’un regard furtif elle me dévisage, m’honore même d’un sourire en coin, sans gêne, je le lui rends et replonge aussitôt dans mon verre.
Son copain la tient par la taille et je suis loin d’imaginer la suite…

Je précise que pour aller dans ce club, je me suis habillée du minimum, chaussée de mes talons aiguilles, mes jambes nues, sans string le sexe et le cul à l’air, juste avec une petite robe ample, qui fait que je suis assise fesses nues sur mon tabouret et un petit corsage blanc transparent, laissant deviner ma poitrine libre et nue.

Le couple discute à voix basse, et j’ai l’impression qu’ils parlent de moi. Je feins de les ignorer, me concentrant sur la piste de danses où des couples dévêtus se caressent et s’embrassent, visiblement l’ambiance est soudainement montée d’un cran.
Je remarque même certaines femmes, qui la main plongée dans le pantalon de leur partenaire de danse, soupèsent les attributs virils en se laissant peloter leurs fesses.
Soudain, la fille se penche vers moi et me dit :
- Je peux te parler une seconde ? dit-elle.
Ses yeux brillent, ce qui la rend encore plus sexy, une main posée sur mon bras, elle me glisse à l’oreille :
- Tu veux une cigarette ?
J’accepte, bien que je ne sois pas fumeuse, cette acceptation me donne l’impression d’être à l’écoute en me donnant une certaine assurance sur la suite de ce qu’elle va me dire.

- Je m’appelle Angélique, nous sommes des habitués et nous avons flashé sur toi et nous aimerions faire plus ample connaissance.
Elle hésite, prend un peu de temps pour choisir ses mots.
- Pour faire l’amour…
Une montée d’adrénaline se fait ressentir en moi et aussi un début d’érection, légèrement stupéfaite de la demande et l’envie d’aller plus loin.
Elle me sourit avec un sourire d’ange, contrastant avec l’obscénité de son invitation.
- Ce n’est pas une blague, dit-elle, nous voulons une fille qui nous plaise à tous les deux pour cette partie à trois, et Tony pense que tu celle que nous recherchons ce soir.
Pendant qu’Angélique me parle, tout en fumant notre cigarette, Tony est passé derrière moi et a collé son corps contre le mien, je sens son souffle chaud dans mon cou et l’entends me dire à l’oreille :
- Tu parais si timide et réservée, que je ne sais pas ce qui me retiens de te prendre là contre le bar !
- Tu trouves que je suis timide ? Dis-je.
Dans le même temps je recule un peu sur mon tabouret de façon à coller mes fesses contre le bas ventre de Tony, en rajoutant :
- Moi je ne le crois pas !
- Ta façon de baisser les yeux quand une fille te sourit le prouve, mais t’inquiète pas, ça ne gâche rien à ton charme et ce que tu fais là me prouve que je me suis peut-être trompé.

Sans se soucier de l’environnement et des éventuels clients qui pourraient nous voir, Tony soulève le bas de ma jupe et caresse mes fesses en disant à sa compagne :
- Pas si timide, ni pudique que ça, elle ne porte pas de culotte !
- C’est une belle occasion mon chéri, profite de son petit cul ! Dis Angélique.
Aussitôt je sens un doigt me doigter l’anus, je frémis alors qu’Angélique dépose ses lèvres sur les miennes, et m’attirant vers elle, elle m’oblige à plus me cabrer et donc à m’offrir encore plus à son homme.
Je le sens ouvrir son pantalon dans mon dos et après avoir craché dans sa main et m’avoir enduit le trou du cul avec, je sens son gland se poser sur ma rondelle.

Angélique continuant de m’embrasser à pleine bouche, me tiens les mains en disant doucement :
- Il adore !
C’est à cet instant que je sens le membre d’Hugo me perforer le cul en me faisant pousser un petit cri. La pénétration me laisse supposer que le membre d’Hugo est épais, car mes chairs sont distendues.
Il m’encule ainsi, moi assise sur le tabouret et lui debout dans mon dos, il va et vient pendant un long moment, puis se retire en disant :
- Allons en bas nous serons mieux !
Un peu frustré et le cul ouvert, je ne peux qu’accepter la proposition…

Nous descendons au sous-sol et Angélique choisit une chambre libre, qui a la particularité d’être équipée d’oculus à glace sans tain, côté intérieur, permettant de voir de l’extérieur ce qui se passe dedans.
C’est elle qui me laisse entrer en première et Hugo le dernier ferme la porte de la chambre à clé
La chambre spartiate, n’est meublée que du strict nécessaire pour les besoins de la cause pour laquelle les gens s’y retrouvent. Un grand lit et un fauteuil, et aussi une table de chevet avec tout le nécessaire destiné aux protagonistes désireux de se donner du plaisir.
Entre autre chose, hormis les préservatifs d’usage, il y a des godes, des menottes et autres accessoires de sado-maso, un gode ceinture et un tube de gel.
Une bouteille de champagne et des verres complètent la panoplie du avoir vivre de l’établissement.
Après qu’Hugo nous ai servis une flute de champagne, me voilà affalé dans le fauteuil où je sirote ma flute de champagne. Hugo et Angélique se sont installés sur le lit devant moi, lui assis sur le bord et elle allongée sur le côté, jambes repliées, le jean déjà entrouvert près à être enlevé.
On débite quelques banalités d’usage sur nos pratiques et nos préférences, et je sens que le courant passe bien.
Peu de temps après la bouteille est vide et Hugo s’éclipse dans la salle de bains, Angélique se lève et vide le fond de son verre d’une seule traite, mon cœur s’affole en la voyant se rasseoir sur le coin du lit.


Son jean complètement ouvert est descendu sur ses hanches, elle se penche un peu en arrière et finit de l’ôter, puis en s’appuyant sur les coudes elle écarte les cuisses, légèrement, elle ne porte pas de culotte.
Elle me laisse découvrir son pubis, sans polis aux lèvres joliment dessinées et apparentes.
Je me lève et viens m’agenouiller entre ses jambes et les ouvre d’avantage.
Son sexe est à quelques centimètres de mon visage. Elle est complètement épilée, c’est la mode aujourd’hui et j’aime ça, elle soulève ses fesses et approche sa chatte vers moi, encore plus.
De deux doigts elle écarte ses lèvres fines, son intérieur intime déjà brillant de cyprine. Hugo est encore dans la salle de bains et il nous laisse faire connaissance, je pense.
Elle colle sa chatte sur ma bouche, son bassin balance de bas en haut pour se frotter sur ma langue et elle gémit, on ne s’est même pas encore embrassés.

Brusquement, elle se redresse et retire son pull d’un geste rapide, sa poitrine m’apparait avec des seins qui sont effectivement bien formés et restent dans une tenue impeccable, fermes, ne retombant pas sur son buste, les mamelons sont petits et rosés, pas proéminents mais nettement dessinés. Ses épaules sont larges, et ses bras minces, un ventre plat, elle est parfaite, elle est vraiment très excitante.

Maintenant complètement nue, elle se rassoit sur le matelas et m’offre ses lèvres quand je tente de l’embrasser, d’une main, elle agrippe un de ses seins qu’elle malaxe en jouant avec la pointe. L’autre main disparaît plus bas, et trouve mon membre que ma jupe ne lui a pas encore dévoilé.
Elle le caresse avec ses grands yeux remplis de surprise et me dit à voix basse :
Humm, une femme a bite, c’est mon jour de chance, en plus t’as une bonne queue.
Elle à commencer à se masturber, son majeur s’activant sur son clitoris tout en me regardant d’envie et de désirs, alors elle rajoute :
- Viens, suce-moi !

A suivre…

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