Les Talons Rouges (Épisode N°05)
LES TALONS ROUGES (épisode N°05)
Agathe Donamaria de Urroz vit avec sa sur et son beau-frère depuis son plus jeune âge, au Château de Garralda. Âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Mais cela ne suffit pas à son amant. Il lui faut aussi son cul et la belle Agathe se laisse aussi prendre la virginité de son anus. Un jeu, alors quelle a les yeux bandés lui fait croire que plusieurs personnes nt delle, alors quelle est seulement victime dun stratagème de Jacques
VI - Surprise
À son tour, quelques jours après, Agathe propose à Jacques de participer à un jeu identique et lui demande sil accepte dêtre attaché le visage recouvert dune cagoule pour quelle lui fasse une surprise. Amusé, il acquiesce, se demandant ce quelle a trouvé pour létonner. Après un long silence, il entend le bruit dune porte, qui souvre et se referme, et même des murmures ; il sourit, pensant quelle lui refait le coup de la semaine précédente. Soudain il sent deux corps de femmes, une de chaque côté de son corps, qui, de leurs doigts fins, caressent et masturbent délicatement sa verge qui enfle en un instant, il surprend le babillage joyeux de deux femmes qui samusent vraiment avec lorgane mâle dont elles disposent à leur guise, lune est sans conteste Agathe, mais lautre excite sa curiosité. Qui peut-elle être ? Enfin une bouche absorbe son vit et le suce avec douceur. Des mots susurrés lui font comprendre que la seconde femme est réticente à lui faire une fellation. Malgré tout, il sent la différence de lèvres malhabiles qui osent à peine entourer son gland. Petit à petit la bouche senhardit et Jacques, dont la surexcitation est à son comble à cause de cette situation insolite, a bien du mal à ne pas éjaculer voulant se réserver pour la suite des événements. À ses grognements, les deux complices comprennent quil leur faut passer à autre chose, aussi, après quelques chuchotements, il comprend quune des deux femmes incite lautre à un acte qui ne retient pas tout de suite son approbation.
- Oh ! Ma chérie, cest divin, jamais je nai ressenti cela, cest bon cette langue qui me fouille ainsi, jamais
Jamais, mon mari na osé me faire ce que ton amant est entrain de me faire découvrir.
- Tu vois, jai peut-être attendu trop longtemps avant de découvrir lamour, mais au moins je suis tombé sur un maître en la matière, laisse-toi aller Gaa
Ma chérie, profite de cette nuit pour assouvir tes fantasmes. Le Masque saura te contenter, jen suis certaine.
- Oh ! Oh ! Oh ! Oui ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Oh ! Mon Dieu cest trop bon, je vais mourir ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhhhhhhhhh !
La femme se trémousse, frottant son pubis quelle appuie fortement contre la bouche de Jacques, prenant son pied et jouissant comme une diablesse, comme jamais sans doute son mari ou ses amants nont su le faire. Mais Agathe, laidant à se retirer, lui fait chevaucher Jacques et, celui-ci sen rend bien compte, laide de ses mains à sintroduire le membre dans sa chatte, tenant dune main la verge pour quelle se dirige maladroitement vers lexcavation étroite de lautre femme qui se montre très malhabile.
- Agathe, vous vous y prenez mal toutes les deux. Si tu veux que je contente ta sur, détachez-moi et je la prendrais et la ferais jouir avec plus de facilité. Laissez-moi mon masque, ainsi Gaëlle ne saura pas qui je suis. Si elle me rencontre un jour, ainsi elle ne sera pas mal à laise. Mais arrêtez de me prendre pour un demeuré, je ne demande quà lui être agréable.
Les chuchotements reprennent, avec quelques éclats de voix, les deux surs se disputent certainement. Mais les menottes qui entravent Jacques lui sont enlevées et, se redressant sur le lit, il tâtonne jusquà ce que ses mains découvrent un corps mince et sec, aux petits seins très fermes, le bassin est étroit et les cuisses nerveuses. Gaëlle se laisse caresser, pétrifiée par lhomme au masque qui ne peut la voir et qui découvre son corps en aveugle. Il atteint bientôt le mont de vénus, joue avec les mèches folles des poils pubiens et introduit ses doigts dans le vagin, qui maintenant ruisselle dabondantes sécrétions vaginales. Gaëlle gémit, mais sentrouvre aux doigts fureteurs qui lenflamment, surtout lorsquils pincent son clitoris puis le caresse avec douceur, la faisant hoqueter de plaisir. Enfin lhomme lallonge sur le lit et se penchant entre ses cuisses, il la broute longuement, lui faisant faire des sauts de carpe sous ses voluptueuses caresses linguales. Sentant quelle est enfin prête, il sagenouille entre ses cuisses, puis, très doucement, il sintroduit dans le pertuis baveux, senfonçant lentement dans le conduit maintenant lubrifié et simmobilisant au fond de la matrice. Glissant ses bras autour de la taille fine de la quinquagénaire, il sallonge entièrement sur elle, écrasant ses petits seins dadolescente, puis prenant sa bouche dans la sienne, il lembrasse amoureusement, tout en commençant un va et vient de ses reins, entrant et sortant sa verge qui racle contre le clitoris érigé.
Jacques se retire de la femme évanouie avec précaution, alors quau même moment, il est attiré par Agathe qui lui glisse dans le creux de loreille.
- Viens mon chéri, jai envie de toi et tu as presque tout donné à ma sur, je vois que ta verge est encore toute raide, baise-moi mon amour, jen aie tellement envie.
Jacques, excité depuis trop longtemps, att sa maîtresse brutalement par le bras et la pliant sous lui, il laccule contre un mur ; fourrageant entre ses cuisses, il les écartèle et plonge son vit dans la fente vulvaire toute bouillonnante dexcitation contenue, bourrant sans ménagement les muqueuses vaginales, arrachant à son amie des cris de jouissance et de douleur entremêlés. Trop rapidement à son gré, il éjacule à gros jets saccadés, mais mû par une tension intense, il continue à fouiller les chairs maltraitées, provoquant un orgasme incroyable à sa compagne qui tourne de lil elle aussi.
Soulevant son masque, il observe attentivement les deux femelles évanouies, puis, les prenant dans ses bras, il les dispose sur le lit en se laissant une place pour lui au milieu delles, contemplant les deux corps quil a fait jouir et qui, il le reconnaît, lont fait jouir lui aussi avec une grande intensité.
- Merci. Oh ! Merci Jacques. Agathe ne mavait pas avertie de lidentité de son amant, pourtant je viens de vous reconnaître à linstant. Je suis confuse et méprisable de mêtre ainsi offerte à vous. Cela ne sert plus à rien de garder votre masque. Vous pouvez regarder mon corps nu, même si jai toujours aussi honte de mon indignité et de la débauche à laquelle je me livre, mais jai envie dembrasser votre visage et de moffrir encore plus à vous. Si vous saviez ce que vous venez de me faire découvrir !...
Elle retire le masque de Jacques et sétend sur lui, cherchant ses lèvres. Celui-ci ne se dérobe pas, mais il attire aussi contre lui Agathe qui pourrait devenir jalouse, embrassant à tour de rôle les deux femmes qui se frottent maintenant sans vergogne contre son corps mâle et bronzé. Comme par inadvertance, les bouches des deux surs se rencontrent souvent contre les lèvres de leur amant. Jacques qui observe avec amusement ce rapprochement prend leurs têtes dans ses mains et, se retirant soudain, il les laisse lune en face de lautre en leur disant.
- Embrassez-vous mes jolies, vous êtes ma joie, mais je veux aussi que vous vous en donniez toutes les deux, et pas seulement avec un bouche-à-bouche. Je veux vous voir vous lutiner devant moi comme vous lavez certainement fait lorsque vous étiez s.
Les deux surs ont bien sûr eu des instants quelque peu ueux dans leur plus jeune adolescence. Elles ont un instant dhésitation, devant ce que leur acte peut avoir de conséquence sur leur vie future, mais, des souvenirs diffus leur reviennent, éveillant leur subconscient. Se rappelant leurs jeux troubles lorsquelles étaient plus jeunes. Désinhibées, elles osent sembrasser, dabord maladroitement, puis avec plus de conviction ; hésitant à se caresser dans un premier temps, mais encouragées par Jacques qui les contemplent avec des yeux amusés, elles se décident à découvrir leurs corps respectifs avec leurs doigts, accompagnées par le mâle, qui avec ses mains et sa bouche accentue encore à la confusion de la scène saphique. Les six mains et les trois bouches sentremêlent, alors que les vulves souvrent sous des mains et des lèvres qui nont plus didentité. Agathe broute la minette de sa sur, qui, elle même, tète son opulente poitrine tout en raclant de ses ongles fins la fente de sa sur cadette, celle-ci reçoit également les doigts de son amant, qui mordille pendant ce temps les petits seins graciles de Gaëlle. Difficile de sy reconnaître dans ce fouillis de corps étroitement enlacés. Les deux surs, dans la position inversée du 69, sont devenues de véritables bacchantes, elles se gouinent furieusement en fouillant de leur langue la chair de lautre, alors que Jacques, passant de lune à lautre, enfile leurs chattes, si réceptives et béantes devant lorgane masculin qui les saccage. Des heures durant, ces débordements ueux secouent le trio dépravé, et, cest au petit matin, que Gaëlle, toute échevelée, rejoint sa chambre, espérant ne rencontrer personne dans le couloir, surtout pas son mari, qui heureusement fait chambre à part depuis le début de leur mariage arrangé.
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