La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1453)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1450) -

Ils terminent de déjeuner, puis la jeune femme quitte les appartements du Maître après l’avoir salué respectueusement… Les jours passent et les vacances du Maître se terminent sans aucun encombre, Vanessa profite de ses matinées libres pour s’entraîner, se promener sur la plage, téléphoner à Laurent en lui parlant de tout ce qu’elle vit et de tous ses ressentis, découvrir la ville en vélo, aux nombreuses pistes cyclables. Le reste du temps elle est à disposition des serviteurs du Maître, lorsque ce dernier ne la réclame pas à Ses pieds, ce qu’Il fait rarement, préférant récompenser de Sa présence Ses soumises employées de Son hôtel qui n’ont pas la chance de vivre proche de Lui le reste de l’année…

Le jour du retour est donc arrivé, chaque esclave a reçu l’ordre d’être prêt dans le parking du sous-sol à 10h précise, avec sa valise… Alors que l’aube pointe, Vanessa se lève donc tôt, puis prend un rapide petit-déjeuner, pour ensuite profiter une dernière fois de la mer avec une séance de natation. Pendant ce temps, le Noble qui se lève, la remarque de son balcon, Il sourit de voir à quel point elle semble dans son élément, aussi dans l’eau. Au retour dans sa chambre, elle prend une bonne douche, range la chambre pour éviter trop de travail au personnel de l’hôtel, fait sa valise, passe une robe légère sans aucun sous-vêtements, puis rejoint rapidement le sous-sol. Elle est la dernière arrivée, tous ses sœurs et frères de soumission sont à genoux alignés sur le côté du car, seul le conducteur, casquette sur les yeux, est debout à faire le tour du véhicule avant de prendre la route. Elle dépose sa valise dans la soute avec celles des autres, puis s’agenouille au bout de la file en parfaite position d’attente alors que les portes de l'ascenseur s’ouvrent.

Monsieur le Marquis en sort accompagné de Walter, immédiatement le conducteur qui terminait ses vérifications, s’agenouille à son tour, posant sa casquette devant lui.

- chien Maxime, l’autocar est-il prêt à partir ?, questionne Le Noble.
- Oui Maître, tout est en ordre, répond humblement l’homme.

Le Châtelain se tourne alors vers Ses esclaves, Il les observe un à un, satisfait de leur obéissance, chacun patientant dans une position parfaite. Les serviteurs arrivent à leur tour et rangent leurs valises dans la soute, et patientent en ligne le long du car, face aux esclaves. Le Majordome s’approche de soumise Keira MDE, un sac de tissus à la main.

- soumise Keira MDE, comme c’est toi qui a eu l’honneur de faire l’aller à Mes côtés, c’est ta main hasardeuse du tirage au sort qui va décider de celui ou celle qui aura l’honneur de faire le retour, annonce le Maître.

La jeune femme plonge sa main dans le sac que lui tend Walter, elle en ressort un petit papier cartonné qu’elle tend au Noble qui le prend pour lire le nom inscrit dessus.

- Eh bien, décidément, la chance te sourit, soumise MDE, il est rare d’être tirée au sort deux fois de suite.

Vanessa comprend que c’est son propre nom qu’elle vient de tirer et se prosterne immédiatement pour demander la parole. Le Noble connaissant parfaitement Sa favorite, se doute de ce qu’elle souhaite dire, aussi Il lui octroie la parole.

- Je t’écoute.
- Maître, merci de daigner me laisser la parole. Je suis honorée d’avoir eu la chance de faire l’aller à Vos côtés, et ce serait un honneur de pouvoir faire le retour, mais je ne suis pas plus méritante que mes sœurs et frères de soumission et, j’aimerai qu’un ou une autre puisse avoir cet immense honneur que j’ai déjà pu savourer à l’aller, annonce-t-elle d’un ton parfaitement soumis et empli de dévotion pure.

Le Majordome regarde son patron d’un œil interloqué, aucun esclave n’aurait fait cette requête, car en effet le trajet dans la Rolls, même aux pieds du Maître, reste plus confortable que dans l’autocar, sans parler du plaisir de contenter le Châtelain plutôt que ses serviteurs. Monsieur le Marquis sourit, Vanessa a un fond naturellement généreux, c’est indéniable.

- Soit, j’accepte ta requête, tu peux tirer un autre carton, répond Le Noble d’un ton satisfait, faisant comprendre à la jeune femme qu’Il apprécie son attitude.

Vanessa plonge alors de nouveau sa main dans le sac, tend un autre petit carton au Noble, Il le lit et se dirige vers un esclave mâle.

- Suis-moi Mon chien, nous y allons, ordonne-t-Il simplement.

Le Maître monte dans Sa voiture, suivi de l’esclave mâle qui le suit en quadrupédie, Walter referme la porte, il prend le volant et la voiture s’éloigne… Une fois le luxueux véhicule parti, Vincent un des principaux serviteurs du Maître, prend la parole :

- Allons, montez-tous chacun à votre place, et toi le chien va démarrer le moteur, nous allons partir.

Chacun monte dans le car, s’asseyant à sa place, s’empalant sur les plugs et gods prévus à cet effet sur chacun des sièges. Les serviteurs entrent à leur tour pour rejoindre le fond du car. Et en passant Bertrand, celui qui avait dépassé les limites du Maître, s’arrête à hauteur de Vanessa.

- Tu aurais dû accepter ce voyage avec Le Maître, je pense que tu vas vite regretter ton choix, murmure-t-il sur le ton d’une mauvaise promesse ayant un parfum de vengeance.

soumise Keira MDE ne doute pas qu’il veut se venger et risque de sortir du cadre, elle pourrait le craindre, mais elle sait qu’il n’est pas seul et que s’il dépasse trop les limites, les autres serviteurs assureront sa sécurité. Le trajet a démarré depuis à peine une demi-heure quand le bus arrive sur l’autoroute. Une fois la barrière du péage dépassée, Bertrand décide de mettre sa promesse à exécution.

- soumise Keira MDE aux pieds, ordonne-t-il du fond du car

Vanessa ne perd pas une seconde, ne souhaitant pas lui laisser une excuse pour sévir, se place à quatre pattes dans l’allée centrale et le rejoint dans l’espace confortable dédié aux serviteurs. Il l’attend une cravache à la main, un sourire pervers aux coins des lèvres mais sous le regard désapprobateur de Vincent qui se doute qu’il va vouloir se venger. Elle se place en parfaite position d’attente à ses pieds et patiente son bon vouloir. Il pose la cravache sous son menton pour lui faire relever la tête et plonger son regard dans ses grands yeux verts.

- Bien soumise, il me semble que tu me dois une punition ?

Keira MDE ne répond pas, se forçant à garder un regard neutre pour ne pas paraître effrontée.

- Tu es d’accord avec ce fait ?, questionne-t-il d’un pervers ton sadique cherchant à la faire fauter.
- Monsieur, je ne suis qu’une soumise MDE, mon avis importe peu, si vous jugez que je mérite une sanction, je n’ai pas à être d’accord ou non, répond-t-elle d’un ton parfait monocorde.
- Exact, répond l’homme sur le ton du regret qui aurait espéré qu’elle faute dans sa réponse… Par ta faute, j’ai été privé du plaisir d’user librement des soumis (ses) MDE, je vais donc user librement de toi maintenant.

Sans un mot de plus, Bertrand la prend par les cheveux et dirige sa bouche vers son sexe déjà dressé qu’il a préalablement sorti de son pantalon via la braguette grande ouverte. Vanessa s’applique à lui procurer la meilleure fellation possible, mais rapidement il prend sa tête entre ses mains et applique lui-même le rythme. N’ayant pu user librement des soumis MDE ces derniers jours, il ne tarde pas à se vider les couilles, et donc à jouir, déversant sa semence dans la bouche de la jeune femme, dans un long râle libérateur et bruyant. Elle ouvre la bouche pour la lui présenter, attendant l’ordre d’avaler, mais Bertrand ne lui donne pas.

- Reste ainsi, bouche ouverte, sans bouger, ordonne-t-il en s'asseyant confortablement dans son fauteuil.

Bertrand ne la quitte pas des yeux, attendant qu’elle fasse une erreur, un seul mouvement, qu’il pourrait sanctionner, mais elle ne lui donne pas ce plaisir. Il finit par lui ordonner d’avaler, puis lui tend un plug d’une taille impressionnante.

- Tu as 3 minutes pour le faire entrer dans ton cul de chienne, chaque seconde de retard sera sanctionnée, espèce de salope, ordonne-t-il d’un ton sadique.

soumise Keira MDE se saisit de l’objet mais sait pertinemment qu’il va lui falloir plus de temps, surtout qu’il ne lui a laissé aucun lubrifiant et qu’elle n’est pas très humide. La situation ne l’excitant pas particulièrement, elle s’apprête à le porter à sa bouche pour utiliser sa salive, mais il la stoppe :

- Tu comptes faire quoi exactement?, accuse-t-il lui assénant un violent coup de cravache sur l’avant-bras.
- Utiliser ma salive pour le lubrifier, Monsieur, répond-t-elle d’un ton parfaitement respectueux.
- Interdiction, tu te démerdes pour mouiller la chienne, sinon rien ne t’interdit de te l’introduire à sec, répond-t-il toujours avec un mauvais sourire aux coins des lèvres.

La jeune femme a toutes les peines du monde à le faire entrer, elle s’y reprend de très nombreuses fois, détendant son anus. Elle ne doute pas qu’elle a dépassé le temps, mais n’y pense pas, se concentrant sur son corps, sur son fondement pour qu’il accepte ce volumineux plug. Après un long moment, elle y parvient enfin, non sans esquisser une grimace de douleur. Vanessa prend quelques secondes pour s’en remettre et reprend une position d’attente.

- Enfin ! Quel temps penses-tu avoir mis, la chienne ?
- Je ne sais pas Monsieur, peut-être 5 minutes.
- 5 minutes 8, je t’ai promis de sanctionner chaque seconde de retard, soit 128 coups. Debout, jambes écartées, mains derrière la nuque, ordonne-t-il d’un ton sec.

Vanessa obtempère sans tarder. Bertrand se lève la cravache à la main, mais alors qu’il allait s’apprêter à asséner le premier coup, Vincent le stoppe net en intervenant.

- Arrête Bertrand. Je pense que tu ne devrais pas chercher à attiser davantage la colère de Monsieur Le Marquis, lui conseille-t-il.
- Pourquoi le mettrais-je en colère, cette sanction est méritée, je lui ai donné les règles, elle ne les a pas respectées, n’est-ce pas soumise ?
- Oui, Monsieur, je connaissais les règles.
- Attention Bertrand, reste dans les clous, c’est un conseil, conclut Vincent.

Bertrand ne répond rien et reprend, armant son bras pour frapper une première fois. Il enchaîne ses coups, la jeune femme compte sans émettre un seul signe de faiblesse. Mais après le trentième coup, il se met à viser toutes les parties de son corps sans exception, ses jambes jusqu’à ses mollets, ses bras jusqu’à ses poignets, il n’oublie aucune zone du corps de la jeune femme, frappant fort pour la faire plier, mais Vanessa ne vacille pas et compte sans se tromper.

- 128, souffle-t-elle sur un ton de délivrance alors qu’il arrive au dernier coup.
- Remets-toi en position d’attente, à genoux, mains dans le dos, ordonne-t-il en la délaissant.

Les minutes passent, Keira MDE souffre de son corps fraîchement cravaché, mais également de son fondement rempli par un plug bien trop gros… Les minutes passent jusqu’à deux heures de route ainsi, avec Keira MDE toujours pluguée, le corps meurtri, immobile et en position d’attente, à genoux, mains dans le dos, dans l’aller centrale du bus quand soudain le car stoppe.

- C’est l’heure de la pause, nous allons nous dégourdir les jambes, si nous nous apercevons en revenant que l’un de vous a bougé, il sera sévèrement châtié. C’est valable pour toi également la chienne, annonce Bertrand d’un ton sadique tout en assénant un nouveau coup de cravache sur l’épaule droite de Keira MDE qui ne réagit pas.

Les serviteurs descendent du car et les portes se referment…

(A suivre …)