Série « Les Voisins » Épisode 1 : Fanny Au Camping, Pour Une Nuit Inoubliable.

Je m’appelle Fanny, je dois avouer que mon physique n’est pas celui d’un mannequin contrairement à Émilie mon amie d’enfance qui est quant à elle, une vraie bombe sexuelle qui se tape les plus beaux mecs que l’on rencontre. Certains disent de moi que je suis jolie et pulpeuse, je ne suis pas obèse mais plutôt bien en chair. Toutefois lors de nos sorties nocturnes, mes rondeurs semblent plaire, il me suffit de me vêtir en conséquence et surtout d’exhiber un décolleté provocateur et je ne rentre pas souvent seule à la maison pour partager mon lit. Je peux donc dire qu’une grande majorité des hommes, apprécie les poitrines plantureuses et les fessiers charnus, même si ces garçons avec lesquels je couche n’ont rien à voir avec Tom Cruise ou Brad Pitt, c’est plutôt mon côté salope que ces hommes préfèrent.

Cette aventure s'était passée il y a bien longtemps, j’avais 22 ans à l’époque. N’ayant rien décidé à l’avance pour nos congés d’été, nous étions allées avec Émilie en camping rejoindre quatre couples d’amis pour une semaine. À notre arrivée vers 14 h30, nous avions trouvé l’endroit joli et bien tranquille, la journée était belle et ensoleillé, tout était réuni pour être joyeuses. Pourtant nous eûmes la mauvaise surprise d’apprendre que notre section n’était pas voisine à celles de nos amis. Au contraire, nous étions placés au bout du terrain de camping assez éloignées des douches et des toilettes.

D’autre part croyant vivre en groupe et profiter de leur installation, n’étant pas des adeptes de ce genre de vacances, nous avions acheté pour cette occasion qu’une petite toile de tente uniquement pour y dormir. Ne sachant pas comment nous y prendre pour monter cette toile de tente, nous nous battions avec la nôtre, pestant après le fabricant qui n’avait pas laissé de mode d’emploi du montage. Heureusement notre voisin vint nous aider et en quelques minutes notre canadienne fut installée. Nous avons gonflé les matelas et n’ayant pas de sac de couchage, nous avons fait traditionnellement notre lit, draps du dessous et du dessus, le tout recouvert d’une couverture.



J’avais tout de suite flashé sur Valentin, un beau garçon de 23 ans, tout en muscle, malheureusement, celui-ci n’avait d’yeux que pour Émilie. Comme d’habitude, après quelques minutes j’avais compris que ma copine ne me laisserait aucune chance car elle aussi l’avait trouvé charmant et à son gout. Une fois notre voiture déchargée, Valentin prit Émilie par la main et l’emmena faire la visite du camping : « Nous nous retrouvons ce soir au snack. » M’avait-elle dit avant de partir. Je m’étais alors dirigée vers nos amis et j’avais passé l’après-midi en leur compagnie. Le soir comme prévu, j’étais allée rejoindre Émilie au petit resto du camping et Valentin me présenta son jeune frère.

Quentin était très jeune, il venait d’avoir dix-huit ans et ne me plaisait pas du tout. Il avait la peau grasse et acnéique, il avait dû grandir d’un seul coup, car il était grand, son corps était longiligne et très mince. Par contre, je sentais que je ne laissais pas indifférent, il n’était pas timide et ne quittait pas ma poitrine des yeux, j’en étais presque gênée. Naturellement après le repas, Valentin nous invita sous son auvent. Sans s’occuper de nous deux, il ne faisait que d’embrasser et de peloter Émilie. Pour ma part, je refusais les avances de Quentin qui lui aussi voulait me caresser les seins. Ne désirant pas tenir la chandelle, ni baiser avec le petit frère, je les quittai et sortis en les saluant.

Je me dirigeais vers notre tente pour aller me coucher quand une envie pressante me vint brutalement. Les toilettes étant à l’autre bout du camping, je demandai à Quentin à travers la toile, s’il pouvait surveiller les environs pendant que j’allais au petit coin en pleine nature. Il avait tout de suite accepté, cela lui fit plaisir de me rendre ce service. Je m’étais cachée derrière la haie de Thuyas à l’abri des regards en scrutant les environs. Accroupie, je vis à la lueur du réverbère, Quentin qui urinait également, j’avais son profil face à moi.
Je n’en revenais pas, J’avais devant les yeux, son sexe énorme qu’il maintenait à l’horizontal de ses deux mains. C’était la première fois que j’en voyait un si gros et il envoyait ses jets au moins à deux mètres en s’amusant à lever et descendre son sexe pour aller plus loin.

J’avais fini de m’essuyer mais tellement curieuse, je restais cachée là. Il secoua son engin pour faire tomber les dernières gouttes, sa longue et grosse queue était toute raide et semblait dure comme du bois, il la serrait bien fort entre ses doigts, comme s’il voulait se masturber. Afin de ne pas le vexer, je me levai et lui dit avant d’aller dans ma toile de tente : « Merci Quentin, à demain. » Je me dévêtis entièrement, dormant toujours sans culotte, je ne portais qu’un large tee-shirt de nuit et je m’enfilai sous la couverture. Les attouchements que s’étaient prodigués Émilie et Valentin m’avaient déjà mise en émoi et je ne parvenais pas à effacer l’image du magnifique sexe de Quentin, j’étais tellement excitée que je commençai à me caresser.

Jamais je ne me serais douté que ce jeune garçon avait une si grosse queue entre les jambes, j'en étais presque à regretter de ne pas avoir voulu restée avec lui. Mes doigts activaient profondément dans mon intimité, le plaisir commençait à monter dans mon ventre, j’allais jouir lorsque soudain le bruit de la fermeture éclair me sortit de mon état en pleine effervescence. Je vis la tête de Quentin apparaitre dans la pénombre :
— Ils ont pris la chambre pour baiser, je peux dormir ici ?

Je gardai les yeux fermés et ne répondit pas tout de suite, j’étais très en colère après Émilie d’envoyer un inconnu dormir avec moi mais d’un autre côté, c’était peut-être l’occasion rêvée de toucher enfin son gourdin :
— Tu dors Fanny ? demanda-t-il à voix basse en pénétrant à l’intérieur.

N’ayant toujours rien répondu, il crut que je m’étais déjà endormie et cela m’arrangeais bien. Toutefois, sa présence à mes côtés n’était pas pour calmer mes ardeurs, je n’osais pas continuer ma masturbation.
Pourtant il fallait que je me soulage, je ne pensais qu’à son sexe. Il était couché sur le dos, je me tournai afin de mettre mes fesses vers lui espérant qu’il vienne contre moi, mon bras était posé le long de ma cuisse. Délicatement, sans me réveiller, il prit ma main et la posa sur son sexe en pleine érection. Puis il referma mes doigts sur son gland, ma main n’en faisait pas le tour. Pendant quelques instants, je n'osais pas bouger. Sentir cette grosse queue toute dure dans le creux de ma main m'excita davantage.

J’entrepris de me caresser, en glissant discrètement mon autre main entre mes cuisses. De son côté, il prit ma main dans la sienne et la faisait coulisser tout au long de cette énorme colonne de chair, il m’aidait à le branler lentement. Je ne pensais plus à ce jeune gringalet mais uniquement à ce sextoy vivant. Je me remis à plat dos, jambes légèrement écartées afin de m’ouvrir à ma main droite pendant, qu’aidé de ma gauche, il se branlait. Je m'appliquais à réaliser de lents, aller-retours le long de sa verge dure et droite montant jusqu’à son gland que je caressais au passage, du bout de mes doigts. Pendant que les autres caressaient ma chatte ouverte d’où s’échappaient de petites coulées de cyprine, coulant entre mes cuisses, tellement l’envie était forte au creux de mon ventre.

Toujours sur le dos, je me masturbais avec l’idée d’être possédée qui me taraudait les entrailles. Mes doigts s'enfoncèrent et disparurent dans ma fente mouillée, mon clito était gonflé à bloc, je n’en pouvais plus, je désirais en finir avant de m’endormir. Sans avoir dit un seul mot, nous nous faisions du bien en nous caressant sauvagement. Après de longues minutes, ses deux mains guidant la mienne, il accéléra le mouvement, c'en est trop pour lui. Il se raidi puis s’arc-bouta, tendit son bassin vers le haut et explosa, laissant choir, le fruit de son éjaculation sur son torse et sur les poils de son pubis. Je me mordis les lèvres afin de pas crier, mon excitation était à son comble et je jouis à mon tour, mon majeur et mon index fiché dans mon vagin.


Sans nous parler et dans le noir total, nous venions de jouir, dans le plus strict anonymat. Il retira ma main et la posa délicatement sur ma cuisse puis se tourna vers moi. Je crois qu’il avait compris à moment-là que je ne dormais pas. Cependant probablement pour se rassurer, il me demanda une nouvelle fois, doucement au creux de l’oreille :
— Tu dors Fanny ?
— Je viens de faire un rêve. Lui mentis-je. Laisse-moi dormir, je suis crevée.

Quentin était loin d’être bête et avait de la suite dans les idées. Il passa sa main sur mon genou et la monta à l’intérieur de ma cuisse. Il glissait ses doigts sur ma peau sans s’approcher de mon intimité. Puis sa main se glissa sur mon pubis, il joua un court instant avec mes poils avant d’atteindre mon ventre. Son index s’éternisa dans mon nombril puis il essaya de remonter mon tee-shirt. Non seulement ce jeune avait un sexe hors du commun, mais il savait y faire, ses caresses me mirent en émoi, l’excitation revenait à grand pas. Machinalement je levai mes fesses pour l’aider à retirer le dernier rempart de tissu.

Ma main saisit alors sa queue un peu molle mais toujours de la même grosseur, pendant qu’il prit mon sein gauche entre ses deux mains, le malaxant avec une incroyable douceur et aspira mon téton entre ses deux lèvres. Ce jeune garçon était vraiment doué, avec ses mains, sa bouche et son sexe qui durcissait sous mes caresses. Après avoir passé à l’autre sein qui connut le même sort, il me poussa me faisant comprendre que je me mette sur le côté puis il posa sa longue queue contre la raie de mes fesses. La tension était à l’extrême, je mouillais de plus belle entre mes cuisses.

Il joua du bassin en faisant coulisser son sexe contre mon cul. Il était très excité également, sa main posée sur ma poitrine, me massait toujours doucement mes seins à tour de rôle en m’embrassant dans le cou et en me mordillant mon oreille. Il accélérait le rythme, sa grosse bite en contact permanent, coincée entre mes deux globes charnus, il se masturbait entre mes deux fesses. J’en profitai également, mes doigts me fouillaient sans ménagement. En me tournant légèrement vers l’extérieur et en écartant un peu mes jambes, son gourdin glissa entre mes cuisses.
Le moment était venu, j’avais trop envie de le recevoir, je désirais qu’une chose à présent, c’était que ce sextoy géant me remplisse le vagin. Sa hampe glissait contre ma fente trempée en me titillant le clitoris et son gland butait dans la paume de ma main. Je n’avais plus à me masturber, c’était sa bite qui le faisait à ma place. J’étais aux anges, je n’avais jamais connu cela et cette situation était tellement excitante que je m’étais laissée aller au plaisir, lorsque qu’il plaça son énorme gland entre mes grandes lèvres, la raison prit le pas sur mon désir, je lui dis déçue : « Non Quentin ! Mets une capote. »

À cet instant, je sentis la douce chaleur de son sperme couler sur ma chatte et mon pubis, il éjacula avant que je puisse profiter de son engin :
— Tu ne pouvais pas te retenir ?
— Si bien sûr mais j’avais très envie de te faire languir. Suce-moi maintenant, je vais vite revenir en forme.

Cette fois je ne me suis pas fait surprendre, j’avais ouvert mon smartphone afin de donner un peu d’éclairage et sortit un préservatif que je posai à proximité, je ne pensais plus à dormir, je désirais simplement qu’il me baise enfin. À l’entendre, il était assez sûr de lui et j’espérais au fond de moi qu’il puisse me satisfaire après s’être vidé les couilles deux fois de suite auparavant. Je le chevauchai, présentant mon cul devant sa bouche et me penchai afin de lui faire la fellation qu’il attendait. Pendant qu’il me léchait le minou, je le suçais et je fus surprise de sa réaction, son pénis durcissait de plus belle sous mes coups de langue, sa queue commençait à retrouver de la vigueur.

Je repris avec avidité mon pompage en lui prodiguant une gorge profonde qu’il apprécia en gémissant de satisfaction : « Oh Putain c’est bon !» À n’en pas douter, je savais sucer et j’adorais ça surtout cette queue monumentale qui me remplissait la bouche. Je prenais un pied pas possible sous ses léchages et son doigtage pendant que je continuais mon œuvre. La bave qui sortait de ma bouche coulait sur sa queue et la lubrifiait :
— Alors, t’as vu quand on me suce bien.
— Oh oui ! T'es incroyable. Moi qui te croyais puceau.
— Tu vas voir le puceau comment il va te défoncer.
— Ah oui ! T'es incroyable. Baise-moi maintenant. Lui dis-je en essayant tant bien que mal de lui enfiler le préservatif qui ne recouvrait que la moitié de sa queue.

Ses propos accentuèrent mon désir déjà si fort, je me couchai sur le dos et Quentin n’attendit pas plus longtemps pour s'allonger sur moi. Les cuisses grandes ouvertes, son torse écrasait ma poitrine. Je n'en pouvais plus d'attendre que son gourdin rentre dans ma chatte trempée, j'appuyai sur ses fesses et il me pénétra. Son gland s'était insinué petit à petit le long de mes parois vaginales jusqu'à ce que sa queue me remplisse. Quelques heures plus tôt je n'aurais jamais imaginé couché avec ce freluquet et pourtant, il me possédait, c'était bien réel et c'était trop bon. Lentement, avec de longs va et vient tout en me flattant la poitrine qu’il affectionnait, il allait et venait au plus profond de moi-même.

Il me baisait bien, tous les muscles de ma petite chatte se resserraient sur sa verge compressée, j’étais ouverte et de plus en plus trempée. Après plusieurs longues minutes, je criai mon bonheur, mon orgasme était puissant et mes cris avaient dû réveiller tout le voisinage. Je n’en avais pas fini pour autant, il me retourna et me fit mettre à quatre pattes. Il me perfora sans ménagement, son comportement avait changé, sa tendresse et sa délicatesse avaient disparu, il allait plus vite et plus fort. Il me laboura littéralement le vagin encore un long moment, il me prenait brutalement se transformant en une bête sauvage et j'adorais ça car je jouis une nouvelle fois fortement.

Il se coucha à son tour et me fit s’empaler sur son pieu dressé à la verticale. Je me mis à bouger le bassin d'une façon si sensuelle qu’il n'avait besoin de rien faire, je tournais, descendais, remontais le long de sa batte de baseball, Je couinais, je gémissais de plaisir, j’accélérais le mouvement puis ralentissait, pendant qu’il m'embrassait les seins et me frottait le clitoris, je mouillais encore comme une salope. Ce jeune gringalet était incroyable, il me baisait depuis plus de trente minutes, je n'en pouvais plus, j'étais à deux doigts d’une nouvelle explosion.

Je me relevai m’extirpant de ce pal de chair et laissai échapper ma jouissance inondant tout son bas ventre. Il me fit me rassoir mais cette fois, il en voulait à mon cul. Je n’étais pas la dernière, la sodomie n’était pas ce que je préférais, mais je ne refusais jamais à l’homme qui me faisait jouir. Dans la position où je me trouvais, j’écartai mes fesses au maximum et il enfonça son gland petit à petit, au fur et à mesure que mon anus se dilatait. Serré comme il était, il n’avait pu se retenir bien longtemps, après seulement quelques minutes, il me demanda de me retirer et d’approcher ma bouche. Il enleva sa capote et m’envoya trois jets de sperme entre lèvres.

Le lendemain matin au réveil, lorsque je pris le petit déjeuner avec Émilie, Valentin et Quentin, j’avais honte de moi. En plein jour, je n’avais pas voulu l’embrasser, malgré le plaisir immense qu’il m’avait apporté, ce jeune me dégoutait. Ne désirant pas me montrer avec lui, pendant toute la semaine, je passais mes journées avec mes amis et je ne venais que les nuits retrouver cette bite géante qui me permettait d’atteindre plusieurs orgasmes dans la soirée, j’en étais accroc et fut très triste de le quitter une semaine plus tard. Malheureusement pour moi, je n’ai jamais eu l’occasion à de revoir Quentin, cependant j’ai gardé un excellent souvenir de ces vacances.

Prochain récit samedi
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Fanny, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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