Une Belle Soeur Hors Du Commun
Rémi, un ami de longue date avait organisé une soirée à son appartement. Nous y étions conviés ma compagne, ma belle-sur et moi même. D'autres personnes étaient présente mais nous les connaissions que de vue. Ma chérie, Anaïs était vêtue d'un jean noir, d'un débardeur bleu et d'une veste en cuir. Mathilde sa sur aînée de cinq ans portait une robe noire avec des bottines rouge. Elle était très sexy dans cette tenue. Elle avait beaucoup de succès auprès de la gente masculine, puis un beau jour elle fut échaudée de manière cruelle. Depuis, elle s'est prise de sentiment pour notre ami. Mais celui-ci étant quelqu'un de discret et timide devenait de plus en plus son meilleur ami. Mais ce qu'elle voulait par dessus tout c'est qu'il devienne son amoureux.
Sauf que les choses étaient bien plus compliquées. Parfois, il était très proche d'elle et parfois lointain. Lors de cette soirée, Rémi avait préparé des gâteaux apéritifs, des amuses-gueules, et des pizzas. Le tout étant accompagné d'alcool, j'avais fait part de mon envie de rester sur place afin de ne pas conduire ivre. Nous mangions, nous buvions puis parfois nous dansions au rythme des clips des chaînes musicales. La soirée se déroula de manière correcte. Je dansais avec Anaïs, quelques fois je prenais Mathilde dans les bras, Rémi dansait aussi avec mais était malgré tout très distant avec elle. Régulièrement, quand j'allais fumé une cigarette dehors elle me suivait.
Elle me demandait, si elle était désirable, si je la trouvais jolie, ou si ses formes pouvaient plaire à un homme. À chacune de ses réponses, je répondais par l'affirmatif. Elle me disait que sa sur avait de la chance de connaître un homme comme moi car notre histoire durait depuis un moment maintenant. Il était aux alentours de minuit, Rémi avait décidé de faire péter le bouchon de champagne. Il nous servait à tous une coupe puis ouvrait une deuxième bouteille. Rapidement, certains invités commençaient à partir, d'autres partirent s'endormir dans la chambre d'ami.
Avec Anaïs nous avions pris la décision de dormir sur le canapé, puis Mathilde pensait dormir avec Rémi. Mais la fin de soirée ne se passa pas comme prévue. Notre ami préféra dormir seul.
Ce qui ne manqua pas de décevoir ma belle-sur. Ma compagne finissait les bouteilles d'alcool, puis s'endormait dans un sommeil profond. Le propriétaire des lieux, monta lui aussi dans sa chambre. Je me retrouvais seul avec Mathilde qui après avoir bu quelques verres d'alcool, retomba dans une pseudo déprime de célibataire. Pour ne pas faire de bruits, je l'invitais à l'extérieur de l'appartement, nous discutions une nouvelle fois de son physique. Elle me demandait si ses seins étaient assez gros, si ses fesses étaient assez arrondis et à chaque fois pour ne pas la froisser je répondais par des affirmations. Ce qui ne manqua pas de créer une légère ambiguïté. Pour la soulager de sa tristesse, je l'avais prise dans mes bras, des larmes coulaient sur ses joues, je lui déposais des bisous afin qu'elle se calme. Elle reprenait un peu confiance au bout d'une heure. Le silence était interrompu par les ronflements des fenêtre de l'appartement. Et je ne savais pas pourquoi mais cette ambiance me donna envie de Mathilde, de soulager sa peine de cur et son manque d'activité sexuelle. Il était vrai qu'elle avait un certain charme qui ne pouvait laisser insensible un homme. Même moi qui avait juré fidélité à Anaïs c'était difficile de résister. À proximité de l'appartement se trouvaient une sorte de grange. J'invitais ma belle-sur à m'y rejoindre. Un peu surprise, elle me demanda pourquoi. Et je lui répondis que je voulais continuer à la soutenir moralement et que pour ça je préférais être à l'abri des oreilles qui aurait pu être indiscrètes. Elle accepta ma demande, nous sommes assis sur une botte de paille, elle était à côté de moi. Une nouvelle fois, je la prenais dans mes bras, elle me disait qu'elle se sentait bien, que ma tendresse et mon dévouement la touchait droit dans le cur.
Je la déboutonnais rapidement, puis l'enlevais. Je ne voulais pas prendre le risque de la déchirer afin d'éviter d'éventuels soupçons. De mon côté, j'enlevais les bretelles de sa robe noire puis glissa mes doigts sous son soutien-gorge en dentelle afin d'atteindre ses boutons de plaisir. Pour la mettre à l'aise, je dégrafais son sous-vêtement, puis je me mis à gober ses globes. Je titillais le bout de ses tétons qui durcissais à la vitesse de l'éclair.
Son souffle s'accélérait, je continuais en glissant une de mes mains sous sa robe. Sa culotte était trempe, je faisais des allers-retour sur sa fente, elle mouillait encore plus. Elle me poussa en arrière, déboutonna mon pantalon pour laisser apparaître à ses yeux mon membre. Elle fut surprise par la taille, presque vingt centimètre de long et cinq de large. Elle commença à le masser, puis se pencha au dessus avec sa bouche. Elle l'avala avec difficulté, mais je pus sentir la douceur de ses lèvres. Après quelques vas et vient, j'enlevais totalement mon pantalon, j'étais nu face à elle, je soulevais le bas de sa robe, lui enlevais sa culotte complètement trempe.
Je me glissa alors entre ses jambes, présenta mon sexe à l'entrée de ses lèvres, puis entra tout doucement pour ne pas lui faire mal. Une fois que la vulve s'était modelée à ma verge, ce ne fut que du plaisir. Je faisais des allers-retour, à la fois doux et viril, puis je la mettais à quatre pattes pour la prendre en levrette. Cette position devait être sa favorite car elle gémissait de plaisir. La vue de son petit trou ne me laissait pas insensible, j'y glissais alors un doigt puis deux, elle ne les repoussa pas. Je me relevais un tout petit peu, je me suis mis face à son orifice. Petit à petit, son petit trou prenait forme, et dans un coup de rein viril je la pénétra. Au bout de quelques instants, ses cris de douleurs devenaient des gémissements de plaisir. Elle jouissait par le cul, une première me disait-elle. Après quelques moments dans la grotte du plaisir, je m'allongeais sur le dos. Elle empala sa vulve sur mon sexe. Elle sautait sans arrêt sur mon membre comme si j'étais un cheval de course. Et dans un cri commun nous jouissions ensemble. J'envoyais des jets puissants dans son ventre. Elle s'écroula sur moi d'épuisement, m'embrassa et me remercia de ce moment unique. Après quelques instants, nous décidions de faire un pacte et qu'à chaque fois qu'elle aura un manque nous nous retrouveront pour s'adonner au plaisir du sexe. Cette période dura quelques mois, puis avec beaucoup de regrets elle rencontra un homme qui lui donnait entièrement satisfaction. Notre secret était bien gardé. Nos vies reprenaient leurs cours normal à la suite de ses événements.
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