Découvertes (Épisode N°06) Partouze Club Partie 1

DÉCOUVERTES (épisode N°06)

Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans et Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Après avoir persuadé son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée, elle se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément. À partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.


VI

PARTOUZE CLUB PARTIE 1


Le temps a passé, depuis ce que l’on peut nommer : leur première partie carrée. Marie-Ange et Paul, malgré les appels pressants de leur nouveaux amis ont peur d'une liaison qui pourrait prendre un tournant dangereux pour eux quatre. Bien que trois mois se soient écoulés depuis que cette aventure extraordinaire leur soit arrivé, ils ne peuvent se décider à les rencontrer à nouveau. Ils se disent qu’ils sont très attirés chacun par leur partenaire de Senlis. D’ailleurs ils ont bien remarqué que Claire et Florent leur rendaient bien cette attirance. À leur grand regret, ils doivent éviter de se revoir afin de protéger leur couple.

Pourtant leurs conciliabules reprennent et ils doivent reconnaître qu'ils ont encore envie d’aventures libidineuses. Paul propose d'aller dans un restaurant discothèque dont il a entendu parler par des amis et où les couples font des rencontres. C'est une adresse sûre, d’une classe exceptionnelle et où il y a peu de jeunes, paraît-il, car tous les couples qui fréquentent cet établissement ont dépassé la quarantaine. Marie-Ange ne sera donc pas trop mal à l’aise.

Marie-Ange éprouve, il va sans dire, quelques craintes, car ce ne sera plus seulement dans leur chambre ou chez des particuliers avec un ou plusieurs partenaires dont elle apprécie la vigueur et la nouveauté, mais qu'habituellement elle ne voit pas, mais dans un établissement public, même s’il semble réservé à une clientèle particulière.

Mis à part cette aventure exceptionnelle avec Claire et Florent, elle se doute qu’à présent, elle va devoir assister à des amours de groupe, mais on va la voir aussi en public se donner en spectacle devant plusieurs dizaines de personnes. Elle doute d'elle, de son corps, de son âge ; elle panique à l'idée de ne pas être à la hauteur et de se montrer ridicule. Et puis, ils connaissent beaucoup de monde à Paris, ils pourraient rencontrer des connaissances et, ce faisant, ils risquent de porter atteinte à leur respectabilité. Elle veut réfléchir et être sûre d'en avoir vraiment envie car malgré tout cette perspective l'excite.

Un après-midi Paul en rentrant chez-lui fait lire à Marie-Ange un carton les invitant à une soirée costumée. Celle-ci doit se dérouler dans le restaurant dont il lui a parlé, l'établissement étant situé près du Château de Vincennes en bordure du bois et l'invitation est prévue pour le surlendemain. Paul argumente avec habileté afin de persuader Marie-Ange de s’y rendre. Après tout, ils porteront des déguisements et des masques, personne ne pourra ainsi les reconnaître.

Marie-Ange se laisse enfin convaincre et le lendemain ils se rendent chez un loueur de costumes afin de faire leur choix. Paul a sélectionné parmi d’autres vêtements une djellaba marocaine noire avec des broderies en fil d'or et un masque de velours noir. Marie-Ange pour rester dans le ton revêtira un caftan court blanc et or et un masque en soie blanche agrémenté de plumes, blanches elles aussi. Le rituel du rasage recommence permettant à Paul d’affoler et de faire jouir encore une fois son épouse, mais il faut ensuite toute sa persuasion pour que Marie-Ange accepte de ne pas porter de soutien-gorge ni de culotte. C'est d’ailleurs compréhensible, car le décolleté en v du caftan plonge jusqu'au pubis de Marie-Ange lorsqu'elle se penche en avant, et la partie inférieure de la robe s'arrête à cinq centimètres en dessous des fesses. Seuls accessoires supplémentaires, des bas jarretières marron glacé qui mettent en relief ses jambes admirables.

Enfin les voici en route. Arrivé devant la porte du restaurant Marie-Ange marque une hésitation, puis, enlacée étroitement par Paul elle franchit le seuil dans un état second. Le décor dans lequel ils pénètrent est très oriental. Dans des alcôves aux murs percés d'arcades byzantines sont disposées des banquettes moelleuses autour de tables basses. La musique est hindoue, légèrement lancinante. De l'encens brûle dans des lampes en cuivre rouge, les lumières sont orangées et se reflètent dans des miroirs qui tapissent entièrement les murs.

Près de vingt couples sont déjà arrivés, les plus jeunes aux alentours de la quarantaine alors que les plus âgés qui ont dépassé les soixante printemps sont assis soit au bar, soit sur les banquettes des nombreuses alcôves de l’établissement. Des verres de cocktails sont posés devant les convives, l’ambiance est détendue et pour l’instant très sage. Les propriétaires de l'établissement les accueillent chaleureusement. Elle, la cinquantaine épanouie, cheveux châtain auburn, petite et très ronde. Lui a les cheveux teints en noir, la moustache élégante, près de soixante ans mais portant beau. Ils leur offrent le pot de bienvenue, demandent discrètement le carton d'invitation car la soirée est privée et ne commencera que lorsque les derniers invités seront présents. À ce moment, précisent-ils, l'établissement fonctionnera porte close.

Paul et son épouse prennent place dans une alvéole vide et regardent avec curiosité les participants à cette soirée peu commune. Tous portent bien sûr des masques et des déguisements plus ou moins gracieux. Ils constatent que les couples sont très disparates ; il y a pas de vraies beautés, les femmes sont plus ou moins bien en chair, certaines possèdent même des tours de poitrines qui doivent tourner autour de cent à cent vingt centimètres ; les hommes, pour certains sont chauves, mais dans l'ensemble, ils sont plutôt moins replets que leurs épouses.

C’est alors que deux couples viennent s'asseoir sur les banquettes de leur alcôve. Les deux femmes sont très dissemblables, la première qui se présente sous le prénom d’Hélène, est blonde platinée, avec des cheveux longs bouclés et une forte poitrine, un sein apparaît d'ailleurs sous la toge romaine qu'elle porte, il semble très lourd, et a même tendance à se laisser aller ne semblant pas très ferme. Sa taille est un peu large alors que son fessier proéminent pourrait être qualifié de cul de jument, ses fortes jambes assez bien proportionnées laissent deviner des cuisses bien pleines elles aussi. La seconde, Alexandra est très rousse, presque poil-de-carotte avec de multiples taches de rousseurs sur son visage ; elle est coiffée très court à la garçonne, et son corsage crème entièrement transparent laisse apercevoir une poitrine minuscule et très bien faite alors que les tétons proéminents de ses seins transpercent presque la soie très fine du corsage. Elle est très mince, portant un pantalon bouffant qui est très transparent lui aussi car on devine qu'elle ne porte pas de slip, le triangle roux du pubis attirant immanquablement le regard, alors que quelques poils traversent au travers de la soie qui est de couleur chair.

Hélène accuse une bonne quarantaine, elle est pulpeuse et donne envie de mordre dans sa chair. Alexandra pour sa part, ne peut cacher que plusieurs interventions de chirurgie esthétique lui ont permis de garder une certaine jeunesse car sa peau est diaphane et très tendue. Elle a dépassé la soixantaine depuis certainement déjà un certain temps mais c'est une très belle femme, très attirante et mystérieuse. Le compagnon d'Alexandra, Éric, est mince, assez grand, les cheveux d'un blanc éclatant, il approche certainement les soixante-dix ans mais quelle classe. Le mari d'Hélène (on pense à Brassens), est bien charpenté, il a dépassé l'âge de son épouse, cinquante-deux, cinquante-quatre ans à peu près, il est chauve et a un rire franc et sympathique, il se prénomme Henri.

Les femmes font connaissance, elles s’esclaffent gentiment en regardant les couples danser sur la piste et font des commentaires plus ou moins osés, les trois hommes parlent économie. Éric, au bout d'un certain temps demande à Paul s'il peut inviter Marie-Ange à danser, celui-ci acquiesce avec un sourire espiègle et le couple s'éloigne sur la piste. Henri invite également Alexandra.

Paul reste seul avec Hélène car il n'aime pas tellement danser. Une conversation s'engage, elle parle d'elle même et du désir de son époux de participer à de telles soirées. Elle lui confie qu’il est obsédé par le sexe et qu’elle le suit à contrecœur car elle n'a pas beaucoup de désir sexuel. Elle demande à Paul, pourquoi lui et son épouse viennent-ils ici ? Paul lui explique la baisse de sa libido et la volonté de faire plaisir à son épouse afin de ne pas la priver de jouissance, oubliant de dire qu'il tire de cette situation, lui aussi, une grande satisfaction. Elle compatit et lui demande s'il veut bien devenir son confident pour cette soirée, car puisqu'il ne peut consommer, elle ne risque pas qu'il lui fasse des avances trop inconvenantes. Paul rit et lui assure qu'il a toujours le désir dans sa tête, c'est son sexe qui ne répond pas toujours comme avant. IL oublie de lui dire que depuis qu’il partage son épouse avec d’autres, son sexe a reprit sa fonction normales et qu’il baise bien souvent à couilles rabattues.

Tout en devisant à mi-voix, ils regardent la piste. Éric danse très bien avec Marie-Ange, sa main droite caresse le sein de sa cavalière alors que son abdomen s’emboîte étroitement dans l’entrejambe féminin. Il ne fait aucun doute que son sexe doit se tendre durement vers son pubis, d'ailleurs elle se frotte littéralement contre lui et la tête renversée, elle se laisse aller dans les bras de son cavalier. Henri qui danse avec Alexandra a les yeux fixés sur les petits seins qui percent sous le voile, on sent qu'il voudrait les avaler s'il le pouvait, Alexandra l'affole effectivement en se trémoussant d'une façon assez impudique. Après plusieurs danses lascives les deux couples rejoignent l'alcôve où Marie-Ange s'assoit entre Paul et Éric. Elle est un peu échevelée et toute rouge. Éric ouvre la bouteille de champagne qui se trouve sur la table et en sert des coupes à tous les convives. Marie-Ange si sobre habituellement avale presque à la suite trois coupes du vin pétillant.

Paul l'embrasse et lui susurre des mots doux à l'oreille tout en lui demandant en baissant la voix si elle a prit du plaisir dans les bras d'Éric. Elle est un peu gênée surtout que son mari a glissé sa main sous son caftan qui est bigrement court et qu'il fait parcourir ses doigts sur sa vulve imberbe qui est déjà bien détrempée. Émoustillée par les caresses impudiques de son époux et déjà un peu grise par le champagne, elle se relâche et oublie ses inhibitions. Déjà alanguie et excitée par les caresses qui l’enflamment elle se laisse aller imperceptiblement sur la banquette. À ce moment, une autre main se faufile entre ses cuisses, elle pense tout d'abord que c'est l'autre main de Paul, et puis elle réalise que celle-ci lui caresse la nuque.

Soudain elle panique, mais elle n'ose retirer la main qui ne peut être que celle d'Éric, d'ailleurs, les doigts de son époux laissent la place à ceux de son partenaire pour se porter sur son mont de vénus qu'elle agace délicatement. Pendant ce temps, la main d'Éric prend possession de son entrejambe, ses doigts glissent sur ses grandes lèvres, découvrent le capuchon de son clitoris et le font rouler en le pressant très fort, le médius disparaît dans son vagin et remonte recourbé vers son point le plus sensible, le point G probablement. Il effleure doucement la chair, alors que la mouille ruisselle le long de ce doigt qui la masse si bien, elle halète, elle devine qu'elle va partir, elle se mord les lèvres pour ne pas crier, pas devant tous ces gens tout de même. Elle ne peut s’empêcher de réaliser pourtant, qu'elle est étendue maintenant de tout son long sur la banquette, et que ses jambes sont largement écartées.

Tout le monde doit voir son intimité offerte, elle voudrait avoir un sursaut de pudeur et pouvoir se redresser, elle essaie de se soulever et de reprendre ses esprits. Soudain une bouche féminine se pose sur la sienne, c'est Alexandra qui glisse sa langue dans sa bouche alors que son parfum très poivré l'envahit pleinement. Elle tente de se redresser mais les lèvres qui la prennent sont si douces qu’elle fond de bonheur, et puis, la caresse qui fouille son vagin se fait de plus en plus pressante. Elle se laisse emporter par la jouissance et son ventre se tend en avant, elle s'arc-boute sur ses pieds, et forme avec son corps un arc de cercle, tandis qu’un long gémissement rauque s'échappe de sa gorge. C'est une jouissance suffocante qui l'emporte et la laisse réduite à néant.

Tous les couples se sont rassemblés et la contemplent avec avidité. Elle est à présent presque entièrement nue, le ventre offert, tressautant sans pouvoir s'arrêter de jouir. Éric s'est dénudé rapidement, découvrant son sexe long et fin. Il se présente devant Marie-Ange et il l'enfile profondément tout en tenant ses jambes relevées très hautes avec ses deux mains ; l'assistance peut voir ainsi la matrice rouge et congestionnée de Marie-Ange, ses lèvres grandes ouvertes laissant dégouliner sa mouille. La verge d'Éric effectue lentement ses va-et-vient, il entre profondément et ressort presque entièrement de la cavité béante. Marie-Ange se porte violemment au-devant du sexe d'Éric et, à chaque fois qu'il se retire, elle le retient par la taille. Elle sait que tous les spectateurs peuvent scruter et examiner à loisir son vagin, qui s'ouvre et absorbe l'organe de son partenaire, mais à son corps défendant elle en éprouve une formidable lubricité.