Retour Au Sauna

Voici une nouvelle histoire qui vient-il m’arriver. Le week-end dernier, un de mes amis m’a proposé d’aller au sauna à Toulouse, pour profiter que tous ses bienfaits. Ça faisait longtemps que je n’étais pas y allé, donc j’ai accepté avec joie.
Ce dimanche, 14h00, nous partons donc direction Toulouse, pour une après-midi au sauna.
Je dois avouer que mon ami, que j’appellerai T. me plait beaucoup, et je lui ai avoué. Mais comme il sortait d’une relation difficile de 10 ans, il ne veux pas se remettre de suite avec quelqu’un. Nous avons eu quelques relations sexuelles, mais pas plus, nous restons de bon amis.
A notre arrivée au sauna, il n’avait pas grand monde. Après la traditionnelle douche, une serviette autour de la taille, je fait visiter l’établissement à T. Comme à mon habitude je décide de commencer par le hammam. T. décide de m’accompagner. Tous les deux nus, nous rentrons, puis nous nous asseyons dans la pièce plongé dans la pénombre et empli de vapeur.
Dans cette chaleur humide, je n’abandonne en fermant les yeux dans cette douce ambiance chaude et agréable . Après de longes minutes de bien-être, nous sortons du hammam pour aller se baigner dans le jacuzzi. Puis, T. me propose de prendre un verre au bar. Nous nous installons au comptoir pour commander deux boissons.
Il faut que je vous dise que j’ai un gros fantasme, celui de me faire prendre sur le « sling ».
C’est un carré de cuir, qui, aux quatre coins est attaché avec des chaines et les bouts de ces chaines sont attachées au plafond. Ga ressemble à une sorte de balançoire, où un mec peut s’y allongé, les jambes relevées tenues au niveau des chevilles, par des liens accrochés aux chaines. Le passif est allongé, le cul offert, l’actif peut le pénétré debout. De plus, dans cette salle il y a des miroirs qui permettent de se voir et d’apprécier de différents point de vue la façon dont on se fait baiser.

Mais je ne veux pas m’allonger sur le « sling » et attendre que n’importe quel mec rentre pour me prendre comme une pute.

Je préfère connaitre la personne avec qui je pourrais le faire. J’en ai parlé à T. Mais j’ai vite compris qu’il n’a pas envie de réaliser mon fantasme. J’ai été très déçu.
Nous avons discuter un peu et après avoir fini mon verre, je suis allé errer dans les couloirs pour tenter de trouver un mec pour un futur plan cul. Je vais déambuler assez longtemps et je vais pousser ma recherche jusqu’à aller dans le labyrinthe plongé dans le noir. Là, je me met de façon à pouvoir apercevoir les mecs qui y rentre. Il y a bien des mecs qui me plaisent, mais ce n’est pas réciproque. Donc j’attends encore un peu, puis un autre mec entre. J’ai réussi a l’apercevoir dans un rayon de lumière et il est a mon goût. Quand il passe devant moi, je le touche du bout des doigts, rapidement il se retourne se rapproche et se colle a mon corps. Il a l’air bien chaud et enthousiaste. Hâtivement il commence par m’embrasser dans le cou, sur les joues pour finir sur mes lèvres. Il m’embrasse assez goulûment mais d’une façon qui me plait. Son corps se presse encore plus fermement au mien, je ressent la bosse qui se forme au niveau de son bas ventre. Moi aussi, mon sexe grossit, s’allonge et se lève sous la serviette. Ses mains s’égarent sur mon cul. J’ai l’impression qu’il apprécie mon cambré, le galbe et la fermeté de mes fesses. Je défait ma serviette pour qu’il puisse encore plus apprécier leur douceur avec ses mains nus. Il les caresse tendrement et j’aime ça. Il est temps pour moi d’aller à la rencontre de son sexe, que je devine de bonne taille vu la bosse sur la serviette. Ma main droite glisse sous la serviette et va à la rencontre de son membre et enfin arrive à mon but. Sa queue est d’une longueur suffisamment appréciable, mais d’une grosseur considérable. Je suis ravi. Je commence a branler cette bite qui durcit encore sous mes douce caresses. Puis il me dit :
- on va dans une salle ?
J’accepte immédiatement. On remet nos serviettes autour de nos tailles et on se dirigent vers une salle libre.

Enfin, je le distingue mieux dans la petite lumière. Il doit avoir 35 ans, doit faire 1m70, corpulent mais pas gros. Il a la tête rasée, une joli bouche avec des lèvres charnues et deux yeux d’un bleu profond. Il me plait.
Immédiatement, je défait à nouveau ma serviette pour la mettre sur le matelas (question d’hygiène), derrière moi, j’entends qu’il laisse échappé un « humm » de ravissement. Je ne dit rien.
On se retrouve très vite allongé côte à côte, on s’embrasse, se caresse, nous sommes tous les deux en érection totale. Il va descendre assez vite vers mon sexe pour le prendre dans sa bouche. Il va pratiquer une merveilleuse fellation sur mon membre dur et dressé au maximum. Il prends tout son temps, je vois et sens ses lèvres glisser sur toute la hampe et sa langue lécher le gland avec délice. Après de longues minutes de ses douces caressent buccale, qui m’on fait gémir de plaisir, je décide de lui rendre la pareil. Je me retrouve devant sa queue, elle est superbe, belle, longue et épaisse. Complètement décalottée du a sa formidable érection, il n’est pas circoncis et je remarque le dégradé de la couleur de la peau au niveau de la base du gland. Il est aussi totalement rasé.
Je commence par donner de petit coups de langue sur son gland, puis, ouvrant très grand la bouche, je la gobe d’un seul coup. Il a un sursaut et me dit :
- doucement, on a le temps.
Alors, je vais mettre toute ma dextérité et de la douceur dans ma fellation. Mes lèvres, largement écartées, vu la grosseur, vont et viennent sur ce superbe membre. Je le trouve extraordinairement dur, c’est très excitant.
Je vais me régaler de le sucer longuement. Et, de plus en plus excité, je lui demande :
- tu veux me prendre.
Un large sourire se dessine sur son visage et me répond :
- oui je veux, tu a un trop beau cul.
Rapidement, il prends un préservatif et du gel et me demande de me mettre à quarte pattes. Je me met en position, il se place derrière moi.
Je me prépare psychologiquement à la pénétration, mais d’un coup, je sens la chaleur de son haleine sur mon cul. Il écarte mes fesses largement et je sens sa langue brulante qui commence par me lécher copieusement l’anus.
S’il me prends par les sentiments, là, je ne réponds plus de rien. C’est mon pêcher mignon.
Porté par le bienfait qu’il me procure, je commence déjà par pousser de petit gémissements de plaisir en disant :
- hum, c’est bon ouiiii !
Totalement chauffé à blanc, je sens que mon anus est bien chaud, prêt et bien dilaté. Je lui dit :
- vas-y prend moi !
Il se met en position entre mes jambes, je me cambre le plus possible. Je sens son gland brûlant qui se pose sur mon trou. Il pousse pour entrer. Et, inexorablement et sans douleur, sa queue me pénètre entièrement.
Je sens son ventre qui touche mes fesses.
Il s’arrête un instant au fond de moi, pour que je m’habitue à l’invasion de sa grosse bite dans mon intimité. Je ne peut retenir un cri de plaisir. Ce mec s’est introduit avec une douceur extrême, il n’a rien précipité.
J’aime ça, c’est une forme de respect.
Puis, il entame les va et viens, là, c’est terriblement agréable. Je ressens bien sa bite aller et venir en moi.
J’ai l’impression d’être transpercer par un tison, mais c’est extrêmement bon. A chaque pénétration, une onde d’extase me parcours tout le dos, partant de mon cul, remontant par la colonne vertébrale et que je crois ressentir et finir dans le cerveau.
Je cri bruyamment tellement c’est délicieux et je lui dit essoufflé :
Moi : je peut pas me retenir.
Lui : continue, ça me plait de t’entendre gémir comme ça , c’est que tu aime.
Moi : tout le monde va m’entendre !
Lui : oui et alors ils sauront que tu a pris du plaisir toi.
Il continue de me labouré et son membre, dans son action, ressort et rentre a nouveau en moi à chaque coup de rein, ça glisse parfaitement bien. Ses mains me tiennent fermement par les hanches, il me lime durement mais délicieusement.
Je l’entends respirer très fort dans mon dos.
Une de ses mains, se fraye un passage jusqu’à mon sexe pour me branler. D’habitude, quand je me fait prendre et quand le plaisir au niveau de mon cul est, comme là, très fort, je débande et tout se concentre sur le plaisir anal.
Mais, à ce moment… je bande ? Une de mes mains glisse jusqu’à mon sexe, et oui je bande très dur et comme il sent ma main il dit :
- oui vas-y branle toi, ça m’excite !
Je vais donc me branler tout en remuant impudiquement mon cul sur le sexe de mon baiseur. Qui lui, se déchaine en moi. Plus je bouge, plus ça l’encourage et plus il me pénètre profondément.
La jouissance est proche je crie :
Moi : je vais jouir!
Lui : oui, moi aussi je viens!
Dans des derniers coups de bite dévastateurs, et alors qu’il se vide en moi dans le préservatif, ma queue libère, comme trop longtemps gardée, une grosse quantité de sperme. Mon corps est parcouru de soubresauts tel une crise d’épilepsie.
On se met a gémir en cœur sans retenue, de plaisir partagé.
Epuisé mais ravi, je m’écroule sur le matelas, sur mon sperme encore chaud, complètement comblé de sexe. Le mec s’allonge lourdement à mes côtés. Nous allons rester longtemps comme ça, silencieux, pour reprendre nos esprits.
Ensuite, nous avons discuter un peu de tout et de rien, mais surtout du plaisir que l’on avait prit ensemble. Il est rare de vraiment partager autant de plaisir avec un mec que je ne reverrai surement pas. Mais c’était bon et sans se prendre la tête.
Nous nous sommes séparés et je suis retourné voir mon ami.
Mais, où est il ?

Seithan

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