La Reine
Il existe un royaume inconnu sous nos cieux. Seule une reine peut diriger et encore il y a des conditions : elle doit avoir plus de 25 ans, ne pas être vierge, navoir pas ds. Son engagement, le jour du couronnement est de ne pouvoir prendre du plaisir quen public. Pour ce pays, cest la norme, personne ne soffusque de savoir et de voir la reine dans les bras dun ou dune amante. En règle générale, dailleurs les habitants ne font pas mystère de leurs étreintes.
Jai été capturé comme immigrant à la frontière, alors que javais mes papiers en règle. Mais les administrations sont les mêmes en haut ou en bas du globe. Je faisais parti des rares immigrants. Jai été montré à la reine.
Je regardais une femme de 30 ans, jolie, même si elle avait un air hautain de reine justement, Presque nue montrant sans risque une poitrine qui tenait en lair. Je voyais des hanches, une taille irréelle.
La punition pour passage illégal était que je sois montré nu au peuple. Vu ainsi cela parait léger. Mais allez le faire en public, mes principes me linterdisaient. Je devais obéir à leur loi. Cest donc nu que je venais montrer mes attributs à une cour qui finalement sen foutait totalement. Les seules intéressées étaient outre la reine, ses servantes proches.
Je me demandais à quelle sauce jallais être dévoré. La reine me parle :
- Mets-toi à genoux devant moi.
Simple marque de respect. Jobéis sans problème. Ca ne me coute rien et ça lui fit plaisir. En plus je peux voir de plus près des secrets agréables à regarder. Elle se tourne vers sa cour pour demander :
- Est-ce que je le lui demande ?
- Quoi ?
- Le faire partir, cest un étranger, cest peut être un problème, mais il a lair bien monté pour baiser plus tard.
- Oui, baises avec lui.
Cest la cour qui me veut, sans me demander mon avis. Elle est jolie, sexy sans trop de pudeur, ni chasteté. Je dois me donner en spectacle. Quand elle bouge je vois le bout de ses seins remuer comme sils avaient leur vie propre.
- Etranger tu es puni, tu sais que tu dois mobéir. Tu es presque un esclave pour moi, je peux faire et te faire faire ce que je veux. Inclines toi devant mon sexe sacré, regardes le sans y toucher.
Si ma peine est de regarder une chatte de près ce nest pas grave. En plus cest agréable à voir un sexe féminin, pas comme une bite et des couilles.
Je navais pas mesuré quà part la vue, jétais près pour la sentir : un parfum indéfinissable entre la rose, le tilleul, et la cyprine. Fort approprié en plus. Elle me faisait bander de plus en plus. Finalement malgré ma pudeur naturelle jétais près à faire ce quelle mimposait. Autour de moi la cour grondait : je nobéissais pas à la reine. Je ne savais pas ce que mon refus pourrait provoquer, un peu par peur et surtout pas désir japprochais mes lèvres. Cette fois jétais sur elle, sa peau touchait ma bouche. Je la sentais palpiter à mon approche. Je sortais à peine la fraction de la langue utile pour commencer. Jhésitais à mettre mon appendice en entier, même si au fond de moi jen sentais la nécessité. Je ne touchais que le haut de la fente. Javais sur le bout de ma langue un aperçu de son gout puissant, rare à mon avis.
- Prends-moi les cuisses.
Je craignais ses ordres secs pour ce qui est normalement un délassement mutuel. Je passais donc mes bras autour de ses jambes, je montais doucement vers ses cuisses pour trouver les fesses. Jarrêtais là, selon son désir ou ses ordres. Je ne sais plus. Ses cuisses musclées, leurs forme me donnait envie de passer moi avec la bite à la place de la langue.
Jétais contre elle, ma langue allait la conquérir. Elle donne un ordre à ses suivantes :
- Soutenez-moi, idiotes !!!!
Elle passe ses bras autour des épaules des suivantes qui la soutiennent pareillement. Tout est fait pour son plaisir. Je regarde ses seins se soulever à cause de la position des bras. Elle me regarde, je ne peux que la satisfaire.
Cette fois je touche lintérieur du sexe. Son gout est plus fort que je le pensais, cest agréable. Jenfonce ma langue quand elle écarte ses jambes. Laccès est libre. Le lèche tout ce que je trouve. Elle me donne tout aussi. Son bouton est souple, il pli quand je passe dessus : il grossit un peu quand je continue. Ses lèvres souvrent quand je passe, je suis obligé de faire un détour pour les honorer. La largeur de la langue est à peine suffisante pour la contenter. Elle a des mouvements incontrôlés, elle ne va pas tarder à partir. Je continue en changent dendroit ; Elle me donne le périnée. Je ne sais si elle veut que je monte encore. Si elle est totalement baissée. Ses fesses souvrent, mes mains les écartent. Le périnée est doux à lécher, par contre quand il se resserre vers lanus, jai quelques difficultés à monter encore. Pourtant en forçant le bout de la langue est sur son trou plissé. Elle force à peine, louvre et lentre finalement facilement ; je vais et viens à laise dans cet endroit resserré. Je sens les spasmes de son orgasme, de ses orgasmes.
-Baises-moi
Encore un ordre. Je suis près à lui faire lamour, même devant la cour, je bande assez. Je suis en elle quand elle est sur moi. Je sens ma queue grossir, grossir jusquau moment divin, royal où jéjacule
sous mon drap. Je faisais un rêve érotique. Dommage jaimais ma reine.
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