Baisé Par Trois Voisins

C’est par une nuit d’été chaude. Je m’ennuyais à la maison. Surtout j’avais le feu au cul. Une envie de me faire prendre comme pas possible. Habitant dans un quartier calme, j’ai décidé de sortir me dégourdir les jambes et qui sait trouver avec qui éteindre le feu qui ronge mon cul. Il était tard, environs 23h. Je quittais la maison sans faire de bruit afin de ne pas réveiller mes parents dont la fenêtre donne sur la cour. A peine sorti, je croise trois voisins adossés contre le mur, en train de discuter entre eux à voix basse, fumant des cigarettes. Deux d’entre eux j’ai déjà eu à baiser avec eux. Endurants, et surtout de bons baiseurs. Mon trou et ma bouche en gardent un bon souvenir. L’un deux, Y., m’aperçoit et siffle. Une manière de m’interpeler sans crier ni se faire entendre par le voisinage (discrétion oblige). Je m’arrête et me retourne. Il vient vers moi, me sourit et me tend la main. Il est de taille moyenne, brun, cheveux fin, yeux mi jaunes mi verts. Il a une bonne bite, assez épaisse, et surtout sait s’en servir. Il est actif/passif. il embrasse divinement bien et surtout il est tendre et sensuel. Après quelques banalités, il me confie qu’il est chaud et qu’il a envie de baiser avec moi. Un peu surpris, je ne m’attendais pas à ce qu’il me fasse cette proposition alors que ses amis sont à trois quatre mètre de nous. Il me prend la main et la pose sur son entrejambes. Une bosse dure confirme ses dires. Ne voulant pas me faire remarquer par M. et R. qui regardaient en notre direction, je voulais dégager ma main. Mais il la tenait fermement, lui faisant faire un va et vient sur sa queue à l’étroit dans son jean. Je ne savais plus quoi faire. Il réitéra son envie. Ses yeux brillaient d’envie et de désir. Pour couper court, je lui ai dit « Et tes amis ? » Un petit sourire se dessine au coin de la bouche de Y. Il me regarde profondément, maintenant toujours ma main sur sa bite (mes doigts la caressaient tous seuls, sans qu’il insiste), et me lance : « Si tu veux, ils te baiseront aussi ».

Jouant le fier je rétorque : « Ah bon ? Comment tu peux être sûr de ça ? ». Il sourit de toutes ses dents et appellent les deux voisins qui ne perdaient rien de la scène qu’on leur offrait. Sans me rendre compte, on était tous les deux trois-quarts. Donc M. et R. n’ont rien perdu de la scène. De gêne et de honte, je baissais les yeux. Le bruit de pas me fit relever la tête. Ils se sont approchés de nous. Regard lubrique et deux bosses déformaient leurs entrejambes. Ils se mirent autour de moi, avec l’impression d’être encerclé. « Ecoute, on est chaud. On sait que tu aimes le zeb, que tu suces bien et que tu as un bon cul. Sois gentil et fais-nous plaisir », me lance doucement M. qui avait posé sa main sur mes fesses et qui avait commencé à les caresser. R., intimidé, ne faisait que regarder. Ne voulant pas me faire surprendre par un autre voisin dans cette situation (ou plutôt c’est l’excitation qui me fit réagir comme ça), je demandais à Y. où allons-nous baiser ? Que veulent-ils exactement que je leur fasse ?
Avec un sourire, il me pousse vers l’entrée du garage de la maison de ses parents. A peine entrés que tous les trois me touchent le corps. M. pousse sur mes épaules, me signifiant que je devais me mettre à genoux. Pas eu le temps de réfléchir. Me voici en position. Il fait sombre dans le garage. M. baisse son bermuda et je sens une queue me frôler le visage. Sans réfléchir, je la mets dans ma bouche et je commence à sucer. Sa bite a toujours ce petit goût de beurre mélangé aux noisettes. Elle est de bonne et épaisse (dans les 18 / 6 cm). Je la suce goulûment. Je salive. Je sens une main qui me pousse plus ma tête jusqu’à ce que mon nez se colle à son pubis. C’est Y. qui me faisait ça. Un signe pour entamer une gorge profonde. Il poussait au maximum. Je sentais le gland de la queue de M. s’enfoncer au point où j’avais un haut le cœur. Mes yeux étaient en larmes. Il se retira lentement. Je n’avais pas eu le temps de reprendre mes esprits qu’une autre bite remplace celle de M.
C’est Y. Elle est Longue et épaisse aussi. Son pubis fourni m’enivre (eh oui j’aime les bites poilues). Il dégage une odeur de transpiration sans agresser. Je le suce aussi ou plutôt c’est lui qui me baise la bouche. Au début, le rythme est lent, puis il accélère la cadence de plus en plus. Ma bouche est ouverte, et mes lèvres sont à peines posées sur cette bonne queue. Je le laisse faire, et j’aime ça. Je me sens faillir, fondre. J’aime me sentir un objet sexuel. J’aime être traité comme une salope… Pendant que je me fais limer la bouche, je sens une main sur mes fesses. J’arrête de sucer et je me retourne, c’est R., à genoux en train de caresser mes fesses. Je le laisse faire et je retourne à ma besogne. M. et Y. se relayent dans ma bouche. R. déboutonne mon pantalon, le baisse ainsi que le caleçon. Il écarte mes fesses et titille mon trou de balle avec son doigt mouillé avec sa salive. Une onde de chaleur m’envahit. J’alterne entre les deux queues de M. et Y. Ce dernier me coince entre ses mains et accélère le rythme. Je sens sa bonne teube se contracter. Dans un râle étouffé, je sens son sperme inonder ma bouche. Chaud et crémeux. Je ne fais rien, juste déglutir et avaler cet élixir. A peine ai-je eu le temps de tout avaler que M. me dit d’ouvrir grand la bouche. Je m’exécute en tirant la langue. Il pointe son gland et le pose sur ma langue : une avalanche de foutre m’inonde. J’ai du mal à tout retenir. J’ai tout avalé. Ensuite, j’ai nettoyé les deux bites. Entre temps, R. est en train de me doigter le cul. Deux doigts coulissent sans peine. Avec l’excitation, je ne m’étais rendu compte de rien, tellement pris à sucer les deux queues.
Il me demande de mettre à quatre pattes. Je sens son gland sur ma rondelle, je me détends le maximum. Je le sens pousser doucement. A peine le gland entré qu’il s’arrête, se retire et répète l’opération trois fois sans oublier de lubrifier avec sa salive. Histoire que mon trou s’habitue à l’intrusion de son gland qui me paraît conséquent.
L’entrée de mon trou se dilate, laissant le bout de la pine de R. me pénétrer. Je sens ce serpent de chaire entrer lentement. Mes parois anales se dilatent, épousent sa forme. Elle me paraît énorme. Il garde cette cadence une dizaine de minutes avant de débuter un pilonnage en règle. J’avais l’impression d’être torpillé. Il m’a vraiment baisé. Je commençais d’abord à gémir, puis à couiner comme une pute. De peur de réveiller le voisinage, Y. me met sa queue dans la bouche pour mes cris. J’avale goulument cette bite, tout en continuant de me faire prendre de manière quasi sauvage. La queue d’Y. commence à durcir. Je salive sur ce manche de chair qui me défonce également la bouche. Dans un râle, R. tombe sur moi et lâche toute sa purée. Je sens son sperme envahir mes entrailles. Il se retire et du sperme coule sur mes cuisses. Il est vite remplacé par M. qui se masturbé dans son coin. Vu la quantité de foutre dans mon cul, sa queue n’eut aucun problème à me pénétrer. Elle glissait comme dans du beurre. R. quitte ma bouche et prend la place de M. Tous les deux se sont succédé dans mon cul. Ils ont tous les deux joui en moi. Alors qu’Y., qui avait la forme, me baisait la bouche avec sa longue et grosse bite (pas moins de 20/6 cm). Il a jutait dans ma bouche. J’ai avalé son nectar sans qu’il me le dise. Il était bon.
J’avais du mal à me lever tant mes genoux me faisaient un peu mal. En rentrant chez moi, j’ai pris une douche et un bain de siège pour me nettoyer le fion et surtout l’apaiser. J’avais du mal à marcher normalement et surtout à m’assoir. J’ai revu R., M. et Y. et j’ai baisé avec plusieurs fois, mais pas tous les trois en même temps.

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