Decouvertes Dans Une Tente..
C'est parti, je ne peux plus faire machine arrière. J'ai quinze ans, et une fille va finir de me dénuder.
La fille en face de moi a l'air calme, mais mon cur à moi commence à battre la chamade. La fille en face de moi remet en place une de ses mèches brunes. La fille en face de moi, c'est Emma.
Je l'ai rencontré au camping où nous sommes actuellement, au bord du lac. Alors que les autres garçons de mon âge roulaient des mécaniques en montrant leurs pectoraux naissants au soleil, j 'étais plutôt du genre à traîner à l'ombre des bois, à regarder les vaguelettes ou lire une BD. Emma m'avait remarqué, et timidement abordé. Elle aussi n'était pas du genre des autres filles, qui soulignaient leurs parfois déjà opulentes poitrines avec des bikinis faits de moins de tissu qu'un mouchoir de poche.
Nous avions passé la semaine qui suivit vaguement ensemble. Je dis vaguement, car nous ne fixions jamais de rendez-vous, nous finissions par nous trouver tous les deux vers le lac et nous nous baladions et discutions un peu. Oh, ce n'étaient pas des randonnées époustouflantes ou des conversations passionnées, mais nous étions tous les deux assez contents de nous être trouvés. Nous n'étions pas meilleurs amis, mais nous entendions assez bien, et avions quelques centres d'intérêt en commun.
Par dessus tout ça, nous étions intrigués.
Au cours de ma scolarité, je n'avais eu que des amis du même sexe, et je pense qu'il en était de même pour Emma. Jamais de petite amie si on exclut une fille à laquelle je tenais la main en maternelle et début de primaire, alors pouvoir côtoyer régulièrement une fille de mon age qui de surcroît se baladait la plupart du temps en maillot de bain.. Au cours de nos après-midis ensemble, je ne pouvais m'empêcher de laisser glisser mon regard sur son haut de bikini qui masquait sa petite poitrine. Je m'aventurais même parfois à jeter un il plus bas, et rêvait à ce qui se cachait sous ce triangle de tissu.
Ca aurait pu en rester là, et Emma serait restée le sujet de quelques plaisirs solitaires nocturnes, mais j'ai tôt fait de remarquer que mon maillot de bain l'intriguait beaucoup aussi.. Après une baignade, en effet, le tissu mouillé de mon maillot moulait les contours de mon engin. Et les baignades, on en faisait beaucoup, car je pouvais pour ma part remercier l'eau froide qui faisait ressortir ses tétons à travers son maillot..
Ce fut un début d'après midi, après une de ces fameuses baignades, où nous étions assis sur la plage un peu à l'écart des autres gens, à sécher que la guerre se déclara. Alors que d'habitude, nous allions rapidement ailleurs pour éviter la cohorte de gamins qui arrivait souvent vers 14h30, nous sommes restés un peu plus longtemps pour profiter du soleil.
Nous parlions de Tintin au Congo, et je jetais des regards en coin à sa poitrine, comme à mon habitude, quand soudain, je sentis quelques chose se produire dans mon entrejambe. L'eau froide ayant seché, mon pénis commençait doucement à se réveiller. Ca commençait avec une petite sensation dans le gland, et puis mes testicules roulaient légèrement, comme se tirant d'un sommeil.
Je commençais à paniquer intérieurement, et essayait de ne pas penser à quoi que ce soit qui puisse aggraver la situation, ce qui bien sûr était le meilleur moyen pour que des dizaines d'images pornographiques envahissent mon esprit.
En une dizaine de secondes, le chapiteau était dressé. J'eus alors une hésitation : Soit je tirais discrètement sur l'élastique de mon maillot de bain afin de permettre à mon pénis en érection de s'aplatir sur mon bas ventre, soit je levais un peu ma jambe droite pour masquer la bosse de sa vue. Ce fut cette hésitation qui me fut 'fatale'. Je vis les yeux d'Emma posés sur mon entrejambe, puis revenir vers mon regard, puis mon entrejambe, puis enfin au sol devant elle. Elle rougit pendant une seconde, puis me prit par le bras, me releva, et dit « Allez, viens ».
Et c'est ainsi que nous nous retrouvons ici, dans la tente de ses parents. Ces derniers, comme mes parents, étaient partis en bus début d'après-midi en excursion canoë. Retour prévu vers 18h, il n'était même pas 15h. Bien qu'autour de nous, les bruits habituels de camping -cris d', pères qui haussent la voix, bruit de tongs contre les graviers, bruissement du vent dans les pins- continuaient, je me sentais dans un alcôve de sécurité dans cette tente avec Emma.
Les fermetures éclair étaient fermés, le tissu suffisamment opaque pour que personne ne puisse même discerner nos silhouettes, absolument personne ne pouvait nous déranger, et même si quelqu'un entrait, nous étions en fait dans une des petites tentes intérieures de la grande tente, séparée du couloir par encore une 'porte' en tissu avec moustiquaire. Bref, j'avais l'impression d'être sur un roc au milieu de l'océan avec Emma.
Cette dernière n'avait pipé mot depuis son 'allez, viens', mais elle n'en avait pas besoin. Quelque chose s'était déclenché à l'intérieur de nous, peut-être une jalousie vis-à-vis des ados 'cools', une volonté de, nous aussi, vivre une aventure adolescente, le tout catalysé par mon érection accidentelle.
Elle était assise en face de moi. Il n'y avait pas beaucoup de place, alors nos genoux de touchaient presque. La promiscuité rendait les chose encore un peu plus intenses.
Je regardais Emma et elle me regardait, et, dans un des grands moments de mon adolescence, elle retira son haut de maillot de bain. Immédiatement mon attention se porta sur ses seins, et mon érection qui ne m'avait pas lâché s'intensifia. Comme j'avais pu le deviner, elle n'avait pas une forte poitrine, mais des seins déjà bien formés. J'étais captivé par ses tétons, petits cylindres noirs au milieu de ses seins blancs, qui malgré l'absence d'eau froide, étaient bien tendus. J'en conclus que la situation l'excitait autant que moi, et me réjouissait de découvrir la face cachée de cette fille timide que j'avais appris à connaître.
De manière hésitante, mais presque instinctive, je portais mes mains à ses seins, jusqu'à les recouvrir complètement. Emma prit une petite inspiration, et à ce moment là, rien ne me parut plus naturel que de prendre la poitrine d'une fille en main. Deux mains, deux seins, et puis cette sensation.. De tout ce qu'on peut toucher dans la vie, difficile de rivaliser avec une poitrine.
Je n'osais pas trop malaxer, aussi retirais-je mes mains après quelques secondes. S'ensuivit quelques instants de silence, pendant lesquels Emma me regarda, puis laissa ses yeux glisser vers le bas.
Je compris le message. 'C'était à toi, maintenant, c'est à moi'. Je me fis la reflexion un peu stupide et surtout pas du tout appropriée que montrer mon pénis contre ses seins, ce n'était pas franchement équitable. Des seins, on en voyait partout, à la télévision, dans les magasines, à la plage.. C'était socialement acceptable de montrer des seins. N'importe qui a quinze ans avait déjà vu une paire de seins. Mais un pénis.. Ca, c'était plus tabou, et à part dans les films pornographiques, je ne voyais pas comment les filles pouvaient découvrir ce genre d'engin avant une relation sexuelle. Oh, bien sûr, tout le monde voit la forme générale tant les gribouillis et tags à son honneur fleurissent sur les feuilles de cours et les murs gris. Mais un pénis dans le détail..
J'eus tôt fait de chasser ces réflexions, je ne voulais surtout pas gâcher l'instant. Et puis, on avait le temps.. Alors, de la manière la plus élégante que je pouvais au vu du manque de place, j'otais entièrement mon maillot de bain.
Mon pénis bandait toujours fièrement, et j'observais le visage d'Emma. Elle le fixait, évidemment, et je commençai à rougir. Montrer son pénis à quelqu'un, ça aussi c'est une première à partir d'un certain âge. J'étais complètement nu devant cette fille, mais ne me sentais pas vulnérable de par la grande impression de sécurité qui émanait de ce morceau de tente. J'espérais seulement qu'elle n'écoutait pas les garçons qui clamaient que la longueur de leur membre dépassaient les 20cm, ou que sa seule valeur étalon pour la longueur de ce genre d'appendice était celui d'un acteur porno quelconque.
Mon membre à moi faisait quinze centimètres, et à peu près trois centimètres de diamètre à sa base. Autour de lui, c'était bien sûr la partie la plus poilue de mon anatomie. Je m'étais un jour amusé à couper tout ça, mais les démangeaisons qui en résultèrent m'avaient encouragé à ne jamais recommencer.
Avoir Emma regarder mon pénis était malgré ça terriblement excitant, et mon érection commençait à me faire mal tant elle durait. Emma ouvrit la bouche pour dire quelque chose, puis se tut. Je ne voyais pas vraiment ce qu'on pouvait dire dans pareille situation. La dernière conversation que nous avions eu, interrompu par mon érection, était sur Tintin au Congo, et je ne voyais vraiment pas comment enchaîner avec ça. De plus, nous n'avions jamais abordé de sujets intimes, alors que dire lorsque tout ce qui nous séparait de la tenue d'Adam et Eve était ce bout de tissu qui cachait son petit trésor..
A propos de ce bout de tissu, je commençai à lever une main pour lui mentionner que c'était à son tour lorsqu'elle tendit la sienne et saisit mon sexe.
Le geste et le contact me surprirent. Elle exerça différentes pressions autour de ma hampe, comme pour en déterminer la fermeté (qui était, à ce moment là, très forte). Ma respiration s'accéléra. Emma évitait soigneusement mon regard, concentrée sur mon engin. Après quelques secondes de ce manège, ce fut plus fort que moi, c'était animal, je lui pris cette fameuse main et la guida en mouvement de va et vient. Emma fronça un peu les sourcils, mais se laissa faire, et continua bientôt d'elle même.
Tout alla alors très vite. Enfin libéré de plusieurs dizaines de minutes d'excitation sexuelle intense, le plaisir monta d'un seul coup. Je pense qu'il ne fallut que six ou sept aller-retours de sa part pour que j'éjacule violemment.
La puissance de mon éjaculation me surprit même moi. Il faut dire qu'en camping, partageant la tente avec mes parents, je me masturbais très peu, que c'était la première fois que j'étais autant excité sans pouvoir me toucher, et surtout que c'était la première fois qu'une fille me branlait. Le sperme monta quasiment aussi haut que ma tête, et jaillit encore en quatre saccades. Mon bas ventre fut inondé, et même Emma en reçut une partie sur ses jambes.
J'expirai d'un seul coup, les yeux vers le plafond. Si j'étais fier d'avoir éjaculé autant, je ne l'étais pas de l'avoir fait si vite. Que ses futurs amants me remercient, pensais-je, un peu amer, ils lui paraîtront tous être des dieux de la durée par rapport à moi.
Lorsque je posai à nouveau mes yeux sur Emma, celle-ci me regardait, et souriait légèrement. Sans un mot, elle ôta son fameux dernier bout de tissu. Encore un peu hagard de mon éjaculation, le sperme qui commençait à sécher et mon pénis à descendre, je fus soudain hypnotisé par ce qu'il révélait.
This was it. Ze grand mystère qui fascine tous les garçons, « mais qu'ont les filles à la place du zizi ? » enfin devant moi. Bon, je ne vais pas mentir, des vagins, Internet m'en avait fait voir un certain nombre littéralement en long en large et en travers. J'en avais vu des roses, des noirs, des jaunes, des grands ouverts, des amusés par quelques doigts, des exhibés fièrement, des poilus, des glabres, des léchés de haut en bas, des dégoulinant de cyprine, des pilonnés par des énormes pénis, godemichés, concombres, bananes ou poings,.. Je me dis que c'était quand même une sacrée époque que la nôtre, où à quinze ans, littéralement des milliers de femmes m'avaient montré leur intimité la plus profonde.
Mais en voir un rien que pour moi, au naturel, sans lumières ou caméra ou écran dordinateur entre lui et moi, c'était autrement plus bandant, et mon pénis, qui se redressait lentement, le comprenait bien.
D'un instinct comme celui qui m'avait poussé à lui prendre la main, je tendis mon bras et lui inséra deux doigts. Elle eut un petit hoquet de surprise, et moi je laissai échapper un petit soupir d'allégresse. Lintérieur de son vagin était comme un petit animal. Il s'était un peu poussé pour me laisser entrer, mais maintenant m'enveloppait les deux doigts, les pressant l'un contre l'autre. Je commençai à les agiter, et Emma ferma les yeux, sa respiration s'accélérant. Nous restâmes dans cette configuration pendant une minute ou deux. Un chien passa à côté de la tente, aussitôt suivi par son maître qui criait 'Milou !'. J'essayai différends mouvements, d'avant en arrière, de haut en bas, et jugeais à sa respiration le plaisir que cela lui procurait.
Malheureusement, une vilaine crampe au bras me força à arrêter, et je retirai mes appendices. Emma expira une dernière fois, et un petit silence s'installa. J'étais un peu déçu de ne paslui avoir procuré d'orgasme, mais les choses s'étaient quand même intensifiées depuis qu'elle avait saisi mon pénis inopinément. La tension sexuelle était palpable, aucun de nous n'avait envie d'arrêter là, mais je ne savais pas comment enchaîner. Emma me regardait, hésitante, et alors je me dis que tant pis, autant tenter un truc, que cette fille, je la reverrais plus jamais à la fin de la semaine, autant y aller. Je portai alors un des mes doigts à sa bouche, le ramena vers moi et toucha mon pénis à nouveau en pleine érection. Je regrettais immédiatement mon geste et commençait à rougir de honte, mais Emma parut presque soulagée que je prenne les choses en main. Toujours assise en face de moi, elle se pencha en avant si bien jusqu'à avoir sa tête dans mon entrejambe. Je n'avais de cette façon que son dos dans mon champ de vision, ainsi que l'arrière de sa tête si je baissais les yeux. Je posai une main en arrière pour assurer mon équilbire, et mis l'autre maladroitement dans ses cheveux. Ma prise sur sa chevelure s'accentua lorsque je sentis ses lèvres toucher mon engin. Très vite, mon pénis fur englouti par sa bouche gourmande.
Tout en me mordant la lèvre, je prononçai alors les premières paroles depuis de le début :
-Attention aux dents..
Je sentis alors les traîtres incisives s'éloigner, et tout mon pénis fut enveloppé d'une merveilleuse sensation accompagnée de bruits de succion terriblement excitants.
Ayant déjà éjaculé une fois, je pouvais cette fois un peu plus profiter de la faveur qu'elle me faisait. Tout en appuyant légèrement sur sa tête et en relâchant dans le rythme où elle descendait et montait sur ma hampe, je me disais 'Bon sang, t'es en train de te faire sucer.'
J'adorais me dire cette phrase. J'adorais imaginer le mot 'sucer', imaginer chaque lettre en me remémorant les centaines de vidéos de fellation que j'avais déjà vues, tout en sentant la langue d'Emma enrouler et se renrouler autour de ma verge.
Au bout d'une ou deux minutes de ce manège, j'éjaculai dans un râle et dans sa bouche par la même occasion. Emma eut comme un petit bruit de surprise, recula sa tête. Ses lèvres entrouvertes laissaient couler sur son menton mon sperme. J'en souris, et elle me sourit.
Nous n'avons rien fait de plus dans cette tente ce jour là. L'absence de préservatif compliquait les choses, et quand bien même je ne suis pas sûr que nous serions vraiment passés à l'acte. 'Faire l'amour' étaient de bien grands mots pour cette expérience, une barrière que nous n'étions probablement pas prêts à passer.
Ceci resta seulement comme un bon souvenir de sexe adolescent, souvenir qui m'accompagna longtemps dans mes plaisirs solitaires.. La seule chose gênante est que depuis ce jour là et quelle que soit la situation, voir un album de Tintin me colle toujours une bonne érection.
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