Plan À Trois Toride : Je Découvre Les Talents De Ma Colocataire.
« Jaimerai tellement que tu me suces Julia »
Malheureusement, ces mots ne viennent pas annoncer une nuit torride dans mon lit avec un jeune Apollon. Non, ils viennent de Paul, un homme que jai rencontré il y a un mois de ça sur internet. Nétant pas une grande convaincue des histoires damour naissant sur la toile, je ne suis pas pour autant complétement fermée aux conversations érotiques avec un inconnu qui donnent matière à se caresser. Paul avait eu le don de me donner plusieurs orgasmes de suite simplement en menvoyant quelques mots crus, ne vous étonnez donc pas que jai gardé contact avec lui.
Nous avons mis plusieurs semaines avant de nous rencontrer. Question de principe à deux balles peut-être
Une nuit quil menvoyait des mots salaces, je craquais et lui demandais de passer chez moi le soir suivant. Je mettais ma coloc, Marjolaine, à la porte pour la nuit. Après de longues tergiversions, joptais pour un ensemble en satin et une robe moulante avec des hauts talons pour la soirée. On frappa
Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris un quarantenaire devant ma porte : « Bonsoir, je suis Paul ». Quelle idiote javais été de ne pas lui demander une photo ! Les images de son corps musclé et de son imposant pénis mavaient suffi. Jallais lui fermer la porte au nez, verte de rage, mais il la retint avec une force qui métonna : « Je peux au moins prendre un verre, non ? ». Je commençais à lui rire au nez quand japerçus ses muscles saillants sous son t-shirt moulant. Il était vraiment bien bâti. En le regardant avec plus dattention, je remarquais quil ressemblait à Bruce Willis. Je le laissai entrer
Je me rendis dans la cuisine pour prendre le vin. Je le surpris en train de matter mes fesses avec satisfaction. Quel salopard
je me tenais droite, sans bouger, visiblement énervée. Il sapprocha lentement de moi : « Allez Julia, tu ne vas pas me faire le coup de la sainte nitouche. Non, pas après tout ce que tu mas dit, pas après toutes les photos sexy que tu mas envoyées
» Il agrippa mes hanches.
Sur le pallier, Marjolaine, ma colocataire, qui avait visiblement oublié mes indications pour la nuit. Après un petit cri étouffé lorsquelle découvrit un homme complétement nu dans le salon prêt à me prendre, elle sourit et marcha lentement jusquà sa chambre, visiblement impressionnée par lhomme que javais ramené. Paul et moi partirent dans ma chambre finirent nos ébats.
En effet, il savait comment y faire avec les femmes. Chacune de ses caresses me rendaient folles, je mouillais comme une salope, ce qui semblait le combler. Il allait enfin me pénétrer quand Marjolaine entra dans la chambre. Elle se tenait contre la porte, uniquement vêtue dune petite nuisette transparente : « Je peux entrer ? ».
Soudain, Marjolaine lâcha dun ton autoritaire : « Maintenant chéri, tu toccupes de nous ». Elle mallongea auprès delle. Paul sempara de nos poitrines, ravi davoir deux 95C entre ses mains expertes. Il murmurait « Oh les petites chiennes, hmmm vous allez voir ce que vous allez prendre. » Il nous lécha chacune notre tour et fit jouir mon amie une première fois. Marjolaine et moi nous embrassions sensuellement, excitées de nous retrouver dans une telle situation. Sa langue léchait mes lèvres tendrement
elle savait y faire. Je sentis soudainement lattention de Paul se concentrait sur moi.
Bien quà moitié assommée par le plaisir, je vis que Paul soccupait maintenant de ma copine. Je mapprochais doucement deux, massant à tour de rôle les couilles de Paul et les seins de Marjo qui rebondissait sous les coups de reins. Je regardai à mon tour cet inconnu prendre le contrôle du corps (magnifique, il faut lavouer) de mon amie. Son dos se cambrait sous les assauts endiablés de Paul. Elle gémissait « Donne-moi une fessée ! ». Je souriais, surprise de découvrir cet aspect de sa personnalité. Etrangement, ça me plaisait beaucoup. Alors quil allait venir, il se retira de Marjo et nous éjacula sur les seins. Il ne mit pas longtemps à sendormir. Mais nous en voulions encore. Je mapprochais du corps de ma partenaire pour lui lécher ses seins recouverts de sperme.
Le lendemain, nous prirent une douche tous les trois, Marjolaine et moi plaquées contre le mur pour recevoir chacune notre tour la bite de Paul. Il nous insultait de petites salopes, de belles putes en même temps quil nous sautait sauvagement. Alors que nous le sucions il murmura : « Je vous ai entendu hier soir petites cochonnes. Vous pensiez que je dormais hein ? Hmmm vous mavez offert une belle branlette. »
Une fois quil fut parti, je mallongeais sur mon lit pour me reposer. Cétait sans compter sur Marjolaine, qui, quelques heures plus tard, entra dans ma chambre, cette fois-ci entièrement nue. « Je peux entrer ? ».
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