Doly (Épisode4)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Les phares de la voiture étaient dirigés sur moi. J'étais plié en deux, pieds nus sur les graviers du parking, les jambes largement écartées pour ne pas me tacher. Je maintenais mon marcel assez haut sur ma poitrine pour les mêmes raisons. Les crampes de mes entrailles me maintenaient dans cette position alors que je n'évacuais plus rien. Je ne pouvais plus bouger, il fallait que le travail de lavement se termine. La voiture, quant à elle, avançait inexorablement dans ma direction. Les filles étaient restées en retrait au niveau de la Polo de Mathilde. Elles pouvaient m'admirer dans la lueur des phares et çà donnait une dimension cinématographique à la scène. Ma vulnérabilité me terrifiait et tel une biche apeurée dans les phares de un automobiliste, je ne pouvait détourner le regard de ces deux soleils dans la nuit. Arrivé à ma hauteur, le conducteur me lança "Eh taré ! ... pauvre merde !", me cracha au visage et accéléra pour s'évanouir dans le noir.
Mat : T'as fini doly
Moi : Oui mathilde
Mat : Alors qu'est ce que tu attends, viens ici et remonte dans le coffre.
Une fois chargée, Mathilde et ses amies se remirent en route pour quelques minutes et, arrivées à hauteur de la Porte Dorée, garèrent la voiture sur le chemin du lac puis disparurent en me laissant couché, en chien de fusil, dans le coffre. Après une vingtaine de minute, elles étaient revenues joviales et j'entendais quelques voix masculines se mélanger à leur rires . Le coffre s'ouvrit et je vis 5 mecs qui se marraient devant le spectacle. Mathilde fit tout de suite les présentations :
- Voilà je vous présente doly. C’est la lopette dont je vous ai parlé. Pour me prouver son attachement, elle souhaite s'offrir, pour la première fois, à de jeunes hommes fougueux tels que vous. Comme nous en avons convenu avec mes collègues, il est important pour doly que ce rapport soit tarifé.

Cela permet aux choses d'être clairement fixées : il ne s'agit en aucune manière du plaisir de mademoiselle, mais bien de l'achat de prestations sexuelles. Nous nous sommes accordés sur un tarif de groupe de 10 euros, mais comme doly est totalement inexpérimentée, nous ne pouvons pas décemment vous imposer de durée ! Je compte sur votre compréhension pour excuser son incompétence et vous fais confiance pour prendre le temps qu’il vous faudra afin qu’elle vous satisfasse … doly, je voudrais maintenant que tu sortes, te mettes là dans l'herbe, en position d’attente et que tu expliques un peu à tes clients, qui sont aussi tes maîtres d'un soir, ce que tu attends d'eux.
Etrangement pendant la présentation de Mathilde les rires s'étaient tus et les cinq gaillards me scrutaient désormais avec avidité, et sérieux, comme une meute de prédateurs examinant leur proie, avant de s'en répartir les meilleurs morceaux.
Mathilde me tira par la boucle de mon collier pour m'emmener sur le carré d'herbe situé devant la polo, suivi de près par les 5 mecs. Marjorie et Suzanne étaient retournées à l'intérieur de la voiture et ne manquaient pas une miette du spectacle. Je m'agenouillais fébrile dans l'herbe, les cuisses largement écartée (un coup de pied de Mathilde à l’intérieur de mes cuisses afin que j’augmente encore un peu la distance entre mes genoux, et surtout bien faire comprendre l’ascendant absolu, qu’elle avait sur moi) et les mains dans le dos.
Mat : on t'écoute !
Moi : ...
Mat (me prenant par les cheveux et penchant ma tête en arrière afin que je fasse face à cinq géants qui me toisaient, attentifs) : Doly regarde, ces messieurs ont bien voulu me faire le plaisir de me suivre jusqu'à la voiture. Malgré ton ignorance, ils ont tout de même accepter de me payer et, pour cela, je leur ai promis qu'ils ne le regretteraient pas ! Alors, qu'à tu as leur dire pour ne pas me faire honte !
Les mecs : Eh la pute, tu vas faire plaisir à ta maitresse et nous dire ce que tu attends !
Moi (ne pouvant réfréner mes larmes mais acceptant, comme une délivrance, de livrer publiquement mon intimité) : Mé.
.messieurs, je désire être votre pute. Je désire me saillir s'il vous plait. Mon sexe anal a été travaillé par ma Maitresse pour vous accueillir et vous être agréable. Ma bouche est faite pour accueillir vos queues et recueillir votre semence. Je vous désire comme Maitres et que vous disposiez de moi comme bon vous semble.
Le sourire de Mathilde me réchauffa le coeur et j'étais heureux d'avoir enfin pu être à la hauteur de ses attentes. Elle était belle et triomphante et je comprenais enfin, que le seul plaisir qui m'importait vraiment, était de percevoir dans le regard de Mathilde cette lueur sacrée qui lui donnait toute sa splendeur et dont moi seul étais la cause ! Mais mes mots avait aussi fait l'effet d'une bombe chez nos 5 dominants et ils s'étaient rués sur moi comme la misère sur le monde ! Ils m'avaient relever le cul, aracher mon marcel qui semblait les gêner, et déjà un type avait pris ma tête entre ses mains et m'enfonçait son pieux dans la bouche. Jambes tendues, le tronc penché en avant à 90 degrés, un mec m'avait agrippé les hanches et me sodomisait avec force. La sensation de ce sexe chaud et doux dans mon fondement était plus agréable que les godes en plastique de Mathilde. Deux autres me prirent chacun une main et y posèrent leur bite afin que je les caresse. Puis un jeux de chaise musicale se mis en place autour de moi. Le cinquième se branlait devant la scène et venait remplacer le premier qui se lassait de sa position. Ils se passaient le relai en s’expliquant le fonctionnement de mes orifices. Mathilde de son côté avait rejoint ses copines dans la voiture. Deux autres véhicules s'étaient garés à côté de la Polo. Leurs occupants ne manquaient pas une miette du spectacle éclairé par les feux de la voiture de Mathilde.
Suz : Oh les filles, elle prend cher, notre doly !
Marj : Les mecs ont vraiment des sexes épais et c’est vrai qu’au milieu de ces corps d’athlète, doly fait vraiment femelle avec sa peau laiteuse, sans un poil et sa musculature de plante verte.

Mat : Et vous avez vu comme elle se laisse manipuler, regardez la, ils la tiennent par les hanches et ses pieds ne touchent même plus le sol.
Marj : Oui, ils ont vraiment la main. Celui qui se fait pomper, lui pince le nez pour qu’elle ouvre bien grand la bouche.
Suz : Elle a l’air d’aimer çà.
Mat : Peut être pas encore mais çà viendra !
Marj : Vous vous imaginez les filles, être prise par cinq mec à la file, comme çà !
Suz : Non mais c’est juste pas possible ! J’aurais l’impression d’être éviscérée !
Marj : Ah oui, un peu de tendresse quand même, on est des filles !
La partie fine dura une bonne heure et lorsque les hommes me lâchèrent, je m’effondrais au sol car mes jambes ne me portaient plus. Afin que je reprenne mes esprits, les 5 gaillards se mirent en cercle autour de moi et me pissèrent dessus. Le leader du groupe vint toquer à la portière de Mathilde, et il lui tendit sa carte de visite.
- Merci pour votre lope, elle est parfaite. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez nous l’offrir à nouveau. A bientôt mesdames.
J'étais resté dans l'herbe tentant de reprendre contact avec mon corps meurtri. J'avais la tête définitivement vidée lorsque Mathilde, accompagnée de ses deux copines, revinrent pour me féliciter :
Mat : Ces messieurs nous ont offert un magnifique spectacle. Je suis soulagé parce qu'ils ont vraiment été contents de ta docilité. Je pense que tu peux déjà compter sur eux pour être des clients réguliers. Le grand m'a même laissé ses coordonnées. Bon, maintenant, il faut que tu prennes un bain avant de remonter dans la voiture. Qu'est ce que tu pu !
Mathilde me fis traverser le petit bois qui nous séparait du lac et m'y jeta en me poussant du pied. Je trébuchait et dévalait dans l'eau froide. Le sperme collait sur mon visage, je ma passait plusieurs fois la main sur les fesses, ouvrant mon cul pour tenter de me débarrasser du jus en moi. Bref, j'étais tout à ma toilette lorsqu'un homme s'approcha de Mathilde.
Je pouvais deviner sa silhouette obèse perforer le sous-bois. Mathilde me demanda de remonter et c'est trempé qu'elle me demanda de m'installer en attente à ses pieds. La terre se transforma en boue, pour venir accueillir mes genoux. Me tapotant la joue, elle me dit :
Mat : Doly, ce monsieur a beaucoup apprécié ta prestation tout à l'heure. Il me demande s'il pourrait jouer avec toi un moment. J'ai accepté, tu sais bien que je ne peux rien te refuser ! Mais je ne veux pas que tu traines trop car nous voulons rentrer, avec les filles.
Moi : Mathilde, je ... je suis fatigué ...
Mat : Je sais doly, mais ce ne sera pas long. (Mat s'adressant au client) Elle est à vous.
Le client ouvrit sa braguette et m'appuyant sur les épaules, me guida vers son entrejambe. Son sexe était loin sous son ventre. L'odeur était forte, de transpiration et de pisse mêlée. Lorsque j'eu sa bite dans ma bouche, j'avais du mal à prendre ma respiration. Après quelques va-et-vients, il banda confortablement. Il me releva, me pencha en avant et je posais mes mains sur mes genoux pour trouver l'équilibre. Alors il me pénétra, m'agrippant les hanches et c'est seulement après quelques minutes qu'il jouit en moi. Il se reculotta, se dirigea vers Mathilde, restée non loin et lui glissa un billet dans la main. Il n'avait pas dit un mot et cette façon de m'utiliser, avec une telle inconséquence, m'accabla, alors que je sentais le sperme couler entre mes jambes.
Mat (me ramenant à la voiture) : Tu vois c'était pas grand chose. Il m'avait prévenu que çà ne durerait pas longtemps. Il faut vraiment que tu apprenne à me faire confiance doly !
Moi : Oui Mathilde.
Mat : bon allez grimpe dans me coffre !
Suz : Ben vous en avez mis tu temps !
Mat : Doly s'est fait un nouveau copain au bord du lac !
Marj : Non ! Raconte !
Mat : Vous avez fait attention au gros tout à l'heure qui matait dans la voiture de gauche.
Marj : Oui oui, le type qui nous a fait super quand doly se faisait pisser dessus !
Mat : Celui-là même. Eh bien, il venu me voir alors qu'elle faisait sa toilette dans le lac, pour me demander une passe.
Suz : et t'a dit oui ?
Mat : Bien sûr pour 5 euros, il m'a dit que ce serait rapide !
Suz : et alors ?
Mat : Ah pour être rapide, çà a été rapide. doly l'a pompé 5 minutes puis il l'a enculé environ 3 minutes et c'était fini.
Marj : On a rien loupé alors.
Mat : Ah moi j'ai bien aimé. Il n'a pas dit un mot, c'est servi de doly et est parti. J'ai trouvé çà marrant qu'elle puisse être baisée vraiment comme une chienne, comme Myrtille.
Suz : Vous savez les filles, ce qui me frustre le plus, c'est je ne pourrais pas en parler au boulot demain. Jamais personne ne pourra croire une chose pareille !
Marj : Ah çà oui. Tu nous a fais vivre un truc de dingue Mathilde.
Mat : C'était avec plaisir les filles, on remet çà quand vous voulez.
Marj : En même temps, Mathilde, je ne suis pas sûr de vouloir passer tous mes dimanches soir dans ta voiture.
Mat : Oui t'a raison...
Suz (arrivées au métro Michel Bizot) : Merci pour la soirée Mathilde, à bientôt.
Marj : A bientôt Mathilde.
Nous sommes arrivés à l'appartement vers 3heures du matin. Mathilde gara la voiture dans la rue. Elle ouvrit le coffre et m'en fit descendre.

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