La Surprise De Sabrina (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Sabrina se rend à peine compte qu'Hugo lui a ouvert la bouche en grand pour y cracher dedans et lui a ordonné d'avaler. Elle obéit automatiquement, elle n'est plus qu'un robot sexuel qui dit oui à toutes les perversions masculines. Elle a abandonné le contrôle de son corps à son état de salope soumise pour flotter dans un océan de bien-être et de jouissance. Elle s'entend prononcer des paroles comme si elle était spectatrice:
- Oui mon beau Hugo crache moi encore dans ma gueule de salope, j'adore ça, c'est trop bon, humilie moi. Humiliez-moi tous, faites vous plaisir à vos bites, je veux être votre salope sans limites !
- Mais quelle pute celle-là, hurle Alain, mon dieu je vais jouir, donne-moi ta bouche à sperme salope ! Je vais te la remplir de foutre à ras-bord !
Alain a à peine le temps de se placer devant le visage de la pute docile qu'un geyser de sperme sort de son énorme phallus. Le jet de semence masculine est tellement puissant que non seulement il éclabousse tout le visage de Sabrina mais il gicle aussi dans la bouche de la pute et en ressort, aspergeant les cheveux de la latina, son nez, ainsi que le bas ventre d'Alain. Celui-ci soupire et gémit d'aise en se massant ses couilles en plein travail.
La gorge de Sabrina est complètement noyée de sperme et les couilles d'Alain continuent à en produire ! L'avaleuse de foutre ne peut engloutir un flot aussi massif et rapide et elle avale de travers dans un horrible gargouillis. Mais la petite chienne ne peut se soustraire au jet continu car Hugo et Rudy lui bloquent la tête et la forcent à garder la gueule ouverte tout en se moquant de cette bouffe-sperme.
Le geyser finit par se tarir sous les grognements d'Alain qui parait épuisé d'avoir produit une quantité aussi phénoménale de semence. Il dit néanmoins sur un ton méchant:
- Tu va t'étaler tout mon sperme sur ta sale gueule de pipeuse pour qu'on voit la cochonne que tu es !
- D'abord tu nous nettoie les doigts gueule Hugo, on s'en est mangé plein dans les mains, c'est dégueulasse !
Effectivement Hugo et Rudy présentent leurs mains dégoulinantes du sperme d'Alain devant la petite gueule de Sabrina, ce qui fait bien marrer Alain.
- Désolé les gars, la prochaine fois écartez vous quand je déclencherai ma lance à incendie !
Sabrina se met à lécher les 2 mains tendues comme un bon toutou qui lape son lait. Les 2 beaux gosses bien vicieux en rajoutent en crachant des mollards dans leur main ou directement sur la langue de Sabrina. Cette dernière est à chaque fois obligée d'obéir à leur ordre d'avaler. Elle voudrait bien se prendre en plus quelques taloches mais les hommes n'ont pas envie de se salir à nouveau les mains au contact de ses joues poisseuses de sperme.
Une fois les mains masculines nettoyées, elle entreprend de bien étaler le foutre sur son visage, elle récupère le surplus étalé sur ses mains et s'en régale en bonne avaleuse de sperme qu'elle est.
Elle est tellement absorbée dans cette tâche délicieuse qu'elle ne se rend pas compte tout de suite qu'elle est désormais toute seule dans la pièce. Elle entend alors les hommes parler et rigoler dans la salle de bains.
Sabrina continue alors toute seule sa petite toilette à elle qui consiste à récupérer tout le sperme qu'elle peut sur son corps et en profite pour se doigter, lécher sa mouille et se caresser les seins. Mais sans la présence des beaux mecs, l'excitation finit par retomber et Sabrina s'éveille lentement à la réalité. La sensation de plénitude et d'être une femelle, une vraie, se sont envolées alors que c'était si bon !
- Vos bites, se met-elle à hurler, je veux vos bites dans tous mes orifices ! Je suis en manque, n'abandonnez pas votre petite chienne, finit-elle par sangloter.
Les 3 compères reviennent dans la pièce, absolument stupéfaits de voir le désespoir et la faim de sexe s'afficher sur le visage et dans les paroles de cette salope.
- Mais t'es vraiment la dernière des chiennes toi, s'exclame Rudy !
Les beaux gosses ont le membre viril qui pend désespérément et il faut que Sabrina fasse quelque chose !
- Donnez moi vos bites, je vais les faire revivre, dit-elle.
- OK, répond Rudy, mais on va t'attacher les mains dans le dos d'abord avec les menottes, ce sera plus excitant.
- Ouuuuuuuuuuiiiii, crie Sabrina, ça ça m'excite ! Et spontanément elle met ses mains dans le dos, poignets joints afin que Rudy lui fixe les menottes.
- Il y a le martinet aussi dit Alain, ça te dirait de te faire fouetter les mamelles stupide femelle masochiste ?
- Oui, vas-y et je te sucerai en même temps si tu veux, elle est trop bonne ta bite !
- C'est la mienne que tu vas sucer d'abord salope car tu es chez moi, s'exclame Rudy !
Comme il est placé dans le dos de Sabrina, il prend la laisse et tire dessus afin de cambrer la petite pute en arrière pour amener sa bouche au niveau de son sexe.
- Tu vas me sucer la tête en arrière pendant que les autres vont te fouetter la chatte et les nichons, OK les gars ? Par contre je te préviens sale pute, si tu me mords à nouveau, c'est moi qui vais te fouetter tes seins de salope et jusqu'au sang ! Compris stupide pétasse ?
- Oui, Rudy, je te mordrai pas promis. Tout ce que je veux c'est faire du bien à ta bite.
- Alors bouffe-là et fais-moi jouir Sabrina la putain !
Sur ces mots il enfourne son pénis à moitié réveillé dans la bouche avide de Sabrina qui le suce comme une morte de faim.
Alain a pris le martinet et commence à viser les 2 opulents globes de chair tendre de Sabrina.
- Bombe bien ton buste salope, ordonne t'il !
Sabrina se cambre au maximum et fait ressortir sa voluptueuse poitrine, ce qui offre une cible bien tentatrice aux deux mâles pervers qui se paluchent la bite.
Les lanières claquent sur le sein droit de Sabrina qui a un petit sursaut, ce qui met Rudy en rogne.
- Je t'ai prévenu connasse, retiens toi, t'as pas intérêt à me mordre !
Et pour corser le défi il pince le nez de Sabrina afin de lui couper la respiration.
Sous ce traitement, la petite latina se sent à nouveau femelle et soumise et commence à s'abandonner à la merveilleuse léthargie qui s'empare de son corps.
Elle sent les coups de martinet pleuvoir sur sa poitrine, assez doucement au début puis de plus en plus fort. Ses grosses mamelles se déforment sous les coups, elle les sent bouger dans tous les sens, c'est divin. Elle écarte ses cuisses au maximum afin d'en faire une cible aux coups de martinet. Elle voudrait tant sentir pleuvoir les coups sur ses chairs intimes, sur son clitoris gonflé. Hélas il n'y a qu'un seul martinet !
Quand elle se sent suffoquer, Rudy relâche sa pression sur ses narines afin qu'elle puisse respirer, il n'a sûrement pas envie de se faire mordre à nouveau !
Sabrina bave à nouveau comme une grosse cochonne sur le membre maintenant bien dur de Rudy et s'emploie à le gober entièrement, puis à le lécher sur toute la longueur. Elle prend aussi les couilles dans sa bouche pour les aspirer et les lécher, ce qui provoque d'intenses soupirs de satisfaction chez Rudy.
Elle sent des doigts commencer à jouer avec les lèvres de sa chatte et son clito. Ce doit être Hugo car elle reçoit toujours des coups de martinet sur sa poitrine qu'elle imagine lacérée. Ses seins lui envoient des palpitations de douleur et de chaleur intenses à travers tout le corps mais c'est une douleur extatique qui fait trembler tout son corps et elle ne peut retenir des gémissements de plaisir qui vont crescendo.
Les doigts sur son sexe mouillé se font plus vicieux, elle sent ses lèvres vaginales être étirées, écrasées, son clitoris martyrisé, cela lui fait produire encore plus de mouille et ce serait encore meilleur si l'énorme bite d'Alain pouvait prendre possession de son vagin brûlant. Elle ressent néanmoins une pénétration brutale de son puits intime, quelque chose d'énorme essaie de forcer le passage, ce n'est pourtant pas une bite qui peut être aussi large, même celle d'Alain !
Elle comprend d'un coup, Hugo est en train de lui fister la chatte ! Et il y va bien brutalement ! Sabrina a l'impression de sentir ses chairs intimes se déchirer, toutes les émotions se mélangent en elle et elle est foudroyée par un orgasme encore plus violent que le précédent qui l'amène au bord de l'évanouissement.
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