Un Stage Pas Si Tranquille - Deuxième Partie (Récit Véridique)
Histoire vraie :
Vous avez peut-être déjà lu le premier épisode de ce récit qui racontait mon aventure, loin dêtre anodine, pendant un stage en entreprise. Ayant oublié mon téléphone dans lentreprise, je métais obligé à y retourner, malgré un froid glacial. Une fois à la porte du bureau, javais surpris Marc, mon tuteur, en train de regarder un film pornographique tout en se masturbant. Gêné mais aussi terriblement excité par la situation, je ne savais pas quoi faire. Partir ou récupérer mon téléphone ? Javais choisi de frapper à la porte
TOC ! TOC ! TOC ! La porte sentrouvre encore plus sous mes coups. Marc me demande dattendre. Je lentends couper le son de son ordinateur et remonter son jean. Il vient mouvrir et semble surpris quand il découvre que cest moi qui ait frappé. Je lui explique que jai oublié mon téléphone et que je suis revenu le récupérer. Il me sourit et minvite à entrer. Dun coup dil furtif, japerçois la bosse de son érection.
- Je suis désolé de tavoir dérangé, lui dis-je, tu étais encore en train de bosser ?
- Non, non, me répond-t-il, la respiration saccadée. Jétais sur Internet.
- Cest ce que javais cru entendre.
Il me regarde. Je le regarde. Javais dit cela sans réfléchir. Je ne voulais pas quil sache que je lavais vu en train de se branler. Certes, pour un gay, cest excitant de voir un beau gosse se faire du bien mais il sagit, je vous le rappelle, de mon tuteur, cest-à-dire un mec avec qui je passe mes journées et pendant encore plusieurs semaines. Il rougit un peu. Et voilà, je lai mis mal à laise.
- Je lai trouvé, criais-je, brandissant mon téléphone. Bon, à demain et bonne soirée !
- Attends.
Marc me prend le bras. Oh la la, quest-ce qui va marriver ? Une remontrance du genre « Cest pas bien découter aux portes » ? Je ne dis rien et attends que ce soit lui qui parle.
- Jespère que tu nas pas trop une mauvaise image de moi après ce que tu as entendu.
- Aucun problème. Tu fais ce que tu veux dans ton bureau. Moi aussi, jai personne en ce moment donc ça marrive de mater un film de temps en temps.
Et voilà, couronnez-moi « grande gueule de lannée » ! Palme du moment gênant devant son tuteur.
- Toujours pas de petite copine ? Tes encore
- Puceau ?
- Désolé, je suis un peu trop curieux.
- Oh non, non, ça va. Pour te répondre, je suis plus puceau et je suis pas « trop » fille, si tu vois ce que je veux dire.
- Tes homo ?
- Cest ça.
- Javais pas remarqué.
- Tu sais, les gays shabillent pas tous comme Lady Gaga.
- Cest vrai, excuse-moi.
- Et toi, pourquoi tes encore célibataire ?
- Tu sais, jai pas encore trouvé la bonne fille. Je ne désespère pas.
- Pas encore puceau, jespère ?
- Oh non ! Jai déjà consommé !
- Jamais avec un mec ?
Javais envie de le titiller un peu. Je voulais détendre latmosphère et les questions posées semblaient sortir toutes seules.
- Quand jétais plus jeune, juste après une rupture, pour oublier un peu
et essayer aussi.
- Ok, ok. Après ces confidences, je vais te laisser.
- Tu veux prendre un verre ? Jhabite à deux pas.
- Toublies que je dois continuer la base de données.
- Laisse tomber, ça peut attendre demain. On pourra discuter encore un peu.
- Bon, ok. De toute façon, jai rien à faire chez moi, à part me poser devant la télé.
- Je te ramènerais chez toi. Tu seras pas obligé de prendre le tram.
Quinze minutes après, jentre dans lappartement de Marc. Spacieux, bien décoré, grande TV : tout pour passer un bon moment. Javais le sentiment davoir fait tomber une barrière avec lui, en le questionnant. Il mavait même avoué avoir eu un plan avec un mec. La soirée nétait pas finie et javais bien lintention den savoir un peu plus.
- Avec ce temps, je vais prendre une douche et on boit un coup après ?
- OK.
Une fois leau en train de couler, et enfin seul, lenvie de découvrir les lieux me prit. Après avoir visité la cuisine, le salon, je pris la direction de la chambre. Plus curieux que jamais, je me mis à inspecter son dressing. Chemises, pantalons, costumes, chaussures, chaussettes
pour enfin trouver ses boxers. Et oui, que voulez-vous, je suis homo ! En passant, jappris quil possédait de beaux boxers transparents. Avant quil ne découvre ma petite chasse, je retournai masseoir. Deux minutes après, il sortait de la salle de bains, serviette à la taille, exhibant son torse dessiné. Après mavoir jeté un regard, je compris que la soirée pouvait être plus décalée que je ne lavais imaginé
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