Leslie Hs12

Leslie HS12 – Hors-série – Suite de la soirée avec Laura, ses amies

Chez Laura, où elle avait tenue à passer la nuit, sa fille étant en week-end chez une copine, la nuit fut courte mais longue et chaude côté sexe avec Laura…
Nos bouches ont parcourues nos corps et goutés nos sexes, nos orifices ont été visités et pénétrés, Laura ayant chez elle la panoplie de la lesbienne parfaite, c’est harnachée d’un gode ceinture qu’elle m’a sodomisée avant que je la sodomise à mon tour.
C’est une furie, une assoiffée de sexe sachant autant donner que recevoir, elle a user de tout son savoir pour me laisser épuisée au petit matin, et nous nous sommes endormies l’une près de l’autre, elle tenant mon sexe dans sa main et moi la main sur sa vulve un doigt enfoncé dans son intimité moite.

Vers midi, après une douche commune et une petite collation, elle a émis le souhait de faire venir ses amies pour passer un moment de sexe à quatre et leur faire la surprise de trouver chez elle, Leslie, la transexuelle.
Comme j’étais d’accord, elle téléphona à Christine et Sylvie qui furent enchantées de se joindre à nous pour l’après-midi.

Laura, est une belle et grande brune aux cheveux courts, taillé un peu à la garçonne, à quarante-cinq ans elle à un corps superbe qu’elle entretient par le sport, mais peut-être complexée par un visage qu’elle trouve trop masculin à son goût. Divorcée, elle élève seule sa fille et habite dans mon immeuble. C’est une furie et ne se cache pas d’être une salope de première, ses aventures sont nombreuses.
Pendant que nous attendons ses amies, elle me parle d’elles :
« Christine, la brune est une bisexuelle qui ne rejette pas une belle queue de temps en temps. Elle est la plus petite du groupe, très fine en raison d’une passion avérée pour le footing qu’elle pratique régulièrement avec moi, elle a un côté de jeune fille malgré ses quarante-quatre ans. Séparée depuis dix ans de son bourgeois de mari, elle cherche à plaire aux femmes et aussi aux hommes, mais accroc au plaisir elle ne résiste pas à la tentation de se faire du bien toute seule, en disant :
- On est parfois mieux servit par soi-même !
Sylvie, la blonde est restée célibataire, à quarante ans elle est la plus jeune, préférant les aventures de passages, aimant autant les hommes que les femmes elle ne rate pas une occasion d’avoir une aventure, les cheveux mi-longs, elle porte des lunettes qui lui donne un air coquin, et elle accentue son côté sexuel par des décolletés généreux qui mettent ses seins en valeur, ne portant d’ailleurs pratiquement jamais de soutien-gorge.

Elle drague et ne déteste pas de se faire draguer, passant à l’acte plus souvent possible et se justifiant en disant :
- Je suis une femme open. »

Elles sont arrivées toutes deux excitées comme des puces et elles ont certainement attirées les regards masculins sur leur passage.
Christine, vêtue d’un dos nu révélant l’absence de soutien-gorge et d’une mini-jupe découvrant ses jambes musclées mises en valeur par des talons hauts, les mâles ont certainement regardés cette jolie femme, appréciant la fermeté de seins hauts placés bien que non soutenus.
Sylvie, elle promenant ses seins à demi découverts, pour quelques voyeurs avides de jolies poitrines
Une onde brève parcourt mon bas-ventre devant l’apparition des deux amies de Laura.
Après un café et quelques banalités, Laura dit :
- Je vous ai fait venir pour vous dire que Leslie n’est pas une femme comme les autres, elle a un petit plus très intéressant !
Et sans plus attendre elle soulève ma robe pour faire découvrir mon sexe a ses amies et aussitôt elle se penche pour démarrer une fellation.
Laura pratique l’exercice avec volupté, sa langue parcourt mon gland turgescent avant que sa bouche n’engloutisse mon sexe entièrement, Christine regarde avec intérêt en se passant la langue sur les lèvres avec un désir non dissimulé, tandis que Sylvie, la jupe retroussée est déjà en train de se caresser la vulve, la vicieuse n’a même pas de culotte !
- Eh bien, ne te gêne pas pour nous, lance Christine à Laura.
Celle-ci s’interrompt tout en continuant à me branler, pour répondre :
- Viens me rejoindre, tu verras comme c’est bon.
- Pas de problème, répond Christine.
Et se rapprochant de nous, elle se joint pour m’offrir sa bouche qui se mélange à celle de Laura.

Christine regarde et se doigte la chatte en soupirant, complètement troublée par le spectacle que nous lui offrons.
- Waouh !
S’exclame-t-elle quand Christine vient s’empalée sur mon membre et procède à de profonds mouvements de hanches en gémissant de plaisir. Christine reste fascinée, elle mate son amie en train de faire l’amour dans cette position qui lui fait manifestement un bien fou.
Elle passe ses doigts sur son clitoris érigé tout en ondulant de la croupe, puis Laura s’adresse à Sylvie et lui dit :
- Allez, viens me sucer la chatte pendant que tu te branles, après tu suceras Leslie.
Comme si cela était naturel entre elles, Laura s’allonge sur le tapis du salon, les cuisses grandes ouvertes et Sylvie vient s’installer entre elle pour la sucer avec application.

Puis Christine, peu de temps après se dégage de mon emprise et me conduit vers Sylvie pour qu’elle me suce. Christine veut se dérober, mais Christine tenant mon membre dans sa main oblige Sylvie à me prendre en bouche, en l’attrapant par les cheveux de l’autre main et la forçant à rapprocher ses lèvres de mon sexe.
La résistance est brève et Sylvie se retrouve avec dans la bouche mon gland qu’elle admirait un peu plus tôt dans l’intimité de son amie.
Elle savoure aussitôt le goût intime de Christine mélangé au goût de mon membre, elle frisonne de la fermeté de mon sexe, sa langue est adroite comme celle de Laura et tout aussi douce.
Je gémis de satisfaction et Christine voyant que Sylvie est maintenant toute à son affaire retire sa main de ses cheveux. Laura en profite pour déshabiller son amie et m’ordonne :
- Baise-la maintenant.

Sylvie pourrait se révolter, protester, manifester son refus d’une manière ou d’une autre, mais non, elle reste à genoux, cuisses ouvertes et le corps cambré, disponible, contaminée par la forte charge érotique qui règne dans le salon.
Elle est terriblement excitée, elle a toujours eu un faible pour les beaux sexes, depuis qu’elle avait été initiée par un véritable étalon qui l’avait menée à une extase inconnue pour elle, et à chaque fois elle a envie de revivre ça.
Mes doigts s’attardent sur son clitoris, investissent son intimité pendant que Laura continue son travail masturbatoire sur mon membre raide et c’est elle qui le guide vers la cible, participant ainsi activement au coït de son amie.

À ce moment, Christine ne reste pas en reste et offre sa vulve à son amie Sylvie, qui ne se faisant pas prier s’attaque à la lécher, moyennant quoi, Christine croise les jambes sur le cou de son amie pour emprisonner sa tête et l’obliger à ne pas quitter son intimité.
Guidée par Laura je m’enfonce dans l’intimité de Sylvie, et après quelques va et vient, Laura pousse sur mes fesses pour m’obliger à m’enfoncer encore plus profondément en Sylvie.
Le travail de fouille intime est commencé et Sylvie soupire entre deux coups de langue sur la chatte de Christine et elle dit :
- Mon Dieu qu’il est dur ton sexe !
Résolue et déterminée, j’entreprends un pilonnage en règle, Sylvie miaule, et pousse un petit cri quand Laura lui introduit un doigt dans l’anus, Christine en gémissant elle aussi suit avec attention la montée de l’orgasme de son amie et m’encourage :
- Vas-y, défonce-là, elle aime ça, cette cochonne.
Le rythme s’accélère, Sylvie couine de plus en plus, et elle jouit en hurlant…

À ce moment, Laura att mon sexe et le serre à la base, puis le retire du conduit bouillant de Sylvie en disant :
- J’ai toujours rêvée de regarder te faire enculer ma chérie !
Et d’un geste Laura dépose mon gland sur la rondelle de Sylvie qui tente de s’échapper de l’étreinte de Christine en disant :
- Non, il est trop gros, je n’ai pas l’habitude, non s’il te plait ma chérie…
Mais Laura reste inflexible et elle m’interpelle et m’encourage en disant :
- Allez Leslie, encule cette petite salope !
Je pousse mon membre dans la rondelle de Sylvie, son visage se crispe soudain, marquant la douleur, le gland passe et Sylvie éructe des mots grossiers.
- A mes salopes, vous n’êtes plus mes amies, ohhh, je suis défoncée…
Je la pistonne pendant un long moment sous les yeux de Laura, la rondelle de Sylvie est maintenant distendue et les cris ont fait place aux gémissements, alors je me laisse aller et libère ma semence dans les entrailles de Sylvie, qui s’effondre en hurlant de bonheur.
- Tu vois ta pris ton pied, dit Laura.
- Oui mais mon petit cul est douloureux…
- Allez vient je vais te soigner ça !
Laura et Sylvie sont passées sous la douche, Christine me regarde et je lui dis :
- Vous êtes trois belles salopes, dis-je à Christine.
- Oui d’ailleurs ce soir je viendrais chez toi pour te le prouver !

Il est dix-sept heures lorsque je quitte mes belles, impatiente de retrouver Christine…

A suivre…