Découverte De Soi (2)
Un an...
Je continuais à travailler avec celui qui mavait initié et cela faisait un an que nous navions pas recommencé. Nous continuâmes à échanger des mails chauds mais nous ne pouvions pas nous voir en dehors.
Lui continuait de voir ses amis et moi, impossible de me libérer. Je vivais ses ébats par procuration.
Il mavait dit que ses amis se rappelaient encore de moi et me reverraient volontiers. Puis enfin après un an, loccasion se représenta.
Lui se retrouvait seul et moi aussi. Lorsquil men parla, je ne pus quaccepter.
Javais envie dêtre désiré par des hommes. Ce désir animal, impérieux.
Il me dit avoir tout préparer et que ses amis seraient là aussi. Rien que cela mélectrisait mais me faisait à nouveau peur.
Lorsque jarrivais chez lui vers les 17 heures, il mexpliqua ce quil avait manigancé.
Jallais leur servir lapéritif vêtu dune tunique longue, ressemblant à une tenue romaine. Sans rien dessous.
Rien quà voir cette jupette, je sentais déjà les mains se glissaient dessous. Javais envie de la mettre mais en même temps la honte me tiraillait.
Pendant quil descendit finir les préparatifs, jenfilais la tunique et posais le bandeau dans mes cheveux. Je le rejoignis ensuite.
Timidement, frissonnant comme sil faisait froid, javançais vers lui. Son regard fut ma récompense. Jy lu lenvie et cela me redonna mes forces.
Là, maintenant, je voulais un avant-goût. Un an dattente et jétais près de lui, une simple tunique sur le corps.
Je me plaqua rapidement contre lui, dos à lui. Il membrassa le cou et ses mains descendirent sur mon bassin puis vers mon entre-jambe.
Délicieux, jen écartais déjà les jambes pour quil puisse me caresser. Il joua avec la jupette sans jamais toucher ma peau.
Brulant, je dû prendre une de ses mains et la passer sous la jupe. Le contact délicieux de sa main remontant vers mes bourses et mon sexe.
Le désir était là, puissant.
A 18h les invités arrivèrent. Surpris, nous fûmes 8 au total. Heureusement, un autre des invités enfila la même tenu que moi.
Très vite mon ami nous conduisit dans la cuisine pour le service. Il mexpliqua alors que nous serions à leurs ordres lors du service.
Le cur battant, je revenais au salon avec mon nouvel « associé », portant lalcool et les verres. Les six hommes étaient répartis sur 3 fauteuils et le canapé.
Ils discutaient de tout et de rien pendant le service mais quelques mains se posaient négligemment sur nous. Je sursautais quasiment à chaque fois.
Mon ami me prit alors sur ses genoux et me dit juste de regarder.
Je vis alors lautre jeune homme être attiré vers un fauteuil, sur les genoux dun invité. Deux autres hommes vinrent rejoindre le couple et commencèrent à soccuper de lui.
Les mains avides passèrent sur son corps et sa jupe fut vite relevée. Jassistais à cela le cur battant.
Jentendis à loreille : regarde bien, après cest toi.
Je compris alors toute la chose, jallais assister à ce qui allait marriver. Le feu menvahit, mon sexe se tendit.
Lun des hommes masturbait le jeune pendant que lautre lui caressait les cuisses. Celui qui était sous lui continuait de lembrasser, remontant ses bras vers le haut.
Je le voyais, soffrir à eux comme jallais le faire.
Un des invités se redressa et présenta son sexe à la bouche du jeune home qui commença à le sucer doucement, tendrement. Tout dabord le gland, puis la hampe, de plus en plus profond et goulûment.
Jentendis le bruit de succion.
Puis lhomme entre les cuisses du jeune sorti son sexe, récolta le liquide qui en suintait déjà, y ajouta celui des autres.
Comme sil avait compris, le jeune souvrit, bascula son bassin et lautre pu caresser son anus. Lui étalant le liquide poisseux et lubrifiant.
Il répéta cela plusieurs fois puis frotta son gland et sa tige dans cette raie offerte.
Mon ami me demanda alors daller tenir la queue afin quelle passe bien dans ce cul. Affolé, jobéis et je pu alors être au première loge lorsque le gland força le passage doucement, lorsque lanus céda et souvrit.
Peu à peu, le sexe fut engloutit dans ce trou, je reculais légèrement, complètement hypnotisé.
Le jeune homme était là, offert, suçant et se faisant défoncé.
Cela dura une ou deux minutes et linvité explosa dans le cul. Il se retira et pris la place de celui sur le canapé. Ils échangèrent. Le sexe du nouveau conquérant étant assez gros et il se lubrifia lui aussi avant de refaire la même chose. Je fus obligé de laccompagner également.
Là encore lanus céda et le sexe entra complètement. Le jeune homme masturbé, ne put tenir plus longtemps et je dus gober son gland pour attendre son sperme.
A peine posais-je mes lèvres sur sa queue quil menvoya son sperme dans la bouche.
Plein de sperme, je suçais sa queue doucement, ne gênant pas la fin de la sodomie qui ne tarda pas à venir. Lhomme se tendit, souffla, accéléra puis sarrêta.
Il me demanda de venir voir et je pu voir son sexe sortir, laissant un anus dilaté.
Il était là, offert, le cul ouvert, devant ces hommes lubriques. Jallais ressembler à cela. Cétait le message.
Je sentis alors que lon me tirait en arrière, vers un fauteuil où était assis mon ami.
Cétait à moi ! à moi !
Ouvert, offert. Je nosais pas les regarder. Quelle image allais-je donner.
Il ne me laissèrent pas le temps de réfléchir. Je fus envahi par ces mains, caressé, embrassé, masturbé.
Lun deux me suça le cul, membrassa le trou en relevant mes cuisses.
Une queue se présenta, je lattrapa puis la suçota, mappliquant. Puis je goba tout ce que je pus.
Mon cul fut lubrifié et je sentis des doigts me fouiller. Des mains maintenaient mes jambes écartaient.
Une queue finit par se poser sur ma raie et se frotter.
Puis le gland vint butter sur mon trou, conquérant. On prit ma main pour la posé sur cette queue, de façon à la guider, la tenir pendant quelle allait entrer.
Je la sentis pousser, gluante. Puis dun coup mon anus céda et son sexe menvahit. Plus de résistance, il était dedans.
Ma main fut plaquée entre son bassin et mes fesses. Cela faisait longtemps que jen avais envie.
Javais légèrement arrêté ma pipe mais je la repris de plus belle tandis que lautre faisait des vas et vient lent mais puissant.
Je me masturbais en même temps, doucement. Me laissant dans lextase, le sexe douloureux.
Après avoir jouis en moi rapidement, lhomme fut remplacé par un autre et je pu à nouveau sentir mon cul céder. Ce fut plus facile.
Je pris également une giclée dans ma bouche, que javala/bava à moitié.
Je me retrouva sans queue à sucer. Mon ami me força à regarder autour.
4 hommes étaient là, lun deux planté dans mon cul. Ils me regardaient, assis sur mon ami, le bassin relevé, en train de me faire enculer.
Ouvert et exhibé, soumis à leurs envies.
Lhomme sortit son sexe et montra mon anus. Je ne pouvais le voir mais je me rappelais bien du spectacle.
Honteux, je voulu cacher cela de mes mains mais mes cuisses étaient bien tenues et mon ami mattrapa doucement mes mains et les releva.
Il me dit que cétait beau, il fallait laisser montrer cela.
Lhomme revint doucement puis ce fut flou. Je devins lubrique.
Javalais les queues par mes deux trous, je me livrais sans retenues à eux.
Je fus autoriser à jouir au dernier à me pénétrer. Ce fut bon. Mon ami me masturbait.
Lhomme me sentit jouir lorsque mon anus suivit mes contractions.
Lorsque je sorti du canapé, javais les jambes flageolantes. Puis je sentis mes fesses gluantes. Jétais nu au milieu deux.
Mon ami navait pas pu prendre part à tout cela, étant sous moi.
Pendant que tout le monde reprenait lappéritif, je dus me poser sur lui, mes jambes sur les accoudoirs. Face à tout le monde, nu, je pris son sexe et le guida dans mon cul.
Je fus prit là, en plein apéritif, devant tous. Et jétais rouge de honte au début puis le plaisir venant, je finis par onduler, monter et descendre sur sa queue.
Je me cambrais en avant, mordillant ma lèvre. Parfois les yeux fermés, la bouche ouverte.
Je me permis même quelques petits gémissements (les yeux fermés, pour ne pas les voir). Très vite ma bouche fut remplie par une queue bien raide.
Cétait grivois, mon ami na pas mis longtemps à venir. Moi non plus.
Je finis également ma pipe en masturbant lhomme et collant son sperme sur ma langue.
Jétais heureux davoir pu exciter cet homme.
La fin de lapéro fut avec une queue dans le cul, jusquà ce quelle soit trop molle pour tenir.
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