Madame L, Ma Prof De Sport
Ca y est, cest lheure du cours dEPS (Education Physique et Sportive). Bref, cest le cours de sport mais cest mieux de dire EPS. Quest-ce que jai horreur de faire du sport ! 2h le mardi matin et 1h (en dernière heure) le jeudi. Ca ménerve de courir comme un demeuré autour dun stade pendant 2h par -5°. Et ensuite il faut enchaîner avec une interro de math ??? Génial, au bout de 200m jai envie de vomir et tout le reste de la journée je sens la transpiration. Cest Madame L qui nous fait cours. Elle est plutôt jolie à regarder avec son 1m70 et ses cheveux bruns coupés au carré. Elle na pas une grosse poitrine mais ses fesses sont bien dessinées dans son jogging. Nempêche que cest un tyran du chronomètre et quavec elle il faut toujours aller plus vite. Cerise sur le gâteau elle nous demande de tout ranger quand on fait de la gym. Les autres classes ont sorti tout un tas de matériel pendant la journée et cest nous qui devons tout ranger car cest le dernier cours de la journée. Chaque jeudi elle tire au sort un élève pour laider à ranger. Avec les copains on plaisante un peu à son sujet :
« Chiche de lui mettre une main aux fesses pendant le rangement »
« Tu ne voudrais pas faire quelques galipettes supplémentaires après le cours ? »
« Et si on simulait un malaise pour quelle nous fasse du bouche-à-bouche ? »
Vous voyez le genre de plans quon se monte entre potes. Nous avions les hormones en ébullition et peur de rien mais avec du recul je me rends compte que nous avions beaucoup de gueule et peu de courage. Nous étions tiraillés entre lenvie de tenter quelquechose avec Madame L et la peur de nous faire rembarrer.
Cette fois-ci cest un copain qui a la chance de tout ranger avec Madame L. A peine arrivés le lendemain matin les questions fusent de toutes parts pour savoir ce qui sest passé la veille. Il joue le fanfaron et il essaye de nous mener en bateau en nous faisant croire quil la embrassée mais rapidement nous nous rendons compte que cest du vent.
Plusieurs semaines passent jusquà ce fameux jeudi où les copains ont le présentiment que cest moi qui vais devoir tout ranger. Je vois leur petit manège qui consiste à sortir des tonnes de tapis et daccessoires en tout genre. Les enfoirés, ils mettent un maximum de bazar juste pour memmerder ! Et ça ne rate pas, à la fin du cours Madame L me désigne pour laider à ranger. Mes potes sont morts de rire et ils partent en me faisant des clins dil et bon nombre de gestes équivoques. Je commence le rangement en allant chercher un gros chariot qui va nous servir à transporter les petits tapis mais qui sont super lourds. Ils font 5 ou 6 cm dépaisseur et on dirait quils sont en gomme. Il faut être 2 pour les déplacer et il y en a une bonne vingtaine. Au début cest facile mais au fur et à mesure quon les empile sur le chariot il faut les lever plus haut. Le chariot est garé dans un coin puis on sattaque aux agrès ; barres asymétriques, barres parallèles et poutre que lon déplace facilement grâce à des roulettes. Jen profite pour mater Madame L dès que je peux. Elle coince son tee-shirt ce qui a pour effet de tendre le tissu ; moulant ainsi sa poitrine. Un peu après elle me tourne le dos et elle se penche me laissant une vue magnifique sur ses fesses. Olala, elle porte un string ! Jai comme des bouffées de chaleur, je ne sais pas si cest dû au rangement intensif ou à lexcitation. Toujours est-il que je la mate de plus en plus souvent et de moins en moins discrètement ce qui me provoque une érection difficile à cacher. Les gros tapis Dima vont rejoindre le reste des équipements dans la réserve et nous quittons la pièce.
« Oh non » dit Madame L en arrivant sur le terrain principal du gymnase. « Ils nont pas rangé les poteaux de volley. Tu maides à les ranger ? A deux ça ira vite. »
« Bah
daccord »
Cinq minutes plus tard tout est rangé et je me dirige vers les vestiaires pour me changer. Madame L me suit dans le couloir :
« Merci pour le rangement »
« De rien, cest normal.
« Dhabitude tes camarades râlent. »
« Cest vrai que cest un peu pénible de ranger les affaires des autres. »
Jallais entrer dans le vestiaire quand :
« Euh
encore une chose. »
« Oui. Quoi ? »
«
non
rien laisse tomber. »
« Bah si dites moi. Vous en avez trop dit ou pas assez. »
«
Tu pourrais être plus discret quand tu me mates. »
« Ah
euh
» et dans un éclair de folie je lâche « cest que votre string fait super bien ressortir vos fesses. »
Je ne comprends pas ce qui se passe mais nos regards se croisent et il y a comme une sorte de compréhension mutuelle. Elle me pousse à lintérieur du vestiaire. La porte ne sest même pas encore refermée que Madame L est déjà en train de membrasser. Je suis en panique mais en même temps jaime ça. Sa langue vient fouiller dans ma bouche pendant que je me pose des questions débiles mais comment faire pour respirer ? Pourvu que je ne cogne pas ses dents jespère que ma salive ne va pas dégouliner partout
Moi aussi je joue avec ma langue dans sa bouche. Mes mains ne sont pas en reste et viennent se plaquer sur ses fesses. Cest confirmé, elle porte un string. Je tire dessus mais Madame L grogne et sécarte de moi.
« Ne tire pas dessus, ça fait mal. Enlève-le »
Je descends donc son jogging me trouvant nez-à-nez avec un joli string à fleurs roses. Je le descends à son tour pour découvrir le sexe de Madame L. Un magnifique triangle de poils sombres coupés courts. Je suis à genoux par terre, elle relève une jambe pour enlever son jogging ce qui entrouvre sa chatte me laissant une vue imprenable sur son intimité. Je ne réfléchis pas et je plonge la tête vers son entre-cuisse. Jai une expérience sexuelle proche de zéro alors je fais nimporte quoi avec ma langue mais elle a lair dapprécier car je sens sa chatte changer de goût. Elle sallonge sur un banc et elle me demande de continuer à la lécher. Elle mindique les mouvements à faire et la pression à donner en appuyant sur ma tête.
« Viens en moi » me souffle-telle.
Il me faut à peine une seconde pour descendre mon short et mon caleçon. Je me redresse et je présente mon sexe à lentrée de son vagin. Je pousse tranquillement pour entrer en elle. Je ne rencontre aucune difficulté tellement elle est mouillée. Quelle sensation de sentir son sexe entourer le mien dans une sorte de chaleur humide. Ma verge commence à faire des pulsations.
« Non, pas encore » me dit-elle. « Encore un peu »
Mais cest trop dexcitation pour moi et jéjacule en elle dans un râle que jessaye d. Jai les jambes coupées et mon érection diminue légèrement. Je me retire et je massoit sur le banc à côté de Madame L. Elle membrasse tendrement.
« Pas trop mal pour une première fois. »
« Ca ne vous a pas plu ? »
« Jai eu du plaisir mais pas dorgasme. »
«
zut. Je suis si mauvais que ça ? »
« Pour un début ce nest pas trop mal. On fera mieux la prochaine fois
Allez, à la douche. »
Je me savonne sous le jet deau chaude en pensant à tout ce qui vient de se passer et en imaginant tout ce qui pourrait se produire dans un avenir proche. Madame L prend le jet juste à côté de moi dans les douches communes. Mon érection revient à toute allure et je mapproche delle pour la savonner. Je passe mes mains sur son corps, mon sexe bien dur vient pointer contre son ventre.
« Tss, tsss cest tout pour aujourdhui » me dit-elle en prenant ma verge à pleine main et en me masturbant. Elle membrasse, finit de se rincer puis séloigne pour aller se sécher. Je reste sous leau, tout pensif, je sors de ma torpeur quand je la vois mettre son pantalon. Vite, il faut que je mhabille moi aussi. Quand je sors du vestiaire elle a disparu. De toute façon quaurais-je fais ?
Le lendemain matin cest le feu de questions des copains. Je leur raconte tout mais ils ne me croient pas (ce qui nest pas plus mal dailleurs).
Enfin voilà lheure de sport tant attendue. Je me remets un coup de déo avant le cours ce qui me vaut un regard interrogateur dun camarade. Je lui donne une vague explication sur la transpiration que me provoque la gym. Que cette heure fût longue, je navais quune hâte : me retrouver seul avec Madame L. Elle maidait à faire une figure improbable à mes yeux et elle en profitant pour me dire rapidement de lattendre dehors le temps quelle fasse faire le rangement à quelquun dautre. Ca paraîtrait louche que je sois de corvée toutes les semaines. Je traîne dans le vestiaire pour sortit bon dernier et aller me planquer derrière un buisson. Lheureux élu de corvée de rangement sort enfin en courant. Sil savait ce quil rate ! Dès quil a passé le coin du bâtiment jentre et je tombe sur Madame L qui mattend dans le couloir.
« Suis-moi. Allons dans le vestiaire des profs. »
Jai déjà une érection terrible, presque douloureuse. Elle me précède, je suis à peine entré quelle vient écraser sa bouche sur la mienne. Cest un baiser énergique avec nos langues tournoyant dans tous les sens.
« Je veux sentir ta langue sur moi » dit-elle en enlevant son tee-shirt et son soutien-gorge. Je lèche ces tétons qui soffrent à moi. Je les mordille, je les aspire, je les tète, je les pince. Mes mains descendent sur ses fesses où elles rencontrent une fois de plus un string. Je glisse mes doigts sous ses vêtements et jécarte les derniers bouts de tissus me cachant ce sexe tant convoité. Ma bouche descend sur son ventre, jeffleure sa peau du bout des lèvres jusquà son sexe. Ma langue entre en contact avec ses poils, je tourne autour de lentrée passant dune cuisse à lautre. Finalement je pose ma langue sur ses lèvres entrouvertes pour goûter à son intimité. Je joue avec son clitoris, jentre ma langue en elle jusquà ce que je la sente onduler sous mes caresse buccales. Elle se met à quatre pattes sur le banc ne me laissant aucun doute sur ce que je dois faire. Je présente mon sexe derrière elle et je la pénètre centimètre par centimètre. Jentre en elle de toute la longueur de mon sexe bandé au maximum, je fais des va-et-vients plus ou moins rapides et cest dans un rythme endiablé que nous finissons cette levrette quelques minutes plus tard.
Nous prenons notre douche ensemble puis nous nous séparons en nous donnant rendez-vous le jeudi suivant.
Cest ainsi que jai passé une année de sport formidable, attendant impatiemment le jeudi. Mes copains se posaient des questions et une fois nous avons failli nous faire surprendre mais cela ajoutait du piment à nos ébats. Cest avec une grande tristesse que jai vu les grandes vacances arriver car je savais que cela mettrait un terme à tous ces bons moments.
Seulement dans tes rêves.
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