Un Stage Pas Si Tranquille - Quatrième Partie (Récit Véridique)
Suite des trois premiers récits.
Oubliant que mon tuteur était à côté de moi, je commençais à me caresser doucement. Excité par le film mais surtout par le fait quun mec que je côtoyais tous les jours soit nu, en pleine érection, à côté de moi.
Je sentais son regard sur moi, sur ma main qui parcourait mon sexe, à présent dressé.
- Tu peux enlever ton boxer, si tu veux.
Je ne me fis pas prier et le laissa tomber jusquà mes pieds. De ma main droite, jencerclais mon sexe et commençais à me masturber doucement. Encore plus excité par la situation exceptionnelle que jétais en train de vivre, mon sexe était plus dur que ce que javais connu avant. Je remontais ma main sur ma verge de plus en plus vite, jouir nétait plus que ma seule envie.
A son tour, Marc enleva son caleçon et son t-shirt. A présent, il était totalement nu. Son sexe était de taille moyenne, peut-être 15 ou 16 cm, non circoncis, entouré dun duvet de poils, apparemment tondus. Son prépuce laissait apercevoir un gland de grosse taille, un morceau délicieux à dévorer, je nen doutais pas. Ses testicules étaient lourdes, chargées de foutre, prêtes à craquer. Emporté par le moment, jenlevai le reste de mes vêtements. Attiré par le membre de Marc, je commençais à le branler. Dans mon poing, je tenais le sexe chaud dun homme sur lequel javais fantasmé. Javais imaginé la taille de sa queue, de son gland, de ses couilles tant de fois.
- Suce-moi, me dit-il.
Jaimais son ton directeur. Il redevenait mon tuteur, mon patron et cela me faisait mouiller encore plus. Je ne me fis pas prier et me plaça entre ses cuisses. Face à moi, ce beau gosse avait les jambes écartées, les couilles pendantes, le sexe dressé. Et il me demandait de le satisfaire. Impatient, et désirant contrôler la situation, Marc me prit la tête et la dirigea vers sa queue. Ma bouche happa sa queue. Elle était si dure, si humide. Jenroulais ma langue autour de son gland.
- Quelle salope de stagiaire ! ricana-t-il.
Il me regardait avaler son chibre, gober ses couilles, salivait sur son gland. Jaimais voir son prépuce remonter pour couvrir son énorme gland. Je mordillais cette petite peau avec vigueur, plantait mes dents pour le faire réagir. Je voulais quil voie que je nétais pas quun jeune stagiaire. Je voulais quil sente que je pouvais lui apporter plus, quon pouvait rire, boire et même jouir ensemble.
- Je vais gicler !
Sentant lexplosion imminente, je sortis le sexe de ma bouche et prit toute sa semence, épaisse et onctueuse, sur le visage. Je sentais le foutre dégoulinait de mes joues pour sarrêter sur mes lèvres. Jadorais lodeur de son sperme, la part la plus intime de son corps. Dun doigt, il effleura mon visage pour y collecter quelques gouttes et me le fit lécher. Il sétait abandonné à moi. Totalement.
Marc mavait demandé de rester avec lui. Je luis avait offert mon cul et avait aimé sentir son sexe sagiter à lintérieur de moi. Javais aimé entendre le claquement de ses couilles contre ma rondelle. Plus tard, il mavait complimenté. Maintenant, il ne me voyait plus comme le jeune gars qui était venu taper à sa porte pour un stage. Jétais devenu un confident, sa « coquine de stagiaire » quil aimait admirer en pleine fellation, sous le bureau, au téléphone... Et, au fond, javais la sensation davoir gagné quelque chose.
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