Sauna Avorté
Sauna avorté :
J'ai passé une semaine pourrie au boulot. Je décide de me relaxer le vendredi soir et de faire un tour dans un sauna, un sauna pour homme. J'ai moins de 30 ans, je sais que dans ce genre de lieux, ce n'est pas chose fréquente et j'ai donc à chaque fois pu trouver de quoi me satisfaire sans problèmes. D'autant plus que je ne suis pas difficile et que j'ai un goût prononcé pour les hommes d'un certain âge, virils et décidés.
J'arrive donc à proximité d'un sauna parisien en début de soirée. Je me laisse le temps de prendre la température de la nuit, en fumant une cigarette à quelques mètres de l'entrée, scrutant les allers et venues pour essayer de repérer d'autres clients de ce lieu de perdition. La rue est assez passante et beaucoup de magasins se trouvent autour de l'entrée du sauna, ce qui fait que toutes les personnes présentes ne sont pas ment des clients.
Un homme s'approche de moi et me demande du feu. Je lui tends mon briquet et alors qu'il allume sa cigarette, j'entends la porte du sauna s'ouvrir pour laisser sortir un homme, cheveux humides. Je prends le temps de le regarder un peu. Alors que l'autre fumeur me rend mon briquet, je remarque que celui ci à un sourire en coin. Il me demande si je sais ce qu'il y a derrière cette porte. Devant ma réponse positive, il m'explique que lui aussi se rend au sauna. Il me propose que l'on économise chacun nos sous et m'invite à passer chez lui pour se relaxer.
Je détaille un instant l'homme. La cinquantaine tassée, mais d'allure sportive, 1m75, les cheveux grisonnants et un sourire sympathique. Je décide d'accepter sa proposition. Il se prénomme Daniel et habite à 10 minutes à pieds. Il m'explique qu'il avait rendez vous avec un ami, Gilles, et qu'ils devaient passer la soirée ensemble au sauna. Il doit l'appeler pour annuler et me propose que celui ci se joigne à nous. J'accepte également cette proposition et Daniel passe un coup de fil à Gilles pour que celui ci nous rejoigne directement chez lui.
Alors que nous marchons côte à côte, il me questionne sur mes préférences et orientations. Je suis bi et en couple avec une femme, mais j'aime faire des rencontre avec des hommes plus âgés. Je suis plutôt passif et aime être accompagné, voire dirigé, pendant l'acte. Daniel m'explique que lui est actif ou passif en fonction de son humeur du moment et de son partenaire, mais que Gilles, lui, n'est quasiment qu'actif et à tempérament dominateur.
Arrivés chez Daniel, un homme attend au pied de l'immeuble. Il est dans la même tranche d'âge que Daniel, un peu plus grand, environ 1.80m, et également plus costaud. Une fois les présentations faites, je remarque le petit clin d'oeil coquin de Gilles vers Daniel. Celui-ci habite au 3ème étage.
Nous entrons dans un minuscule ascenseur parisien et nos corps se rapprochent. Daniel me dit qu'il me trouve très mignon et pour me le prouver, il s'approche de moi et m'embrasse. Je réponds à son baiser alors que nous montons et embrasse par la même occasion Gilles.
Nous entrons finalement chez Daniel. Son appartement est assez grand et décoré de façon moderne. Il nous propose de nous installer sur le canapé, le temps de boire un verre et nous sert trois whiskys.
Je suis assis entre les deux hommes. La discussion tourne évidemment rapidement sur le sujet du sexe. Gilles veut connaitre mes préférences et semble ravi quand je lui dis que je suis passif et aimant les hommes directifs.
Il m'att la tête et m'embrasse de nouveau. Son baiser est plus appuyé que celui de l'ascenseur. Je sens sa langue qui tourne et fouille ma bouche. Pendant ce temps, je sens les mains de Daniel qui me caressent les cuisses et remontent vers mon sexe. Celui-ci durcit rapidement et Daniel le flatte doucement à travers mon pantalon. Je me retourne pour l'embrasser également et c'est cette fois Gilles qui me caresse, déboutonnant, lui, mon pantalon pour attr mon sexe. Tout en me masturbant, il sort son sexe et pose ma main dessus.
Je reste un instant nu, entre les deux quinquagénaires qui m'enivrent de caresses sur tout le corps. La température monte entre nous et Daniel nous propose d'aller prendre une petite douche avant de continuer nos ébats.
Je pénètre dans la cabine de douche, encadré par les deux hommes. Ses dimensions sont tellement réduites que nous sommes obligés de nous frôler à chaque mouvement. Daniel fait couler l'eau et chacun commence à se savonner sagement de son côté. En rigolant, Gilles suggère que la cabine est tellement petite qu'on pourrait se nettoyer sans les mains, rien qu'en se frottant les uns les autres. Joignant le geste à la parole, il se rapproche de moi et frotte son torse contre mon dos. Daniel n'est pas en reste et colle lui aussi son torse contre le mien. Nous étalons le savon entre nous en faisant d'amples mouvements, tel un langoureux slow à trois corps.
Rapidement, ce petit jeu nous échauffe. Je sens lentement mais sûrement Gilles durcir derrière moi. Il s'écarte un instant et se repositionne, son sexe dressé entre mes fesses. Je sens le sexe de Daniel contre mon ventre prendre de l'ampleur, juste à coté du mien.
Nos mouvements se coordonnent. Dans mon dos, Gilles va et vient entre mes fesses. Au même rythme, mon sexe frotte celui de Daniel, entre nos corps. Plus personne ne parle. Les respirations se font plus profondes. Daniel s'approche et m'embrasse, alors que Gilles lui lèche le cou. Je penche la tête en arrière pour l'embrasser également. Gilles enfonce sa langue dans ma bouche, ses mains remontent sur mes tétons pour les caresser.
J'accepte son intromission et suce délicatement ce doux corps étranger. Devant moi, Daniel s'est mis à genoux et me prend délicatement en bouche. D'une main, il parcourt ma tige au rythme de sa bouche, alors que de l'autre, il me caresse les cuisses.
Daniel me suce doucement, il prend le temps de savourer, sa fellation n'a pas pour objectif de me faire jouir mais de me faire monter lentement au summum du plaisir et de l'excitation. Gille s'écarte un peu de moi. L'une de ses mains s'insinue entre mes fesses et il entame un doux massage de ma corolle. Je passe une main dans
le dos, pour attr son sexe que je caresse en me calant sur le rythme de la fellation de Daniel. Petit à petit, je m'ouvre et Gilles enfonce un puis deux doigts dans mon intimité. Au même moment, Daniel enfonce mon sexe au plus profond de sa gorge.
Je ne peux retenir un soupir de plaisir lorsque je sens son nez appuyer mon pubis et mon gland frotter le fond de sa bouche. Les deux hommes accélèrent le rythme, l'un sur mon sexe, l'autre dans mes fesses. Des
vagues de plaisir montent en moi. Je ne veux pas jouir, pas maintenant, et je me recule. Daniel se redresse et m'embrasse à pleine bouche. Je m'échappe de l'étreinte des deux hommes et tombe à mon tour à genoux.
Je reste un court instant sans bouger, observant leurs deux sexes que j'ai devant moi. Ils sont assez similaires, de l'ordre de la quinzaine de centimètres, et parfaitement épilés. Si Gilles a la colonne complètement lisse et le gland bien décalotté, Daniel l'a un peu recouvert, et d'épaisses veines parcourent son membre.
J'att les deux entre mes mains et les masturbe doucement, lentement, très lentement. Je vois dans leur regard qu'ils sont en attente de plus, mais je prends plaisir à les faire mariner ainsi. C'est Gilles qui craque le premier. Il pose sa main sur l'arrière de mon crâne et approche son bassin de mon visage. J'ouvre la bouche
pour goûter mon premier amant. Sa peau est incroyablement douce et je déguste son sexe sur toute sa longueur.
Je dois malheureusement l'abandonner pour prendre maintenant soin de Daniel qui attend patiemment son tour.
De mes mains, je rapproche leurs bassins jusqu'à ce que leurs sexes se touchent. Leurs deux glands sont en contact et je les lèche, comme un cornet de glace, passant mes mains entre leurs deux paires de fesses. Daniel avait coupé l'eau. Les bruits de succion de ma bouche sur leurs sexes et celui de leurs embrassades résonnent dans l'étroite cabine.
Je reprends en bouche leurs sexes un par un pour les déguster à nouveau. Je les enfonce au plus profondément,
comme Daniel l'a fait pour moi précédemment. Mes deux amants gémissent de plus en plus. Ils sont sur des charbons ardents et je sens leurs corps se tendre au fur et à mesure. C'est Daniel qui siffle la fin de la première mi-temps en nous proposant de continuer nos ébats dans sa chambre.
Nous entrons à la queue-leu-leu dans la chambre de Daniel, les sexes fièrement dressés. Elle est décorée sobrement mais avec goût. Un grand lit occupe la plus grande partie de la pièce, qui comporte par ailleurs plusieurs armoires dont les portes sont équipées de miroirs.
Gilles le premier s'assied sur le lit, les jambes bien écartées. Daniel tombe instantanément à genoux et plonge entre les cuisses de son compère pour avaler son sexe. Je reste quelques instants debout à les contempler, caressant le crâne et le dos de Daniel pour l'encourager dans son oeuvre.
Je m'accroupis et passe une main entre ses jambes, sous ses fesses, pour attr son sexe. Toujours au garde à vous, il palpite lorsque je le prends en main pour parcourir sa tige veinée. De mon autre main, je caresse ses testicules, aventurant par moment un doigt dans son anus. Celui-ci, souple et entrainé, accepte sans soucis mon indiscrétion, à ma grande joie ainsi quà celle de son propriétaire.
Je continue un moment à faire du bien à Daniel, pendant que celui ci se régale de Gilles. Puis je me redresse et pose un pied sur le lit. Impudiquement, je secoue mon sexe devant le nez de Gilles qui l'att à la volée pour l'avaler sans autre forme de procès. Bien que plutôt actif, sa technique est on ne peut plus délicieuse, quoi que plus vigoureuse que celle de son ami.
C'est avec une certaine force qu'il aspire sur mon gland, l'une se ses mains enserrant mes testicules. Je ferme les yeux quelques instants pour savourer son expérience lorsque je sens le souffle chaud de Daniel contre mes fesses. Il les couvre de baisers avant de me caresser la corolle de son impudique langue.
La position dans laquelle nous nous trouvons n'est pas vraiment pratique. Gilles se recule pour s'allonger sur le lit. Je monte à quatre pattes sur le matelas, pour reprendre son sexe en bouche. Derrière moi, je sens Daniel écarter mes globes pour me lécher délicieusement la rondelle. Il s'absente un instant, ouvre le tiroir de sa table de chevet et en sort des préservatifs ainsi que du lubrifiant, qu'il jette négligemment sur le lit après s'en être badigeonné deux doigts.
Bien aidé par la préparation, je n'ai aucun souci pour les accueillir en moi. Satisfait, Daniel se couvre et
d'un mouvement lent mais résolu, enfonce son sexe au plus profond de ma personne. Je dois relâcher ma sucette pour grogner de douleur alors que je sens son ventre cogner contre mes fesses. La pénétration, bien que préparée, a été brève et virile.
Daniel entame des mouvements lents et de faible amplitude, restant au plus profond pour que je m'habitue à lui. La douleur fait place à la gène, qui fait rapidement place à du plaisir. Gilles interprète parfaitement les changements de tonalité dans mes soupirs, et alors que je retrouve le plaisir, il m'att la tête d'une main et de l'autre m'enfonce sans ménagement son sexe dans la bouche.
Je m'abandonne complètement entre les mains de mes amants, les laissant m'utiliser pour leur plaisir et le mien.
Daniel sort de moi et me bascule sur le dos. Il me redresse les cuisses, plaçant mes genoux contre ma
poitrine, et s'enfonce de nouveau en moi. Gilles se place à genoux au dessus de mon torse et remet son sexe dans ma gorge. Je ne peux plus bouger, emprisonné par mes tortionnaires amoureux.
Daniel m'encule maintenant sans ménagements et m'assène ses coups de boutoir, alors que Gilles à pris possession de ma bouche et ne me laisse pas plus de répit. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je commence néanmoins à fatiguer. Gilles le sent et s'écarte pour me laisser respirer. Pour se faire pardonner, il descend entre mes cuisses et me prends en bouche, alors que Daniel, lui, continue de me sodomiser. Finalement Gilles se redresse et se met à mordiller les tétons de Daniel.
De mon côté, mes mains de nouveau libres, j'att ses testicules pour encourager son mouvement. Cen est trop pour notre hôte qui dans un râle, s'enfonce au plus profond de moi pour jouir en gémissant. Tendrement, Gilles et moi le caressons, torse et testicules, afin d'accompagner sa redescente.
Daniel sort de moi et s'allonge sur le lit pour reprendre son souffle. Sans plus attendre, Gilles s'empare d'un préservatif et s'équipe, avant de s'enfoncer dans mon trou laissé béant. Au bout de quelques allers retour, il me fait me replacer à quatre pattes pour me reprendre en levrette. Son rythme est sec et rapide.
Il m'att les épaules pour me redresser contre lui. Il passe un bras sous le mien pour me soutenir et place sa main contre ma gorge. De son autre main, il att mon sexe et me masturbe au rythme de ses va-et-vient. Gilles est beaucoup plus bestial que Daniel, ce qui n'est pas pour me déplaire. L'équilibre de la position est précaire, et sous ses assauts, nous avançons de plus en plus jusqu'à ce que je parvienne à prendre appui contre le mur, nous stabilisant ainsi.
Daniel, s'approche de nous, passe sous mon corps et entreprend de me lécher les testicules tout en caressant ceux de Gilles. Celui-ci devient frénétique et accélère encore jusqu'à expulser sa semence en me mordant l'épaule pour retenir son cri de plaisir. Il finit sa jouissance en me donnant encore quelques coups de boutoir et se retire finalement.
Mes deux amants sont épuisés et en sueur. Seul moi n'ai pas encore joui, ce que me fait remarquer Daniel. Il me propose de le sodomiser, ce qui n'est pas ma tasse de thé. Gilles propose, lui, qu'ils me sucent à deux, ce qui me plait beaucoup plus.
Je m'allonge confortablement sur le lit, entouré de mes deux hommes, les embrassant tour à tour alors qu'ils me caressent le corps. Cela fait près de deux heures que nous faisons l'amour, et je suis tendu à rompre. Ils font encore durer le plaisir, me caressant le torse et les cuisses mais ne faisant que frôler mon sexe, qui, à chaque fois, se redresse encore plus. Finalement, comme un seul homme, mes compères descendent sur mes tétons qu'ils agacent un peu et sur mon sexe.
Daniel le maintien en position, et leurs deux langues parcourent mon gland. Ils ne font que me
lécher, sans me masturber. Mon plaisir ne fait que monter, je suis au bord de la jouissance, je sens qu'un simple aller retour sur ma hampe suffirait à me faire exploser. Gilles enfonce deux doigts dans mon anus et sa langue descend sur mes testicules. Daniel en profite pour me prendre en bouche et je sens sa langue titiller mon frein.
Je ne peux plus me retenir, je gémis pour prévenir Daniel qui ne bronche pas et prend en bouche tout mon sperme, que je crache en criant de plaisir, avant de le laisser couler sur ma colonne.
Les deux complices poursuivent quelques instants leurs mouvements, jusqu'à me rendre mon sexe ramolli et tout poisseux. Daniel m'embrasse et nous restons quelques instants à nous câliner.
Malheureusement, nous devons maintenant nous séparer. Après une douche plus chaste prise séparément et une collation, j'échange mon numéro de téléphone avec les deux acolytes, bien décidé à renouveler l'expérience.
Nous repartons donc avec Gilles, laissant Daniel chez lui. Alors que nous discutons en marchant, Gilles me félicite pour ma prestation et m'interroge sur mes goûts pour la passivité. Il souhaite savoir si j'aime les jeux de soumission et domination. Il aime dominer dans l'amour, comme lorsqu'il était à genoux au dessus de moi, me forçant la gorge, et il veut connaitre mon ressenti. Je suis bien obligé de lui avouer que cela m'a beaucoup excité, et que même si l'acte ne procure pas de plaisir physiologique, la sensation d'abandon à l'autre m'a beaucoup troublé.
Il me dit avec un sourire que si je souhaite poursuivre dans cette voie, sa porte sera toujours ouverte, et il me complimente encore, m'expliquant que c'était sa meilleure partie depuis un bon moment. Ses paroles sont du miel pour moi. Il m'explique qu'en tant qu'expérimenté, il pourrait me guider dans une certaine soumission et m'apprendre, toute en me donnant du plaisir comme aujourdhui. Je lui dis que je dois réfléchir à sa proposition, mais qu'elle est alléchante.
Nous arrivons au métro, et nous découvrons finalement que nous habitons tout proche l'un de l'autre, ce que Gilles ne manque pas de souligner plus que de raison.
Le métro est bondé malgré l'heure tardive, chargé des gens rentrant chez eux après leur soirée. Gilles se retrouve collé derrière moi et pendant le trajet, bien que silencieux, je sens ses mains continuer à explorer mon corps. Arrivé à sa station, il se penche et me chuchote à l'oreille de le suivre. La situation et la proposition qu'il m'a faite précédemment me troublent et m'excitent, aussi je le suis dans la rue jusqu'à arriver près d'une petite impasse.
Il s'arrête, me regarde droit dans les yeux et me demande, calmement mais fermement, de l'accompagner dans l'impasse pour le sucer. Je suis surpris et reste sans voix. Gille m'explique que si j'aime la soumission, je dois accepter d'être entrainé dans de nouvelles voies par mes partenaires. Ce faisant, il fait descendre sa braguette et sort son sexe en pleine rue. Il est près de minuit, et un rapide tour d'horizon me confirme que les alentours sont déserts.
J'acquiesce de la tête et suis Gilles dans cette impasse mal éclairée. Il me fait mettre à genoux, mains dans le dos, et pose son sexe mou dans ma bouche. Son goût est plus fort que tout à l'heure, mais ne fait qu'accroitre mon excitation. Je le suçote comme je peux et je le sens rapidement grossir en moi.
Au fur et à mesure qu'il durcit, il s'enfonce de plus en plus, maintenant mon crâne en position. Il se sert de ma bouche comme d'un trou, et me lime sans ménagement. Il veut que je le regarde dans les yeux alors que je l'avale, et je vois son regard lubrique. Je comprends qu'il est très excité et que ce test sera de courte durée.
Effectivement, il sort rapidement son sexe et le pose sur mon front en me demandant de lui lécher les testicules.
Il me dit alors que je vais le regarder droit dans les yeux alors qu'il va se masturber et jouir sur mon visage. Puis il s'exécute.
Je plante mon regard dans le sien, alors que sa main entame des va-et-vient rapides sur son sexe. Au bout de quelques secondes, son regard part dans le vague et son jus chaud s'écrase sur mon visage, en trois giclées. Je reste immobile, la face maculée, alors que je le vois sourire. Il me dit qu'on ne se connait pas encore assez, mais que bientôt, c'est au fond de ma gorge qu'il se videra.
Il range son sexe et me tend un mouchoir pour que je m'essuie. Alors que nous ressortons de la ruelle, il me dit en rigolant qu'il pense avoir réussi à me convaincre de le revoir.
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