Soirée Surprise Et Dilatations

La semaine suivante je devais me déplacer avec Sophie sur Bordeaux pour 3 jours. Le lundi et mardi j’étais au bureau, débordée, il y avait du travail qui s’était accumulé pendant mon absence.
Didier m’a envoyé le lundi un sms « bonjour ma chérie, bonne semaine tendres bisous partout »
J’arrivais tôt et repartais tard très tard. J’évitais de penser à mes galipettes de la semaine passée.
J’avais eu des rapports avec mon ami mais sans grands résultats si ce n’est la simulation. Sophie ne me parlait que de Didier, sa voiture, sa gentillesse, il avait toutes les qualités pour rendre une femme heureuse. Si elle savait…Elle me dit carrément « tu n’as qu’à larguer l’autre et te mettre avec lui ». Elle voulait se le faire. Il a fallu la remettre dans le droit chemin à plusieurs reprises, surtout pendant notre déplacement. Il me téléphona lorsque j’étais dans le train avec Sophie, ça passait très mal.
Il m’a rappelé le soir très tard, j’étais déjà couchée, il me demanda où j’étais. Nous avons discuté très longtemps, mes fesses étaient mouillées. Il me proposa « tu pourrais m’accompagner pour des déplacements professionnels et on en profiterait pour prendre des jours off et du bon temps » . je lui répondais « oui avec plaisir, mais en ce moment j’ai beaucoup de travail et il est difficile de s’échapper » Didier « je comprends ma chérie, je t’embrasse très fort, bonne nuit à bientôt »
Il a fallu que je me caresse pour arriver à dormir mais je pensais une semaine loin de tout avec lui cela me ferait le plus grand bien. Les semaines s’enchainaient sans que je puisse respirer. Il m’arrivait même de travailler le samedi en rentrant le vendredi soir. La pause proposait par Didier me tentait de plus en plus, mais j’essayais de me contrôler afin de revenir sur mes résolutions. La tension avec mon ami était retombée, malgré un ennui permanent. Mes virées de débauche étaient à mettre au passé. Les vacances de Février sont arrivées très vite (nous sommes vers le 20/02) cela fait plus d’un mois que je n’ai pas eu de plaisir avec un homme, j’ai le cul qui me démange.

Didier m’appelais et m’envoyait des sms de façon régulière. Il me manquait, mais je résistais, j’étais un peu énervée entre le rythme professionnel et mon abstinence sexuelle, chose qui n’échappait pas Sophie qui me lançait « tu es plus sympa lorsque tu vois Didier ». Elle était survoltée depuis que nous étions rentrés de Lyon en voiture, moi j’étais plutôt très fatigué. Je pensais, elle a surement rencontré un nouveau mec ou il y en avait sur le feu. Nous attaquions la deuxième semaine des vacances ( fin février), une nouvelle semaine débutait, Karine déprimait mais impossible de la faire parler, et Sophie était toute guillerette, car son mari et sa fille étaient partis faire du ski . Elle était seule. Elle arriva le mardi matin avec son cartable et un sac de voyage toute excitée, je pensais quelle salope il lui aura pas fallu longtemps pour faire des bêtises.
Lorsqu’elle s’en va elle est sautillante, je me remets au travail. Le lendemain matin j’arrive et Sophie n’est pas encore arrivée ce qui est étonnant. Je bois mon café en regardant par la fenêtre de mon bureau, je vois un taxi, voiture noire, qui s’arrête devant notre porte et une personne qui en descend. J’allais dans le bureau de Karine lorsque je vois Sophie, la démarche raide, mal assurée, livide, on aurait dit un robot. Elle était tellement mal que je lui ai proposé de rentrer chez elle pour se reposer et que je m’arrangerai avec Karine pour son travail. J’appelle un taxi au hasard, je l’accompagne jusqu’en bas, elle peut à peine se mouvoir. (je vous en reparlerai plus tard)
Je reprends mon travail, car entre les vacances et l’absence de dernières minutes, il n’y avait pas une minute à perdre. Tous ces évènements me replongeaient dans mes soirées de débauches, j’en mouillais.
Dans la matinée mon portable sonna c’était Didier « Comment vas-tu ma chérie, ça fait longtemps que nous nous sommes pas vus » moi « Bonjour, oui mais je t’ai dit que depuis le début de l’année je suis débordée » Didier « tu devrais décompresser un peu , tu es libre ce soir, tu as prévu quelque chose» moi « je suis très fatiguée, j’ai beaucoup de travail, je te rappelle» j’essayais de résister, mais mon esprit ne pouvait se détacher de cette proposition, de plus j’étais seule car j’avais dit à Bruno que je rentrerai tard et fatiguée ( ce n’est pas lui qui risque de me fatiguer plus).
La matinée se passe, je déjeune avec Karine qui me semble de plus en plus désespérée. En début d’après midi, je ne tiens plus je l’appelle « ok pour ce soir tu viens me chercher » « oui ma chérie à ce soir». Il est à l’heure, je monte dans sa voiture « il me dit , tu es seule, Sophie n’est pas venue avec toi » moi « non elle a eu une nuit agitée »
Il me dit « si tu veux nous passons la fin de la semaine ensemble et le we si tu es disponible »
Moi « oui mais tous les 2, la dernière fois vous avez exagéré»
Didier « ce n’était pas bon » moi « je vais chercher des affaires chez moi en m’arrêtant 2 rue avant pour éviter .. » « ok ma chérie mais lorsque tu reviendras soit nue sous ton manteau en porte jarretelles». Je regroupe mes affaires, me déshabille et le rejoint. Nous traversons Paris, il fait nuit, j’ai les jambes écartées, il me tripote, je jouis plusieurs fois. Nous arrivons chez lui, il m’emmène dans l’escalier de secours et me prend, je suis tellement en manque (cela fait plus d’un mois que je n’ai pas fait correctement l’amour), que j’ai une multitude d’orgasmes. Il y a une voiture qui arrive Didier me met la main sur ma bouche pour mes cris et ralentit le rythme. Il se vide en moi et nous montons. Je serre les fesses et les jambes pour éviter d’en avoir sur mon manteau et mes bas. Il a déjà tout préparé, le diner ( traiteur), le champagne, les chandelles etc. Nous prenons une douche, il me sort une guêpière, des bas, des talons hauts très hauts et une paire de longs gants. En me disant tu vas diner dans cette tenue, le salaud il rebande, je m’exécute et arrive dans le salon ; Je passe devant une glace, je ressemble à une vraie pute. Nous sommes l’un en face de l’autre, il me prend la main pour l’embrasser me tend un gode ventouse en me disant « met le sur la chaise et assied toi dessus » Je me relève l’installe et m’empale. Il a la télécommande dans la main, il me regarde avec un large sourire en actionnant le bouton. L’engin se met à vibrer en moi, je commence à avoir chaud, je lui dit « arrête je vais encore jouir »La table est très petite, il en profite pour me caresser les cuisses surtout l’entrejambe, je suis en eau.
Il me resserre du champagne se lève pour aller chercher l’entrée, je vois qu’il bande. Lorsqu’il revient il m’embrasse la main en me disant « tu es très belle, tu as les yeux qui brillent ma chérie ». Il a réactionné le gode, j’essais de me contrôler pour éviter l’orgasme, au moment ou je bois une gorgée, il arrive, je manque de m’. Je tousse.
Didier « ma chérie qu’est ce qu’il t’arrive » Une fois récupérée, je lui dis « tu es vraiment un salaud »
Didier « je ne veux que te faire du bien » Je suis tellement en manque que la moindre sollicitation déclenche des réactions épidermiques. Je finis par lui dire « prend moi prend moi comme une salope » il me lève en me tenant la main, me met à 4 pattes sur le bord du canapé, me retire le gode et me prend violement en me disant « tu veux que je baise comme une salope et bien tu ne va pas être déçue» C’est une avalanche de plaisir, je n’arrête pas de jouir. Je me mets la tête dans les coussins pour atténuer mes cris. Je sens qu’il va exploser, il se retire, m’att par les cheveux et me dit « avale salope et nettoie moi la bite »il se vide dans ma bouche, j’avale tout et lui aspire la bite comme avant. Je vois qu’il a beaucoup de plaisir. Une fois nos esprits retrouvés, nous nous remettons à table, je bois du champagne qui se mélange au sperme qui reste dans ma bouche, c’est très bon, une sorte de Kir royal. Je vois qu’il à une auréole sur son pantalon, Il me dit « je ne t’ai jamais vu mouiller de la sorte, tu étais en manque à ce point » je baisse les yeux pour ne pas lui répondre. Nous dinons, il actionne son objet à plusieurs reprise, je ne me contrôle plus, je jouis à de nombreuses reprises, je n’ai qu’une envie, de me retrouver au lit pour me faire baiser, j’ai du retard à rattr. Pour le dessert il met de la musique et m’invite à danser. J’allais retirer le gode mais il me dit « non garde le ». je viens dans ses bras, nous dansons l’un cotre l’autre, je suis en guêpière les fesses à l’air en talons portes jarretelles et longs gants il le réactionne, je jouis encore tout en l’embrassant, il me caresse partout, me met un doigt dans mon petit trou puis un autre ( je me suis pas faite sodomiser depuis plus d’un mois aussi, il s’est resserré).
Nous mangeons une part de gâteau en se picorant dans la bouche, je ne l’avais plus fait depuis que nous étions quittés, nous en rions de retrouver ses sensations, c’est très bon ; je suis à sa merci. Il me prend dans ses bras et me porte jusqu’à la chambre, me jette sur le lit se déshabille et viens me lécher. Il m’arrache énormément de plaisir, j’ai toujours le gode dans le vagin et il me dilate le cul avec ses doigts. Je n’en peux plus, j’ai envie de sa bite en moi. Il me retourne et me sodomise, je crie, mais quel plaisir, je jouis assez rapidement, je suis en double pénétration. Après quelques orgasmes, il me retire le gode de mon vagin. Je lui dit « non ne le retire pas c’est trop bon » Didier « non ne t’inquiète pas je ne veux que ton plaisir, tu vas en avoir un plus gros » Je sens un objet assez froid se présenter à l’entrée de mon vagin. Je peux constater qu’il a une taille importante au vue de la surface du gland. Je lui dit « vas y doucement » Didier « oui, tu vas t’éclater ». Il pousse dessus et entre. Je suis remplie complètement »Il frotte sérieusement sur mes parois vaginales. Je lui dit « mais il est énorme » Didier « il va te faire du bien avec moi » Il recommence ses vas et vient dans mon cul, je suis tellement ouverte que j’ai des difficultés à jouir. Mais lorsque cela arrive, je suis en extase. J’adore ça alors qu’avant je disais que ce n’était que les putes qui le faisaient. Après plusieurs orgasmes profonds, il ralentit la cadence, m’étale du gel autour de mon cul. Moi « mais qu’est ce que tu fais » Didier « je vais te faire une double annale avec le premier » . moi « non arrête tu vas me déchirer, arrête » Didier « ma chérie il faut que tu sois ouverte de toutes parts, tu débutes ton programme de dilatation » Il m’enfonce l’objet dans le cul, mes sphincters se relâchent et je me retrouve en double annale rapidement. J’ai l’impression que mon arrière train va exploser. Il me pilonne sans ménagement, je jouis comme une folle. Il finit par se vider en moi, je sens son sperme couler, ce qui accentue mon plaisir.
Une fois nos esprits retrouvés, j’allais me lever pour prendre une douche, Didier m’att par le bras en me disant « reste. Les dilatations ne sont pas terminées » Moi « c’est déjà pas mal, tu as vu la taille de celui que j’avais dans le vagin et en plus tu m’as fait une double annale, cela ne te suffit pas ». Didier « Helen, il faut que tu sois ouverte au niveau de tes orifices et de ton esprit. Tu es une belle femme même très belle femme et je te vois tu es toujours raide avec les hommes lorsqu’ils t’abordent, il faut que tu sois « open » que tu te donnes plus facilement »Moi « mais je ne suis pas une pute » Didier « non une femme du monde ouverte » Il sort un autre gode plus important encore surtout en largeur en me disant « il va aller dans ton vagin et moi dans ton cul » Moi « mais non tu vas m’éclater, je travaille demain » Didier tu vas voir ma chérie il va entrer facilement » Il me remis à 4 pattes le cul bien en l’air, il entra le premier dans mon vagin, me sodomisa ensuite et poussa fortement pour en faire entrer un deuxième. Mes muscles vaginaux finirent par céder « Je lui disais « arrête doucement arrête tu vas m’éclater » Il poussait, j’étais ouverte à plus de 12 centimètre de diamètre. Mon souffle était court et je ressentais des douleurs. Il entama un pilonnage en règle. Je mis un certain temps à jouir. Les deux premiers orgasmes ne furent pas très bons. Il continua et là j’explosais, mon corps était secoué de spasmes, je ne contrôlais plus rien. Une fois revenue à moi, il ne s’en contenta pas, il m’en enfonça un autre dans le cul. J’étais ouverte de tous les cotés. J ‘ai joui rapidement et fortement.
Nous avons passé une nuit blanche, je me ratt, c’est même moi qui propose à Didier de prendre une douche ensemble, ‘ j’ai envie d’avoir du plaisir avant ma journée de travail acharné. Au moment de partir, Didier me dit « met à 4 pattes sur le fauteuil » Moi « non arrête je vais être en retard » Didier « il y en a pour 5 minutes » moi « qu’est ce que tu vas me faire » Didier « vas y dépêche toi »
Je m’exécute, il me relève ma jupe, m’écarte ma culotte, me crache sur le cul, m’étale sa salive en m’introduisant les doigts dans le cul et le vagin. Moi « arrête tu m’excites, je vais être en retard » Il me met un plug de diamètre assez important dans le cul. Je pousse un petit cri, et ensuite c’est un gode de taille moyenne qui entre dans mon vagin. Il me réajuste ma culotte, me baisse ma jupe, me met un petite claque sur les fesses en me disant « tu es prête pour la journée » Moi « mais je ne vais pas travailler comme ça »
Didier «si tu les retires, tu y va par tes propres moyens, et là tu seras vraiment en retard ». Je me redresse et nous partons. Lorsque je m’assois dans le voiture, les deux objets s’enfonce un peu plus en moi. Moi « ça me gène » Didier « tu vas t’y habi » Il me passe la main entre les cuisses et actionne l’interrupteur. Le gode se met à vibrer. Moi « arrête le tout de suite, sinon je vais jouir » Il sourit. J’essaie de me contrôler, jusqu’au moment où j’explose dans la voiture. Je sens que je dégouline. Je jouis plusieurs fois avant d’arriver à deux rues de mon bureau. Une fois arrêté, je lui demande « et maintenant comment fait on » Didier « tu vas travailler comme ça » Moi « mais je les retire comment » Didier « mais tu ne les retire pas ». Je descends et commence à marcher lentement en serrant les cuisses. Je suis confronté à deux solutions, marcher rapidement pour arriver au plus vite, mais je ne peux pas, ou marcher lentement, mais dans ce cas je vais avoir plusieurs orgasmes en pleine rue qu’il va falloir contrôler et dissimuler. Le premier arrive assez rapidement, j’ai le souffle court, je transpire, je sens que je suis toute rouge. Je jouis encore avant d’arriver. C’est la première fois que j’ai un orgasme en pleine rue. En entrant la réceptionniste me demande si je vais bien. Je monte dans l’ascenseur avec d’autres personnes lorsqu’un autre orgasme arrive. Je suis en pleine jouissance et je peux percevoir les bruits des vibrations causés par le godes. Je me précipite aux toilettes, pour l’arrêter et le retirer. Le pire c’est qu’un autre orgasme arrivait lorsque je sortais de mon vagin. En bonne salope, je l’ai fait coulisser en moi pour avoir un maximum de plaisir, tout en étouffant mon plaisir pour éviter d’ameuter l’étage. Je perds l’équilibre et me ratt en m’appuyant sur le mur. Je finis par le sortir, l’arrêter, il est luisant tellement j’ai mouillé dessus. Je le cache dans mon cartable. J’ai toujours le plug dans le cul que je retire à son tour, je réajuste ma culotte qui est bien sur trempée. En sortant je me trouve nez à nez avec une collègue qui me dit « Bonjour Helen, c’est toi qui est tombée dans les toilette ». moi «j’ai perdu l’équilibre en me relevant car j’avais la tête qui tournait » Elle « tu es sur que tu vas bien, tu transpires, tu es toute rouge » Moi pour sauver la face « j’ai marché rapidement car j’avais une envie pressante ». En m’assaillant, je constate que j’ai mal au cul et aux reins. Il ne m’a pas épargné, mais qu’est ce que c’est bon. Après ces péripéties, pas de Sophie, je suis étonnée, je l’appelle. Elle décroche d’une voix d’outre tombe ( je vous en parlerai plus tard). Résultat, elle est absente jusqu’à la fin de la semaine. Le jeudi soir arrive Didier en pleine forme , beau comme un cœur, nous allons chez lui. Pendant la soirée qui était très chaude, je m’étais faite baiser en arrivant contre le mur, j’adore ça, il me réitéra sa proposition de passer une semaine ensemble loin de tout. Je lui répondis « en ce moment c’est assez difficile, il y a une compression de personnel en cours en je ne voudrais pas me faire remarquer » ( j’ai toujours été indépendante financièrement).

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