Engrenages 2

Toujours caché sur la mezzanine qui surplombait mon salon, je venais d’assister à l’emprise de Karine sur ma femme Anne et son amie Léa. D’après ce que j’en ai compris Léa était la meilleure amie de Karine, elle s’en est détaché et a rencontré Anne.
Le sentiment d’avoir été trahi a guidé son action (mouchard dans l’ordi de Léa) pour récupérer une vidéo compromettante et soumettre à ses désir Léa et Anne.
Karine s’était rhabillée et sortait, Anne et Léa étaient encore nues sur le canapé, je décidais de rester caché.
Léa « Je suis morte de honte, suis responsable de tout, de faire ça à toi, tu comptes beaucoup pour moi, je n’arriverais jamais à me faire pardonner, c’est affreux. »
Léa même si elle était silencieuse avait des larmes qui n’arrêtaient pas de couler sur ses joues.
Anne « Je t’en prie, tu n’est pas responsable de la situation, tu es aussi victime de Karine, tu était obligée de faire ce qu’elle te disait, tu pensais à ta vie au travail, tes connaissances et surtout ton fils, j’aurai fait comme toi. »
Léa entoure Anne et pose sa tête au creux de son épaule « merci , merci, merci ».
Anne « il faut que je te dise, au début j’étais en était de choc, je ne pouvais pas parler, j’ai agi mécaniquement, mais rapidement je dois te confesser que j’ai apprécié être soumise, moi qui d’habitude a toujours la langue levée et avec toi je ne sais pas comment l’exprimer, je n’ai jamais envisagé des relations avec une fille et la avec toi, j’ai eu plaisir. »
J’étais médusé, Léa relevait la tête et embrassait tendrement Anne sur la bouche, leurs langues se trouvaient le baiser était interminable comme semblait l’être la taille de mon sexe compressée dans mon jean’s.
Léa « moi aussi j’ai eu plaisir avec toi et de savoir que c’était réciproque c‘est génial, par contre d’être soumise pourquoi pas mais il faut que ça reste un jeu et je ne pense pas que Karine l’entende de cette oreille .»
Anne « On va réfléchir et trouver une solution pour sortir de cette situation.

»
Léa « J’en suis sure , excuses moi j‘ai encore envie de toi»
Léa embrasse à nouveau Anne, ses mains sur ses seins, elles écartent leurs cuisses et se caressent mutuellement, j’ai sorti mon sexe et n’ose pas le toucher tellement je suis excité, elles gémissent de concert, arrêtent de s’embrasser, se regardent et jouissent ensemble, moi c’est sur la moquette que je jouis. Anne qui ne s’ était jamais masturbée venait de caresser sa copine.
Elles se rhabillent en vitesse pour aller chercher les s à l’école, quand je quitte la maison. Je rentrais comme d’habitude en fin d’aprèm et me demandais si Anne allait me raconter ce qui s’était passé. Elle faisait faire les devoirs aux garçons et m’embrassait furtivement, tout semblait normal dans son attitude. Je m’attelais aux fourneaux et la soirée, comme un film maintes fois passé, suivait son cours.
Une fois les s endormis, je retrouvais Anne dans la chambre.
Elle feuilletait une revue, une fois couché, elle posait sa revue et m’embrassait la poitrine. Elle qui ne prenait jamais, ou très rarement d’initiatives, descendait doucement vers mon sexe qui n’espérait que ça, elle me regardait alors qu’elle me léchait le gland (elle qui ne me suçait qu’a de rares occasions et toujours dans l’obscurité). Elle engloutissait maintenant ma queue profondément, au risque de s’.
Moi « m’est que se passe t’il ? je ne te reconnais pas et ce n’est pas pour me déplaire »
Anne « Viens on continue, je te raconterais après »
Elle me chevauchait et posait mes mains sur ses hanches, j’amplifiait le mouvement et l’accélérait, elle haletait. Elle se soulevait et toujours en me regardant empoignait mon sexe luisant avant de le sucer (une première, elle n’appréciait pas que je l’embrasse après un cunnilingus). J’étais aux anges et savais que l’éjaculation allait être proche.
Moi « Anne je vais jouir »
Elle continuait et accélérait le mouvement de sa bouche, je jouissait et encore une première, je la voyait déglutir. Je ne débandais pas et décidais de reprendre l’initiative et voir si elle accepterait d’être dominée. Je la tenais par les cheveux et l’embrassait passionnément, je la positionnait à quatre pattes et la prenait en levrette. Je hasardait un doigt entre ses fesses et continuait mon va et viens. Sa bouche était entrouverte, je me penchais et saisissait sous le lit dans la boite à godes le plus petit. Je crois qu’elle avait compris mon intention et me laissait toujours faire.
Je retirait mon doigt et le remplaçait par le gode, j’alternais les mouvements.
Anne « Ne t’arrêtes pas c’est bon !!! »
Je laissait le gode enfoncé et j’accélérais mes mouvements, elle gémissait et son « Oh oui » me faisait jouir.
Allongés cote à cote, Anne me racontait son après midi, je ne lui disait pas que j’avais assisté à tout et elle oubliait de me raconter ce qu’il s’était passé avec Léa après le départ de Karine.
Je lui faisait par de mon idée pour sortir de cet engrenage, il fallait qu’elles acceptent un nouveau rendez vous au même endroit, on installera une camera dans la pièce et elles auraient un moyen de pression sur Karine, l’arroseur arrosé.
Anne trouvait mon idée géniale, m’embrassait, elle me disait qu’il fallait qu’on invite Léa pour peaufiner le plan.

A suivre