Mémoire Courte, Histoire Courte,
Nous étions en voyage au Brésil, au cur de la forêt amazonienne, un après-midi en pirogue à lobservation danimaux. Notre jeune guide à la peau cuivrée, nous fait accoster et descendre sans bruit. Il montre du doigt, sans parole, la cime dun arbre ou il grimpe prestement.
Il redescend, avec dans ses bras, un paresseux. Photos et caresses de cet animal si tranquille avant de reprendre le flot silencieux de la rivière. Je suis face au corps musclé de Mauricio, de son visage souriant et de ses cheveux noirs bouclés. Il observe discrètement mes jambes, mes cuisses et, mais si, lentrebâillement de mon short. Il mate aussi léchancrure du teeshirt et la naissance de ma poitrine.
A notre retour, il prend gentiment ma main quil ne lâche pas pour permettre à mon mari de descendre à son tour. JF lui propose de passer après diner à notre cabane pour une récompense méritée.
Le soir, jouvre à Mauricio qui se renseigne rapidement de labsence de mon mari. Celui-ci est au bar avec notre couple de voisin et je suis restée préférant lire. Je porte une chasuble fermée de chaque côté à hauteur de la poitrine et de la taille par un lacet sans rien dessous. La transparence se remarque seulement a contre jour dun éclairage. Cest donc ainsi en traversant la pièce quil découvre ma quasi nudité lorsque je passe devant la lampe de chevet.
Lui porte un teeshirt et un bermuda qui justement se déforme quelque peu à ce moment
Echange de banalités, avec un brin dattention nous comprenons chacun nos langues sans être capable de parler celle de lautre.
Avant de lui donner lenveloppe prévue je lui fais part dune douleur sous le bras due à une piqure dinsecte. Comme laprès midi même, il nous avait expliqué la méthode des natifs de la forêt pour se soigner, je lui demande sil peut maider.
Il soulève mon bras approche ses lèvres et aspire sur le bouton urticant. Nul doute que la chasuble lui laisse voire la naissance et la courbure de mon sein ainsi que ma hanche et la cuisse et peut être le rond de la fesse.
Il me dit quil doit le faire trois fois. A la troisième, je crois ressentir une chatouille et baisse dun coup le bras qui emprisonne son visage sur mon sein. Surpris il saccroche a mes hanches et nous basculons sur le lit.
Je suppose quil a pris mon téton pour une petite piqure dinsecte puisquil entreprend le même suçon que sur le bras. Je remarque aussi sur ma cuisse lempreinte rigide de son sexe, en totale érection, dressé jusque sur son nombril. Beau garçon à la virilité certaine et entreprenante de la jeunesse. Puis il prend le temps de détaillé, ses mains enserrent mon visage en souriant, embrasse le front, le nez et un baiser sur mes lèvres alors que ses boucles titillent mes joues. Il parcourt ainsi du bout des lèvres la ligne qui descend jusquau pubis suivit par leffleurement des cheveux. Je frémis de ce plaisir. Bras à plat, sur le lit joffre mon corps aux regards et aux baisers.
Jobserve mon amant ; Mauricio a les épaules fortes, le torse solide et imberbe, le ventre en belles tablettes fermes, ondulées, le pubis de crin noir crépu, les fesses dures, les jambes fines aux muscles dessinés, et cette jolie peau bronzée, luisante souple et ferme au toucher, au parfum de savon frais, bientôt, jaurais plus de souvenirs encore, du long membre bien raide, au gland clair et à la fente ouverte.
Douceur et bien être des câlins, certitude dêtre désirée vu la tension rigide du membre redressé. Jambes ouvertes je tends mon sexe mouillé au visage de Mauricio. Un bref échange de regard puis il plonge son visage entre mes cuisses. Cette fois je geins et minaude mon plaisir en balançant mes hanches pour que sa bouche parcours mes lèvres et que sa langue trouve le chemin de mon clito. Délice de la volupté, agitée et gémissante je subis avec ferveur quand il ajoute ses doigts pour fouiller entre mes lèvres, ouvrir ma vulve et pénétrer mon vagin. Je vibre sans retenue pour quil narrête pas, quil sache quil me réjouit, quil fait bien, que jaime et que je veux encore
Mon clito si sensible, sa bouche et ses doigts agiles ; je part sans retenue dans un orgasme jouissif.
Je mallonge cuisses écartées pour quil vienne. Délicatement, malgré lenvie si forte, il guide sa queue vers lentrée. Il pénètre lentement, je comprends son fou désir, il doit se contenir, se retenir. Dressé sur ses bras, il senfonce en moi. Genoux pliés je lui ouvre le chemin de son plaisir et je profite de sa queue. Mâchoires serrées et grimaçant cest en quelques vigoureux aller retour que les vagues de sa jouissance remplissent le latex. Urgence et imminence de la jeunesse, il ne pouvait patienter davantage. Fougue de son âge cest à peine sil a débandé pour retirer le préservatif.
Cest moi qui propose de reprendre les ébats, et vu létat impétueux de son sexe, je nai aucun doute sur ses possibilités
sourire.
Cette fois je sais que je peux prendre le risque de moccuper davantage du jeune homme avant que le désir nexplose. Pas trop tout de même, je constate que la vague à venir reste difficile à contenir. Les contractions du ventre, des muscles des cuisses et louverture de la fente du gland expriment déjà limminence de son orgasme. Alors jaccompagne plus que jinitie et mes doigts serrent en alternance son long sexe si dur. Il jouit dun jet puissant qui me surprend et qui atteint mes seins puis sécoule entre mes doigts. Après le dernier spasme jy dépose un baiser. Mon dieu quelle énergie ! Il bande toujours ! Un léger assouplissement mais si peu
La forêt à de belles vertus sur la virilité.
Sur de lui, sans retenue ni pudeur aucune, il se couvre, menjambe et mentreprend à nouveau. Je me laisse faire surprise et disposée. Cette fois nous prenons le temps des coulissements, des mouvements coordonnés, des positions variées, dessus dessous, des caresses et des baisers, mes seins dans ses mains et dans sa bouche, les boucles noires de ses cheveux me font frémir quand son visage accompagne les mouvements de ses reins.
Je crois bien quil suffirait de peu
.mais tout de même, cette fois, je lui fais comprendre que tout a une fin
sourire.
Cest lorsque Mauricio enfile son bermuda que JF ouvre la lumière de la terrasse doù il a observé toute les scènes. Linquiétude de Mauricio fait de suite place a la surprise quand il comprend quil n a rien à craindre. Il sort en saluant poliment et sur le ton de service : « Madame, Monsieur, bonsoir ».
Cerise sur le gâteau, lenveloppe en remerciement du paresseux, reste sur la table. Gentleman déjà.
Je crois comprendre, les jours suivants, aux regards des autres garçons du personnel que Mauricio a du vanter quelque peu ses mérites, mes bonnes dispositions
et la tolérance de mon mari.
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