Cousine Berthe
Cest bien plus tard après notre mariage que Jean rencontre ma cousine Berthe. Il saperçoit quelle est attirée par les filles, surtout par une lesbienne qui réunit sur elle tous les aspects négatifs : velue, presque pas de sein, voix grave. Quand Berthe vient passer quelques jours chez nous, elle y est bien accueillie, surtout par Jean. Au cours du repas jinterroge Berthe sur les façons de faire des filles entre elles. Elle est rétive, quand jinsiste elle répond enfin.
- Tu sais, entre filles cest comme un couple normal. Nous avons des envies de caresser lautre. Jaime bien ce genre de câlins toujours doux, même sil manque quelque chose.
- Quoi ?
- Une bite pour entrer. Maintenant cest plus facile avec les godes comme on fait qui permettent de baiser et dêtre baisée ensemble.
- Vous vous les mettez où ces godes ?
- Comme toi une bite, dans le sexe.
Je minterpose :
- Si je te donne ma queue, là devant ma femme, tu la prends ?
- Avec elle bien sûr.
- Alors je vais te baiser devant ma femme.
- Non, avec elle.
Et voilà, je me trouve au milieu de cinglé : Berthe qui accepte de baiser en trio et mon mari qui le lui propose. Je ne sais pas du tout comment faire à trois. Mais ils mexcitent de parler de baise comme ça ; naturellement. Je suis définitivement vaincue quand Yves membrasse profondément sur la bouche : je ne sais rien lui refuser. Et puis pourquoi ne pas essayer ? Et Berthe qui en plus vient me caresser les seins. Yves pose sa main sur le genou : jécarte les jambes. Ils peuvent me faire ce quils veulent ces cinglés
- Et puis je veux faire jouir ta femme seule te peux regarder mais ne pas te mêler de ce que je lui ferais : elle jouira comme jamais.
- Comment alors ?
- Je ne la toucherais presque pas.
Jaccepte finalement tentée par ce genre de caresses.
Nous débarrassons totalement la table. Berthe me fait coucher dessus, sur le ventre.
Elle masse les épaules, le dos, les fesses les jambes pour remonter doucement vers les fesses. Yves me dit quon peut voir mon cul et le con. Cest le but de Berthe qui en remontant écarte les fesses. Je suis à sa merci. Je tends ma main vers la queue de mon mari, jy ai droit quand même. Je le prends dans mes doigts. Il est dur comme sil allait me la mettre au cul. Je le branle lentement, je veux que son plaisir soit au moins égal à celui que je vais prendre. Le prépuce descend doucement, je découvre le gland violacé. Ma main voltige sur la bite. Je voulais le faire durer, mais la présence dune autre le fait jouir. Son jet vient sur moi et Berthe qui en rit.
Elle passe la main dans la raie. Cest trop lent. Elle ne fait que toucher, comme ça, au passage le petit trou. Jaurais bien aimé quelle sy arrête même pour un cour bonjour. Berthe continue son travail de caresses particulières. Elle caresse les cuisses, loublie pour revenir plus haut. Je sens ses doigts autour et dans ma chatte, vers le cul également. Tous ses mouvements sont lents, très lents. Une main entoure mes lèvres, les masse, monte en les abandonnant vers le clitoris. Elle my caresse toujours de façon lente : je veux jouir, je vais jouir. Elle arrête tout pour aller taquiner lanus. Elle en caresse le tour, les bords, le dessus, y reste le doigt immobile sur lanus. Je voudrais quelle elle rentre. Elle repart.
Elle me fait mettre sur le dos, écarte les jambes selon langle quelle désire. Je vois quYves bande encore. Je le fais venir près de ma bouche : jai besoin de son jus un peu salé.
Et Berthe, elle caresse à sa façon ce quelle a sous les mains. Elle prend une lèvre de bas en haut, ses doigts me serrent un peu, cest bon. Quand elle arrive en haut, tout près de bouton, elle descend recommencer avec lautre lèvre. Je dois mouiller comme ne fontaine et elle ne me caresse toujours pas : je crève denvie de jouir. Ses doigts descendent vers lanus. Elle pince la fesse juste à lentrée. Enfin elle pose un doigt qui caresse cet endroit que jai sensible depuis que jai demandé à Yves me la mettre au cul la première fois. Cest fichtrement bon. Quelle accentue sa caresse et je vais jouir. Non, elle passe lentement un doigt (toujours le même ?) sur le périnée. Elle arrive sur mon entrée du vagin. Elle va entrer enfin. Non, elle remonte vers le pubis, elle le passe pour monter vers la poitrine. Quest-ce que jai fait à Eros pour quelle me fasse quoi au fait : me faire jouir cest sa promesse.
Elle redescend lentement, comme si elle comptait mes cotes. Elle est là, sur les hanches, sur mes jambes, entre mes cuisses toujours ouvertes, en attente. Si elle posait sa bouche sur ma chatte, si elle pensait à me lécher un peu. Non ses doigts, toujours ses doigts seuls qui interviennent. Elle recommence sa ronde infernale. Jai mal au fond du ventre : je dois jouir.
Elle plonge sa main dans la raie. Je pense quenfin elle va me doigter le cul. Elle sen approche petit à petit, elle le touche aussi, oh une demi-seconde, à la suite dun oubli de sa part, sans doute. Je la sens sur la figue. Je la veux, là, où elle est. Pourquoi Yves ma laissé dans ses mains tortueuses. Et Yves qui sapproche de ses fesses à elle. Je la vois souvrir. Il ne force même pas, il la sodomise devant moi en plus. Sil avait un peu pitié de moi, il serait venu me baiser, là sous sa figure à elle.
Mais non elle continue son manège. Elle commence enfin. Un doigt est venu en haut de mes lèvres. Un deuxième vient lentement. Ils écartent les lèvres. Mon bouton prend lair quand elles le décapuchonnent. Et enfin elle me caresse avec intelligence. Je suis tendue sous cette caresse attendue.
Elle me récompense en posant sa bouche dessus. Elle maspire longtemps. Je nattends plus, je jouis une fois puis une deuxième fois. Quand Berthe vient sur moi, en 69. Je lèche ce quelle me donne : son anus. Cest chaud, doux, presque comme lintérieur de son sexe. Elle me demande de lenculer avec le bout de la langue. Je force pas mal pour le faire. Yves rode autour de nous. Sa queue bande encore. Je me tourne pour lui présenter mes fesses. Il mouille avec sa salive mon entrée arrière. Je le reçois avec un énorme plaisir. Jaime me faire sodomiser par sa queue.
Nous verrons après si Berthe est capable de faire lamour comme les autres. Moi je ne me plains pas de ses façon, jai attendu un trop long moment : mon plaisir était conséquent.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!