Leslie Hs17

Leslie HS17 – Hors-série – Retour à Cassis

Je suis partie en congés pour quatre jours à Cassis, pour moi c’est peu comme un retour aux sources, revoir les endroits où par le passé je passais mes vacances et les endroits qui ont vus mes premiers pas de transexuelle…

Souvent, dans le passé, je me livrais à des jeux solitaires, j’avoue que j’aimais ça et que d’ailleurs j’aime toujours ça. Comme par exemple quand je déambule sur une plage, où dans la campagne sur le bord de la route et parfois dans les sous-bois d’une forêt. Mais la particularité de ces ballades solitaires, c’est que je les fais dans une nudité intégrale.
Arrivée à l’endroit de ma ballade, je range ma voiture à l’abri des regards, puis tranquillement je me déshabille et range mes vêtements dans le coffre, sachant que je vais parcourir des endroits tranquilles et peu empruntés, mais empruntés quand même.
Avec un petit sac à dos contenant quelques accessoires bien utiles, je pars à l’aventure sur la plage où sur un chemin, sinon je m’enfonce dans la forêt.
Le fait de laisser mes affaires dans le coffre de la voiture, ne me donne aucune occasion de me voiler lors d’une rencontre, c’est cela aussi que j’aime et qui pimente la ballade

Aujourd’hui, c’est dans une forêt que je décide de me promener, ayant respecté le rituel, nue je me faufile en passant entre les arbres et guettant le moindre signe de présence.
La peur de me faire surprendre, nue comme un ver, par des promeneurs m’excite beaucoup. C’est arrivé quelques fois, ils ne manquèrent pas de voir mon membre tendu d’excitation, mais à chaque fois je dû rebrousser chemin, parfois sous les quolibets. Car à chaque fois ma réaction instinctive est la même, je bande d’excitation d’être surprise.
Nue, étant épilée entièrement, je sens parfaitement le souffle du vent sur ma peau, sur mon sexe, mon corps ressent de douces sensations et ce n’est que plaisir. Je ne cherche pas particulièrement à être vue.

Mais si cela arrive, cela ne me dérange pas au contraire.
Inutile de vous préciser que ce genre d’activité nécessite une météo clémente et dieu merci aujourd’hui il fait beau.
Ce que j’aime par-dessus tout c’est sentir la transformation qui s’opère en moi, je me sens devenir féline, tous mes sens en alerte et en éveil, je n’obéis plus qu’à un instinct étrange, celui de satisfaire mon désir.
Je n’ai que rarement rencontré d’autres personnes durant ces promenades mais c’est arrivé. Et qui sait si aujourd’hui je ne vais pas tomber sur un vieux vicieux...

Après une marche assez longue, je trouvais l’endroit que je cherchais, connaissant l’endroit pour y être venue par le passé, je savais qu’une rivière serpentait dans cette forêt et j’arrivais enfin sur une berge.
Elle était large, sans arbre, comme dans mon souvenir, il y avait même un peu d’herbe et le soleil arrivait à chauffer la place. L’eau coulait paisiblement en faisant entendre un petit bruit, je posais mon sac à terre et déballais tout ce que j’avais amené.
Une serviette de bains pour m’allonger dessus et deux godes et quelques revues pornographiques, je posais mon attirail sur la serviette et regardais la rivière avec envie. L’eau, était sans doute froide, mais quel bonheur de se baigner dans un tel cadre.
J’entrais dans l’eau claire tout doucement, elle était fraîche mais cela allait quand même. Je me laissais aller dans le faible courant. Je me mis sur le dos pour pouvoir admirer ma bite encore dressée. Je ne sais combien de temps je suis resté dans l’eau, mais quand je décidais finalement de sortir, je dus remonter le courant assez longtemps pour regagner l’emplacement où j’avais posé mes affaires.
Quand je sortis de l’eau caché par les grands roseaux, j’aperçus à travers eux, une silhouette qui se tenait à côté de mes affaires, c’était une femme et elle tenait en main une des revues.
Subitement, mon sexe se redressa, elle semblait complètement absorbée par cette revue, alors je sortis de ma cachette en faisant volontairement du bruit, mais elle sursauta à peine.


- Elle vous plaît ? Demandais-je.
- Quoi ?
- La revue, elle vous plait ?
- Ah, oui ! Très bien, mais je croyais que vous parliez d’autre chose.
Elle avait une voix un peu rauque qui contrastait avec son physique si délicat.
Elle me détaillait de la tête aux pieds en s’attardant sur mes seins et mon membre tendu.
- Vous êtes une étrange créature, me dit-elle.
- Oui, moitié homme et moitié femme, cela vous choque ?
- Pas le moindre du monde, on rencontre parfois d’étrange créature aux détours d’un chemin, et puis nous sommes seules et vous avez l’air gentille.
- Je prends mon plaisir sans m’occuper des autres.
- Vous faites cela souvent, être nue dans les bois ?
- Parfois, quand l’envie me prend.
- Vous êtes du coin ? Me demande-t-elle.
- J’ai passé mon enfance ici et c’est la première fois que j’y reviens.
- C’est pour cela que je ne vous ai jamais vue, je suis une habituée de cet endroit.
Tout en lui parlant, je la dévisageais de la tête aux pieds. Elle était ravissante, sa robe d’été, très légère collait à sa peau et sous le fin tissu pointaient les tétons sa poitrine nue.

Sans un mot de plus elle prit place sur la couverture. Elle avait toujours la revue en main. J’observais son corps que la robe mettait parfaitement en valeur. Elle était bronzée. Ses longues cuisses m’apparaissaient presque entièrement. Cela ne semblait pas la déranger, cela semblait tout simplement naturel. Ses seins ne semblaient pas très gros, je pris place en face d’elle et posais mes mains derrière moi faisant ce qu’il fallait pour exhiber mon membre dressé.

Elle contemplait les photos de la revue porno et ne semblait pas choquée, mais tout simplement curieuse.
Elle tournait les pages lentement. Je l’observais.
- Tu aimes te montrer, me dit-elle brusquement.
- Oui, j’adore.
- Tu aimes prendre ton plaisir devant quelqu’un.
- Oui, mais il c’est assez rare de trouver des personnes dans de tel coins disposer à me regarder.

- Moi, je le suis.
Elle posa la revue et saisit un des godes et en appréciait les dimensions en le massant doucement.
- Il est assez gros.
- Oui, c’est un de mes préférés, il est juste comme il faut pour une fille comme moi…
- Tu veux dire une femme membrée qui ne peut-être qu’analement pénétrée.
- Oui.
- Et tu joues souvent avec ?
- Oui.
- Tu veux me montrer ?
- Si tu veux.

Je lui pris le gode des mains. Tout en la regardant dans les yeux, je pris dans ma bouche et suçais ce membre factice pour le mouiller de ma salive aven de l’introduire en moi. Elle souriait en me regardant faire. Elle se poussa pour me laisser plus de place sur la couverture et écarter ses jambes devant moi, elle ne portait pas de culotte.
Je me mis d’abord à quatre pattes sur la couverture, lui présentant mes fesses, mon sexe bandé pendait entre mes cuisses, je me cambrais le plus possible pour être excitante tout en tournant la tête vers elle car je ne voulais pas manquer ses yeux braqués sur moi et ses éventuelles réactions à mon spectacle.
Elle regardait mon œillet tout lisse, cette exhibition totale me plaisait au plus haut point, inutile de le dire. Pour une fois que je pouvais me montrer me donnant du plaisir à une inconnue.

Je crachais dans mes doigts et les posais entre mes fesses, sur mon petit trou, pour préparer mon anus à ce qui allait suivre. Je glissais mon majeur dans mon orifice anal et le plantait tout au fond. Je continuais à sucer le gode en prenant soin d’y laisser le maximum de salive pour que sa pénétration soit complète et aisée.
Elle guettait chacun de mes gestes et avait commencé à se masturber, agaçant son bouton, mais je sentais qu’elle n’en resterait pas là, trop attentive au jeu que le lui offrait.
Me baiser comme cela devant elle me rendait folle de désir. J’étais prête à lui offrir tout ce qu’elle me demanderait et pourquoi ne pas lui faire l’amour.
Elle ne demanda rien, me regardant juste en se caressant…
Je sortis le doigt de mon anus, je sentais parfaitement mon œillet ouvert.
Son regard se fit encore plus incisif. Puis mon autre main, prolongée par ce membre factice, passa derrière ma croupe et je posais le gland mouillé de ma salive à l’entrée.
Je suis habitué à ces pratiques et rapidement, je poussais l’objet dans ma gaine. Elle ne perdait rien du spectacle. Je jouissais de ses regards sur l’intimité de mon corps, de la façon dénuée de jugement avec laquelle elle m’observait, d’autant qu’un de ses doigts, maintenant, pénétrait lui aussi son anus frémissant
- Tu as l’air d’aimer ça ?
- Oui, dis-je, tout en continuant à me sodomiser, toi aussi !
Une fois le gode planté en moi, je me redressais. J’étais maintenant à genoux, empalé sur cette bite. Je me baisais avec des variations de rythme, dilatant mon orifice le plus possible. Parfois je le poussais tout au fond de ma gaine, mes fesses touchant presque la couverture. Ma bite coulait de plaisir. Je la pris en main pour la masser doucement, puis me branlait sans pudeur.

Elle me regarda et me dit :
- Cela serait dommage de perdre ta jouissance !
Et s’allongeant sur le dos, les pieds bien à plat sur le sol, elle redressa son corps en me disant :
- Encule-moi !
Ce que je fis pour son plus grand plaisir, elle était serrée et je pris beaucoup de plaisir, elle aussi d’ailleurs, alors que j’allais et venais en elle me dit :
- Ce qui est bon, c’est quand ce n’est pas prévu, je ne pensais pas me faire enculer en venant ici.
Je sentis mes entrailles bouillir et ma jouissance sortit à pleine puissance et lui inonda les entrailles.
- C’est trop bon ! dit-elle.
Je me vidais en elle en plusieurs jets épais, mon orgasme avait été très fort et le sien aussi.
Je me dégageais et repris une position plus normale, allongé sur la couverture. J’étais encore tout essoufflé par la violence de mon orgasme. Elle me regardait et me demanda :
- Je peux m’allonger à côté de toi ?
- Bien sûr, répondis-je, en lui faisant de la place.
Elle se blottit contre moi dans mon dos, nous restâmes silencieux quelques instants. Nous étions bien et je m’endormis.

Lorsque je me réveillais en sursaut. Elle n’était plus là. Je me levais pour voir si elle n’était pas un peu à l’écart, mais j’étais seule, elle était partie.
Je n’y suis jamais retourné à cet endroit, comme pour garder ce souvenir intact.

A suivre…

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