Et Tu Deviendras Chienne...
J'avais eu un paquet de mauvaises idées depuis quelques temps...
Je n'avais pas revu mon ex depuis presque un an et la revoir ne faisait pas partie des bonnes.
Pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'être excité a l'idée de passer un moment avec elle, était ce simplement de la joie ou vraiment ce sentiment de vengeance qui prédominait.
Je prenais soins de bien m'habiller, d'être a l'image de ce qu'elle aimait a l'époque et je prenais la route vers chez elle. Elle m'avait demandé de me garer au bout de la rue et pas devant son allée, histoire que les voisins ne remarquent rien pour ensuite aller raconter aux parents. Peut-être avait elle peur que son mec passe dans la rue aussi. Elle lui avait raconté que ses parents ne voulaient pas qu'elle sorte et qu'elle ne devait recevoir personne, elle approchait d'examens important, fallait qu'elle bosse.
Ca me faisait bizarre de refaire cette route.
Une route que j'avais empruntée des dizaines de fois. J'étais passé quelques fois devant chez elle en passant, pour aller voir, par curiosité, y aller pour la voir et passer la soirée était très différent. Je me garais au bout de la rue. Elle vivait dans un lotissement de villas bourgeois. Je lui téléphonais pour lui dire que j'étais dans la rue, pour qu'elle puisse déjà ouvrir la porte et que je ne perte pas de temps devant chez elle et être ainsi encore "repérable"
La maison n'avait pas vraiment changé, la même odeur caractéristique.
Elle portait un pantalon noir en tissu et un top blanc au dessus qui laissait deviner sa grosse paire de seins. Elle me parlait de l'école, de sa famille, je lui mentais sur mon boulot, ma vie, mes relations. Le temps passait , la conversation ne m'intéressait pas des masses. J'étais passé par des situations tellement compliquée a gérer que sa vie me semblait d 'un ennui total. Quelque part , j'enviais cette vie sans soucis, sans complications et pleines d'espoirs quand a un futur radieux et socialement bien intégré.
Elle recevait des messages depuis 20 minutes auquel elle répondait a chaque fois, surement son mec mais j'étais passé maitre dans l'art de faire semblant de rien en prenant un air détaché. Le téléphone vibra signalant l'arrivée d'un message qui apparaissait sur l'écran en partie, sans que l'on doive déverrouiller. Je pouvais juste lire: "j'ai encore envie de te la mettre dans le cul"
J'eu une vive excitation et un gros étonnement. Voila que cette salope prenait dans le cul maintenant, elle que cela n'avait jamais attiré a notre époque.
Quand elle revint, elle regarda son tel, je faisais toujours le détaché, elle esquissa un sourire a le lecture du texte. Je regardais les photos, j'en avais toujours rien a faire. Des photos d'elles tout le temps en maillot, a croire qu'elle avait envie de me chauffer.
On parlait un peu de la rupture, sujet compliqué et un peu tabou qui ne pouvait mener qu'a une dispute. La manière qu'elle avait eu de faire, ce qu'elle avait fait après que je ne pouvais pardonner. Comment finir une discussion pareil sans s 'en aller a nouveau faché. Je coupains court a cette partie de la discussion, cela ne changerait de toutes façons rien. Il était maintenant 1 heure du matin et j'abandonnais l'idée de la sauter, je me levais pour m'en aller. Je lui souhaitais une bonne nuit, bonne chance pour la suite et j'allais a pied rejoindre ma voiture a l'autre bout de la rue. Elle m'envoya un texto.
"Tu aurais pu rester "
" Cela se fait il quand on a un mec ?"
"Ca t'arranges du coup ?"
J'étais a la moitié du chemin, je regardais devant vers ma voiture, derrière vers chez elle...
Comme souvent , je prenais le mauvais choix et je retournais chez elle.
"j'arrive"
En arrivant devant sa maison la porte etait de nouveau entre ouverte, j'entrais directement, elle était debout contre le mur du couloir.
Elle eu un orgasme très vite, elle se mit a pleurer tout en jouissant. Elle commença a me dire qu'elle avait été salope avec moi, qu'elle s'en voulait etc etc etc...
"Je m'en fiche de tout ca, j'ai pas besoin de tes excuses ou tes lamentations" lui répondis je.
Elle me regardait les yeux en pleurs, étonnée de la réponse.
"Tu veux quoi de moi alors ?" Demanda t 'elle.
"Je veux que tu te tournes, je vais baiser ta chatte puis ton cul comme une chienne"
Elle eu une espèce de spasme qui lui secoua le corps, visiblement, elle aimait être traitée de la sorte a présent. Comme une soumise, elle se retourna toujours sur son escalier et se cambra pour m'offrir ses deux trous.
Je commençais par lui claquer les fesses avec de bonnes claques, je bandais comme un taureau. Je lui enfonçait ma queue doucement, sa chatte était chaude et trempée. Je commençais un vas et viens de plus en plus rapide. Pendant que la baisais, j'ecartais ses fesses pour bien voir son trou du cul. Je crachais bien au milieu une bonne dose de salive, chose que je n'aurais JAMAIS osé lui faire a l'époque.
"Prend moi par derrière"
Bien sur que j'allais le faire. J'enfonçais mon pouce dans son cul pour la dilater, la pute gémissait encore plus qu'avec une bite dans sa chatte. Je tapotais ma queue sur ses fesses avant de la glisser dans son anus. Son coprs se raidi a mort, elle avait mal. Je restais sans bouger , ma queue enfoncée a moitier.
"Vas y, défonce moi"
Quelle salope, je pensais...
Je me mis a la défoncer a mort, sans retenue, elle criait comme une chienne, elle en avait plus rien a faire de la discretion, je suis sur qu'on l'entendais crier dehors.
"Sale chienne, il est bon ton cul, grosse pute"
j'étais dans un état second, je sentais que j'allais gicler, je me retirais de son cul pour l'attr par les cheveux, me branler et lui envoyer la sauce en pleine face.
On restait ensuite plusieurs minutes l'un sur l'autre dans les escaliers qui devenaient hyper inconfortable.
"Faut que j'y aille"
J'étais un peu mal a l'aise, je regardais ma queue qui etait ensanglantée par son sang a elle,je lui avait vraiment défoncé le cul, plus que ce que je ne pensais surement. Elle, elle marchait mal, elle avait mal au cul et cette vision me procura un sentiments de domination totale. Je ne parvenais pas a penser quelque chose de positif sur elle, mes seules pensées était que je venais de demonter le cul de cette grosse pute.
Sans qu'on ne se dise plus rien, je sortais et regagnais ma voiture. Je m'attendais a un message de sa part mais ce ne fût pas le cas.
Les 15 jours qui suivirent furent spéciaux, j'avais quelques" plans cul boulot" avec des gars. Des mecs qui me sucaient uniquement, je n'étais pas en état d'accepter de donner mon cul, j'étais trop en mode domination.
Je n'avais pas eu de nouvelles de mon ex depuis. Je n'en n'avais pas donné non plus.
Je ne voulais faire ce "job". Maintenant que j'avais pas mal d 'argent devant moi, fallait que je me trouve un boulot normal.
Je sortais pas mal le soir, je sortais trop. Je fréquentais un bar du centre ville, toujours le même. Je liais connaissance avec une femme de 30 piges, sympa, pas moche, pas canon.
On discutait , on se rapprochait. A la fin de la soirée on s 'embrassait mais elle ne voulait pas encore aller plus loin , je me contentais de la ramener chez elle.
Elle me dit qu'elle bossait tôt demain et que c 'était dur, qu'il fallait qu'elle soit bien reposée.
"Tu fais quoi dans la vie ?" Lui demandais je ( je n'avais même pas pensé le faire avant)
"Je suis flic"
A suivre
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