Ah Les Sorties En Vélo !! (2)

Le lundi suivant le samedi mémorable où j’ai fais la connaissance de Maurice et Robert je trainais au boulot, tout était calme au labo et je n’avais pas de cours j’en profitais pour partir plus tôt et dans le train j’appelais Maurice qui me répondit : j’ai fini mon service plus tôt je suis chez moi passe si tu as du temps je te présenterai ma femme, me dit il, en riant. Je lui demandais alors l’adresse que je m’empressais de noter.
Arrivé à la gare je récupérai ma voiture et programmais son adresse sur le GPS. Quand j’arrivais devant chez lui je pu constater qu’il habitait une grande maison assez isolée. Je me garais devant le portail et sonnais : une voix de femme me demanda : qui est ce ? Je répondis André-pierre un ami de Maurice. J’entendis alors la voix de Maurice dire : j’ouvre le portail rentre ta voiture et va te garer derrière la maison. Une fois entré et passé derrière la maison je découvris Maurice qui m’attendait et me fis garer à côté de ‘un autre véhicule. Je descendis de voiture, Maurice en Short et T-shirt vint vers moi et comme je lui tendais la main il m’enlaça et me roula une pelle en me mettant la main au paquet puis me murmura : putain je suis très excité la journée a été calme ! En me palpant le paquet il sourit et me dit : t’as pas de slip ? Je souris et lui dis : non, je n’en mets quasiment jamais.
Il m’invite alors à entrer par une des grandes portes fenêtres sont ouvertes et donnent sur une terrasse immense, là je découvre une femme en robe d’été et mules à talons. Petite, moins de 1m60, cheveux courts grisonnants, forte et portant de petites lunettes. Maurice me présente en disant c’est André pierre un ami, et alors sa femme me fait la bise en me disant : enchantée moi c’est Martine. Pendant qu’elle me fait la bise elle se trouve collé contre moi et cela m’excite, j’adore le petites grosses bien mures. Je commence à bander et cela se voit dans mon pantalon de toile. Martine l’a vu sans doute car elle rougit.

Maurice qui a lui tout vu aussi sourit. Martine me propose un rafraichissement mais je lui demande si elle n’aurait pas plutôt du café. Me disant : bien sur, sans problème, puis elle sort de la pièce.
Pendant son absence Maurice ma palpe la bosse l’air excité et je remarque que lui aussi bande. Il me demande : tu as envie d’elle, tu veux la sauter ? Je lui réponds que j’adore le petites grosses bien mures et lui en riant me dit : vas y te gênes pas depuis le temps que je la baise plus elle va te sauter dessus. Martine revient avec un plateau et me sert un café. Je fais compliment à martine pour son café et sur sa robe qui lui va à ravir. Elle rougit et je la regarde au fond des yeux en souriant elle rougit alors et baisse le regard. Après quelques autres banalités Maurice lui dit : je te l’emprunte j’ai besoin de ses conseils pour acheter un nouveau vélo car je vais m’y remettre sur ses conseils. Maurice me dit : viens et il m’emmène au sous sol où nous passons par un atelier, j’y aperçois un vélo poussiéreux puis nous entrons dans une autre pièce meublée comme un petit salon et là de suite il me roule une pelle et ôte son short puis baisse mon pantalon. Je l’ôte alors complètement puis retire ma chemise et apparait nu, luisant, la queue raide.
Maurice bande comme un âne et me dit tout en me branlant : j’en pouvais plus ! J’ôte alors son T-shirt et lui mordille les tétons tout en lui malaxant les couilles pendant qu’il me branle frénétiquement. Je l’arrête et après lui avoir roulé une pelle je m’agenouille et le suce lentement en lui griffant doucement les couilles d’une main. L’autre main ne reste pas inactive et elle s’immisce entre ses fesses caresse son œillet puis j’y glisse un doigt doucement et Maurice pousse un gros soupir et en gémissant me crie : viens, baise moi maintenant ! Je me relève il se retourne, se plie en deux et écarte ses fesses avec ses mains. Sans rien dire je pose mon gland sur son œillet et attrapant ses hanches avec mes mains je pousse d’un seul coup avec un han de bucheron et m’enfonce jusqu’aux ras des couilles dans son cul.

Maurice a un hoquet et gémit, je reste un moment sans bouger, la queue moulée par son cul comme par un doigt de gant. Je commence alors à aller et venir en tirant sur ses tétons avec mes mains. Il gémit et tient ses fesses bien écartées avec ses mains afin que je puisse l’enfiler le plus à fond possible. Après plusieurs minutes de ce traitement il crie : oui, oui, et je le sens se raidir, son cul se serre sur ma queue. Il jouit et lâchant ses fesses il passe une main entre ses jambes et me malaxe les couilles, j’en peux plus je m’enfonce d’un dernier coup de reins jusqu’à la garde et jouit à mon tour. Je reste planté dans son cul jusqu’à ce que ma queue débande et glisse hors de son cul. Pendant ce temps je caresse doucement ses tétons. Une fois ma queue sorti j’aperçois du foutre par terre et Maurice me dit : putain c’était bon et il me roule une pelle en me tripotant la queue. Maurice essuie le foutre au sol puis nous nous asseyons dans les fauteuils présents et Maurice me dit : c’est mon baisodrome.
La pièce est assez vaste avec table basse, trois fauteuils et un canapé. Il y a des placards et au mur un écran large et dessous un meuble sur lequel est posé un téléphone. Pendant que j’inspectais la pièce du regard Maurice a sorti en souriant deux verres et du whisky d’un placard et un tube de gel. Il me demande alors si j’ai un peu de temps devant moi, je lui réponds que c’est possible, simplement il faudrait que je téléphone et mon sac est resté dans le salon. Il me dit : tiens utilise le fixe qui est là, j’appelle et tombe sur Josiane, je lui dis qu’elle et Monique ne m’attendent pas je rentrerai tard. Josiane me répond alors : ne t’inquiète pas on peut se passer de toi, à quoi je réponds que je n’en doute pas puis je raccroche. Maurice utilise alors le téléphone pour demander à Martine de mettre un couvert de plus et met le haut parleur. J’entends Martine lui répondre je m’en doutais pas de soucis. Il sourit devant ma surprise et il m’explique qu’à part le côté cul ils s’entendent très bien avec Martine.

Je lui dis qu’elle aurait pu demander le divorce quand elle l’a surpris avec un homme. Il m’explique que c’était il y a trois ans et que cela faisait déjà presque deux ans qu’il ne la baisait plus. Il ajoute tu sais nous avions 51ans et 28ans de mariage, Martine vient d’une famille bourgeoise catho pratiquante et nous n’avions pas d’s. Nôtre mariage se passait bien sauf côté cul, depuis on fait chambre à part et on vit comme frère et sœur pour le reste. Pendant qu’il m’expliquait cela Maurice se tripotait et caressait ma queue et nous sirotions tranquillement le whisky qu’il nous avait servi. Il recommençait à bander et venant se mettre debout devant moi me dit alors : suce moi j’ai envie ! Je m’exécutais et lui taillais une pipe lentement en malaxant doucement ses couilles, après quelques minutes de ce traitement il bandait ferme et moi même assez excité ma queue avait gonflée et s’était un peu redressée.
Maurice me fait alors mettre à genoux sur le canapé fesses vers lui les avant bras appuyés sur le dossier du dis canapé et écartant mes fesses il se met à genoux et me fait une petite langue fourrée et comme mon cul se détend et s’ouvre il prend le tube de gel et en tartine l’œillet. Il introduit alors un doigt et le branle puis un deuxième et tout en les branlant dans mon cul il m’att les couilles et tire dessus par petits mouvements souples. Ca y est je trique comme un fou, Maurice se relève et écartant mes fesses avec ses mains il pose son gland sur mon trou et pousse d’un coup. Ah putain que c’est bon, je sens sa queue entrer d’un coup et je serre alors le cul dessus. Il att mes hanches et commence à me limer le cul à grands coups lents. Cela dure longtemps, Maurice râle halète et gémit, puis je le sens d’un coup s’enfoncer et se coller contre moi et il râle en lâchant plusieurs jets de foutre. Il fait alors comme moi, tout à l’heure, et reste planté dans mon cul le temps de débander et que sa queue glisse d’elle même hors de mon cul. Il me dit alors assieds toi je vais te faire jouir puis s’agenouillant devant moi il me prend en bouche et me taille une pipe d’enfer.
Il m’amène jusqu’à la jouissance et s’arrête, il recommence ainsi plusieurs fois. J’en peux plus, je veux jouir, une fois encore il recommence mais là après s’être arrêté il prend juste mon gland en bouche et tourne sa langue dessus en me caressant les couilles très lentement. J’en peux plus j’explose de plusieurs longs jets en ferment les yeux le corps tendu comme un arc, j’ai l’impression de me vider. Maurice avale tout puis avec sa langue lèche mon gland comme une sucette, cela me donne des sensations presque douloureuses, le voyant il s’arrête alors et me roule une longue pelle.
Nous nous asseyons alors épuisés sur le canapé et Maurice me demande si j’aimerai prendre une douche avant de passer à table. J’acquiesce à cette proposition et il me dit en souriant viens, je le suis et nus nous sortons de ce petit salon et traversons l’atelier pour entrer dans une buanderie ou se situe une grande douche à l’italienne. Maurice me dit en souriant j’ai fait installer ceci pour être tranquille quand je baise ici. Nous prenons une douche bien chaude en nous tripotant mutuellement en riant et allons nous habiller pour remonter retrouver Martine. Elle me sourit et me dit j’espère que vous l’avez convaincu de refaire du sport, cela lui ferait du bien. Elle ajoute : vous on voit bien que vous êtes très sportif. Maurice sourit et lui dit : il est très costaud et de partout. Martine rougit et nous dit : passez à table je reviens. Maurice me dit alors en souriant: elle adore les grands costauds, elle aurait aimé à une époque que je sois plus sportif plus balaise. Mais tu vois la bonne chair, une vie assez sédentaire et un bon petit bidon est là. On passe à table et le repas se déroule agréablement je fais un rentre dedans effrayant à Martine qui rougit souvent. Maurice lui demande plusieurs fois de me tutoyer en disant c’est un ami ! Finalement en fin de repas, en riant elle me tutoie et quand je prends congé on se fait la bise et me collant contre elle je l’embrasse en glissant jusqu’aux coins des lèvres. Elle rougit mais n’ose rien dire. Maurice me raccompagne à ma voiture et là me dit : j’ai eu une idée, baises là soit nôtre amant à tous les deux cela sera plus facile pour baiser quand on veut. Tu pourras venir quand tu veux ! Je trouve l’idée intéressante mais je lui dis qu’il faudra que je les baise chacun de leur côté. Maurice me dit : bien sur, c’est comme cela que je l’entendais. Je prends congé avec une dernière pelle et rentre chez moi tranquillement excité par cette idée.

A peine arrivé je trouve Monique et Josiane en pleine action et je mate en me pelotant le paquet. Josiane qui m’a vu me dit : viens plus on est de fous mieux c’est ! Je lui réponds que je suis fatigué et que je vais me coucher pour être en forme au boulot demain. A ce moment là Monique arrête Josiane et me dit : on va partir demain pour un mois chez Josiane et j’ai prévenu Corinne qu’elle pouvait venir s’installer pour le mois avec toi, Michel fera le service. Je lui dis qu’elle a bien fait et leur souhaite bonne route et bon séjour car elles seront parties quand je rentrerai. Josiane me dit en souriant : au retour tu verras tu auras une nouvelle Monique, je ne te dis rien tu verras, puis elle me demande de raconter ma soirée car elle se doute que cela a du être « cochon ». Je raconte en détail puis je vais me coucher, elles sont très excitées et à peine suis-je parti qu’elles reprennent ce qu’elles faisaient quand je suis arrivé. Je vais me coucher et m’endors rapidement en rêvant à ce que je pourrais arriver à faire avec Martine, la femme de Maurice.

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