Leslie Hs18

Leslie HS18 – Hors-série – Nicole, une architecte, mais pas que

- Allo ? Nicole ? C’est Leslie. Ça te dirait que l’on aille prendre un verre quelque part ?
Cette phrase, je ne pensais pas la prononcer un jour…
Nicole est une architecte avec qui je travaille de temps en temps, une très bonne relation dans le cadre professionnel. Femme extravertie et libertine, vivant seule, elle me faisait des avances au cours de nos différentes entrevues, en m’expliquant que vie doit être vécue et tenter toutes les expériences.
C’est certain, je plais beaucoup à Nicole, et elle ne se prive pas de me le dire, et je pense qu’elle désire me mettre dans son lit.

La réponse de Nicole est immédiate :
- Bonjour ma chérie. Comment vas-tu.
- Bien, merci. Que penses-tu de ma proposition, je suis disponible toute la journée de demain et je serais très heureuse de passer un moment avec toi
J’ai la sensation, en disant cela, de l’inviter directement dans mon lit.
La réponse ne se fait pas attendre :
- Avec plaisir. Que dirais-tu de onze heures trente au petit restaurant où on déjeune habituellement, je t’invite, d’accord ?
Mes doigts tremblent et l’émotion me gagne. Péniblement, je dis :
- Ok, a demain
Et je raccroche aussitôt !

Le réveil sonne, il est six heures..
J’ai passé la nuit à fantasmer et j’ai très mal dormi. Alors je reste bien au chaud au fond de mon lit.
Je ferme les yeux et visionne Nicole, cette belle rousse qui me tente tant.
Je me caresse un peu, presque sans le vouloir. Immédiatement le plaisir prend possession de mon ventre. D’une main je branle mon sexe gonflé et de l’autre je titille la pointe de mes seins. Ma jouissance est rapide tant les images que je m’invente sont chaudes. Je me surprends à dire « Nicole ! » au moment de jouir.
Puis dans la matinée, après un café, je tourne en rond, après une bonne douche, je m’habille avec une robe légère fermée sur le devant par des boutons, pas de soutien-gorge et enfin, une petite ceinture pour dessiner ma taille.

Dehors il fait froid, je passe des bas tops et un petit string presque assorti à la robe. Une belle paire de cuissardes, mon long manteau en veau retourné et me voilà prête.

J’arrive au petit restaurant, un peu en avance, où nous avons souvent mangé avec Nicole lors de nos séances de travail, je suis la première et je choisis une table discrète dans la salle du fond et commande un whisky, histoire de patienter
Mon petit cœur s’emballe lorsque je la vois franchir la porte. Tous les yeux se retournent vers elle…
Et pour cause. Elle est vêtue d’un petit blouson de cuir noir, ouvert sur un bustier rouge à lacets qui serre sa poitrine et d’une mini-jupe de la même couleur. Bien sûr, ses bas sont résilles et elle chausse des talons hauts.
- Houa ! Bonjour ma chérie ! Qu’est-ce que je suis contente de te voir ! T’as vu tous ces beaux mâles au comptoir ? J’en ferais bien mon quatre heures.
- Chuttt ! Arrête, enfin ! Ils pourraient t’entendre !
- Oh ! Mince, t’a raison. Alors quoi de neuf, raconte-moi ?

Finalement, nos vies trépidantes et passionnantes donnent des sujets de discussions et meublent le repas, ainsi nous parlons de nos conquêtes et de nos aventures.
Arrivé au café, elle se lève et vient s’asseoir près de moi sur la banquette. Elle passe son bras autour de mes épaules et me presse légèrement contre elle.

- J’ai l’impression que ça ne va pas bien toi ?
- Si, ça va, enfin ça pourrait aller mieux. Tu sais Laure est retournée aux States pour plusieurs jours et mon boulot me crève, ce n’est pas évident.
- En fait tu es en manque !
- Nicole !
- Ben quoi, c’est important le sexe dans la vie.
- C’est vrai, depuis le départ de Laure, c’est le désert en ce moment, je n’ai même pas envie de sortir.
- Allez, viens, on s’en va, je t’emmène chez moi !

Nous arrivons chez elle, je suis toute excitée et je lui donne mon manteau.
- Installe-toi, je vais faire un café.

Je m’installe dans le canapé, et elle revient avec deux tasses bouillantes, puis elle s’assoit près de moi, bien au fond du canapé. Nous buvons notre café en nous regardant, puis elle me dit :
- Viens près de moi !
Je m’enfonce dans le cuir et elle se rapproche de moi. Comme au restaurant, elle passe son bras autour de mes épaules. De son autre main, elle caresse délicatement ma joue.
- Alors, ma chérie ! Tu as est triste ? Détends-toi, regarde, tu es raide comme un bâton.
Si elle savait, j’ai aussi le sexe raide, mais c’est une surprise pour plus tard…

Elle prend ma main et la pose sur sa cuisse. Sa jupe est si courte qu’elle la pose sur son bas. Sous mes doigts je sens la résille qui gratte un peu. À son tour, elle pose sa main sur mon genou et remonte très lentement, en petites caresses, sur ma cuisse. Elle passe sous ma robe. Je suis terriblement excitée
Je tourne la tête et je plonge dans ses yeux. C’est ce que je pensais, Nicole me désire, son regard est envoûtant, captivant et empreint d’un désir qu’elle se refuse à dissimuler.
De nouveaux frissons me parcourent, je me sens perdue, mon envie d’elle, de sexe se font si fort, il me semble perdre la raison, que je perdre pied et je vais me jeter à corps et à cris dans le plaisir avec Nicole.
Elle sent mon désarroi, mon désir pour elle, alors que je veux lui parler, elle me dit :
- Tais-toi ! Embrasse-moi !
Mais elle ne me laisse pas le temps de réagir, devançant mon mouvement pour rejoindre ses lèvres, c’est elle qui vient au-devant en se penchant vers moi. Ses lèvres touchent délicatement les miennes, puis sa langue se fait présente et c’est tout naturellement que j’entrouvre ma bouche et nos langues se mêlent intimement aussitôt. Très vite nos baisers deviennent fougueux et je me surprends à glisser mes doigts dans sa crinière rousse.

Encouragée par ma fougue soudaine, je sens ses doigts qui dégrafent fébrilement les boutons de ma robe.
Le tissu qui s’écarte doucement laisse pénétrer un air plus frais. Je sens la pointe de mes seins se durcir et grossir en un rien de temps.
Ses petits doigts agiles descendent encore plus loin faisant sauter un à un les petits boutons. Elle s’arrête à la barrière de la ceinture et pose doucement la paume de sa main sur mon ventre. Celui-ci se rétracte de plaisir.
Puis, tout en m’embrassant, elle remonte cette même main vers ma poitrine, maintenant nue à ses caresses et en demande d’amour, elle prend un de mes seins, l’écrase et le malaxe gentiment dans sa main. Sa bouche quitte la mienne et lèche mon menton, mon cou, arrive aux seins et titille de sa langue un des deux tétons. Quelle douce sensation.

Je sens ses cheveux parfumés encore de l’odeur de shampoing. Dans cette position, son dos m’est offert et j’y passe ma main. Une à une je fais sauter les agrafes de son bustier qui bientôt pend au bout de ses bras. Agilement, elle s’en dégage et le fait voler au milieu de la pièce. Désormais je caresse la peau douce de son dos, alors que délicatement, tout en léchant et aspirant mes seins, elle dénoue ma ceinture et fait sauter les quelques boutons qui restent. Doucement, elle écarte les deux pans de ma robe et me voilà nue ou presque, offerte à cette magnifique libertine.
Elle se redresse soudainement en disant en disant :
- Mon dieu ! Tu n’es pas une femme !
- Non je suis une ambigüe, j’espère que tu ne me rejetteras pas ?
- Bien-sûr que je vais te garder et vivre un bon moment avec toi !

Pour me faire comprendre qu’elle me désire et que rien ne l’empêchera de me garder, elle me caresse un sein, tandis que de son autre main elle caresse mon corps de bas en haut. Ni trop fort ni trop doucement. Sa main est douce et ses doigts épousent toutes les courbes de mon anatomie, du genou jusqu’à la joue.
Elle glisse entre mes cuisses, appuyant peut être un peu plus sur le fin tissu qui sépare ses doigts de ma verge que je sens dure et dégoulinante de plaisir et d’envie.

Son visage s’approche du mien et, une fois de plus, nous partageons un délicieux baiser, nous mordant légèrement les lèvres, fouillant notre palais en faisant tourner nos langues dans une danse frénétique et savoureuse. Nos corps se sont rapprochés et ses seins frôlent les miens. Je me redresse, je me tends vers cette femme, afin que nos mamelons se frottent avec forces et vigueur. Je sens ses tétons dressés, durs et fiers rouler sur ma poitrine comme elle doit sentir les miens, prêts à exploser de bonheur.

Sa bouche une fois de plus quitte la mienne et descend, descend toujours. Elle glisse jusqu’à se retrouver à genoux entre mes cuisses. Je suis vaincue et me laisse guider par cette experte du plaisir. Sa langue court et frétille sur l’intérieur de mes cuisses me provoquant des sensations dans mon corps avide.
Un doigt malin écarte le petit triangle de mon string, mon sexe se redresse et sa langue chaude touche directement mon gland gonflé. C’est comme une décharge électrique, un feu d’artifice. Mes mains agrippent sa chevelure et poussent son visage vers mon intimité.
Sa bouche s’ouvre et je sens mon sexe glisser à l’intérieur, et Nicole commence à me sucer de façon langoureuse et divine.
Je ne me sens plus moi-même, je ne sais plus si je suis homme ou femme, ou plus simplement un être humain, avide de bonheur et de plaisir intense.
- Ohhh oui ! Nicole ! Continue, je t’en supplie, continue !
Ce matin en me levant, j’étais à cent lieues de penser prononcer cette phrase.
Mes yeux mi-clos, observent malgré tout mon bassin qui ondule vers la bouche gourmande. Elle me suce avec application, et savoir-faire.
Je me redresse sur le cuir, le corps cambré et je pétris mes seins comme une folle, la tête en arrière en poussant des râles de plaisirs.

Puis, recevoir ne me suffit plus, je veux lui donner aussi du plaisir, alors je me dégage de son étreinte et l’allonge sur le canapé avant de plonger entre ses cuisses.
Sous la petite jupe rouge qu’elle porte toujours, cette salope ne porte rien, pas de culotte la vulve glabre nue à la vue du premier venu.
J’écarte ses grandes lèvres de mes doigts. Je vois son intimité humide palpiter au gré de mes caresses. Je plonge mon visage et tombe très vite en extase en dégustant son doux nectar féminin.
Nous nous engageons dans un soixante-neuf digne des plus grands films pornos. Nous frottons nos corps, nos mains courent, fouillent et c’est ainsi que je ne me suis aperçue, après plusieurs minutes, qu’elle fouillait mon anus de son index.

Nous roulons, nous nous cambrons et finalement elle se retrouve sur moi, en m’embrassant et en frottant sa vulve dégoulinante contre mon sexe raide.
Mon cœur bat la chamade comme jamais.
Je transpire, j’ai très chaud. Je pense que le stress du début sort et dégouline de tous les pores de ma peau. Elle, semble radieuse, détendue et en pleine forme.
Elle se lève, quitte sa jupe qui sans doute la gêne et d’une voix guillerette me propose un verre de champagne, que j’accepte bien volontiers.

Puis après avoir dégusté nos verres, sans cesser de nous embrasser, elle prend les flutes et les pose sur la table basse.
Elle se tourne vers moi, prend mon visage dans ses mains et plonge ses yeux au plus profond des miens.
- Je n’en ai pas fini avec toi ma mignonne ! Me dit Nicole
Elle me prend par les épaules et me fait allonger sur le tapis, prends mon sexe dans sa main et commence à le branler pour lui redonner de la vigueur.
S’aidant de sa bouche Nicole a tôt fait d’avoir mon sexe bandé en main, alors elle se soulève et se place au-dessus de mon membre et lentement elle s’empale dessus jusqu’à buter sur mes couilles.
Puis elle pose ses mains sur mes épaules pour se servir d’appui, ferme les yeux et remonte avant de se rasseoir de nouveaux sur mon sexe.
La voir ainsi se faire l’amour avec moi, m’excite. Je sens son plaisir l’envahir au fur et à mesure qu’elle se baise. Et au moment de jouir elle se penche vers moi pour prendre ma bouche et enfouir son cri dans ma gorge.

Mais Nicole n’est pas fille à prendre seule du plaisir, avec habileté, je sens les doigts de mon amie pénétrer mon anus. D’abord surprise, je me laisse posséder par cette caresse, et à mon tour je me laisse aller dans le plaisir que m’offre Nicole.
Je ferme les yeux et me surprend à enchaîner plusieurs petites jouissances à la suite.
Je suis tellement bien dans mon plaisir que je ne me suis même pas rendue compte que Nicole ne me touchait plus. Quand j’ouvre les yeux, un sexe d’homme énorme est planté devant mon nez.
- Fais-moi une pipe !
Nicole est debout et flanquée d’un gode-ceinture, amusée, elle me regarde en riant de mon étonnement en disant :
- Tu pensais sue j’allais te laisser ainsi !
Je prends le sexe de plastique entre mes lèvres et commence à le sucer.
- Ça te plaît ça, hein, petite salope ? Tu voudrais bien que ce soit un vrai mâle en rut que tu suces, hein ?
Sa façon de me parler m’excite et je m’agite de plus en plus fort sur la queue factice, Nicole m’excite et elle le sait bien. Soudain, elle change de ton, me fait mettre à quatre pattes et passe derrière moi.
- Ne bouge pas, belle Leslie ! Je vais te baiser comme une reine !
Arrivée derrière moi, elle m’appuie fortement dans le dos pour me faire cambrer au maximum et je sens alors des gouttes froides d’un liquide tomber sur mon anus, qu’elle étale et fait pénétrer aussitôt.
Et avant même que je ne puisse réagir, je suis prise en levrette par le sexe plastifié de mon amie. Elle a agrippé mes hanches et donne de longs et puissants coups de reins. L’objet s’enfonce en moi de toute sa longueur. Nicole semble transcendée par cet état de chose. Je n’ai même pas eu le temps d’être surprise. Le plaisir est immédiat et je pars dans une série d’orgasmes.
- Tiens salope, prends ça ! Tu aimes te faire enculer, avoue !
- Oh oui, Nicole ! Encule-moi ! C’est bon ! Ne t’arrête pas ! Encore !
- T’inquiète mon ange, tu vas en avoir pour ton déplacement.
- Ohhh, Oui !
Nicole m’encule à fond, L’engin glisse en moi, doucement d’abord et prend de la vitesse au gré des coups de reins de Nicole. Je me fais défoncer comme une reine.
Je perds la tête et pousse des cris de jouissance. Je tremble, j’ai chaud, j’ai froid, je ne sais plus où je suis, je perds les pédales et mes muscles se relâchent. Puis d’un coup, plus rien. Le trou noir.

De l’eau fraîche coule sur mon front d’un linge mouillé.
- Là ! Ça va aller, respire doucement.
Je suis sur le dos, Nicole est penchée sur moi. Je ne trouve à dire qu’une chose :
- C’était si bon…
- Ben oui, j’ai vu ça ! Tu t’es tombée dans les pommes. Tu as disjoncté ma belle. Tu sais que c’est très rare ça ? Tu peux te dire que tu as beaucoup de chance. J’en serais presque jalouse !
Elle s’allonge près de moi, m’enlace et m’embrasse tendrement, et dit :
- Reprends des forces car tu vas m’enculer !

A suivre…

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