Ah Les Sorties En Vélo !! (3)

Josiane et Monique sont parties depuis deux jours et Corinne est venue s’installer à la maison avec Michel qui fait la bonniche pour nous dans sa tenue de soubrette. Je n’ai pas eu de nouvelles de Maurice et je lui ai laissé deux messages, j’attends qu’il me réponde. Cet après midi nous faisons les courses avec Corinne quand je croise Robert avec une femme assez grande épaules étroites, petits seins, hanches larges cul rebondi et longues jambes très galbées et pleines, cheveux longs en chignon. Je suppose que c’est sa femme dont Maurice m’a parlé, elle a l’air d’avoir 40ans, Robert fait plus jeune qu’elle. Je me dirige sur Robert et en souriant lui dis : bonjour Robert, quelle surprise. Sa femme en souriant lui demande tu nous présente, Robert, un peu pâle, me désignant lui dit : c’est André pierre un ami de Maurice. Il ajoute alors : Agnès, ma femme.
C’est alors que Corinne arrive et je lui dis : je te présente Robert, un ami, et sa femme Agnès. Puis j’ajoute : Corinne, ma femme ! Corinne a rougit et m’a regardé à la dérobée fière de ma réponse. Les deux femmes se serrent la main et Corinne sert alors la main de Robert en lui souriant, ce qui n’échappe pas à Agnès. Cette dernière me dit alors : Robert ne parle jamais des ses amis, à part un peu de Maurice, j’aimerai bien élargir nôtre cercle d’amis, puis elle ajoute : êtes vous libres demain soir ? Vous pourriez venir diner on ferait plus ample connaissance ! Je réponds que c’est d’accord et nous prenons congé. A peine avons-nous tourné l’angle et emprunté une autre allée du magasin que Corinne me dit en se serrant contre moi : J’ai adoré que tu me présente comme ta femme, puis elle ajoute : tu as vu c’est sa femme qui porte la culotte et tiens le manche et elle m’a l’air un plus âgée que lui.
Je lui raconte alors ce que Maurice m’a raconté et elle rit en disant : j’imagine bine cette salope avec son air de ne pas y toucher en train d’enculer son mari, de le traiter comme une lope.

Je lui pelote le cul en lui disant : tout cela m’a excité ! Elle me répond tout bas : je n’ai pas de culotte, allons baiser dans les toilettes. Là je lui dis en souriant : celles de hommes où celles des femmes. Elle me dit : chez les femme c’est plus risqué et plus marrant. Nous nous dirigeons vers les toilettes femmes, je reste à la porte avec le chariot et Corinne vérifie s’il n’y a personne et nous nous enfermons dans une cabine. Là je baisse mon pantalon, Corinne lève sa robe, s’assoit sur la cuvette et commence à me sucer. C’est trop bon je la fais mettre à genoux sur les WC avant bras posé sur le réservoir et je l’enfile tout de go. Elle gémit et je la lime alors à grands coups pendant qu’elle gémit et me dit : vas y, bourre moi à fond, j’aime ta queue, je t’aime !! Rapidement nous jouissons ensemble trop excités par la situation puis nous nous essuyons et nous réajustons avant de sortir de la cabine.
En sortant nous tombons nez à nez avec une femme d’environ 70ans qu’il me semble connaître. Elle nous regarde puis nous sourit, à nôtre grande surprise. D’un coup je me souviens d’elle : c’est la patronne de la librairie-maison de la presse de Bxxxxxx, où j’ai mes habitudes. Nous lui sourions et sortons en riant. Nous finissons les courses tranquillement et quand nous sortons sur le parking nous croisons ma libraire qui s’approchant de nous me demande : vous faîtes cela souvent ? Je suis consterné et Corinne lui répond en souriant : on baise tout le temps et n’importe où. Ma libraire rit et s’éloigne. Nous rentrons et laissons Michel s’occuper des courses. D’un coup le téléphone sonne et Corinne décroche et me tend le combiné en murmurant : un certain Maurice pour toi. Je souris et prenant le combiné j’entends Maurice me demander si je peux venir et il ajoute que je ne serais pas déçu. Je lui dis que c’est d’accord mais que je ne reste pas ce soir que je lui expliquerai.
J’explique à Corinne qu’il faut que je passe chez un nouvel ami, Maurice mais que je serai de retour pour 20h.
Elle me dit, souriant : garde des forces, puis elle me malaxe le paquet en me disant dépêche toi. Je pars rapidement et arrivé chez Maurice, sa femme, Martine, me fait la bise et me dit : Maurice m’a raconté que vous lui aviez demandé si cela l’embêterait si vous essayez de me séduire car vous aviez envie de moi. Là je reste sur le cul et Maurice sourit. Martine calmement me dit : Maurice m’a alors proposé de coucher avec vous en me disant qu’il avait bien vu que vous me plaisiez et qu’il préférait que ce soit vous qui deveniez mon amant régulier car vous étiez un ami et que cela serait plus simple. Là Maurice prenant la parole en souriant me dit : à ce moment là je m’attendais à une engueulade et un refus véhément mais à ma grande surprise elle a dit oui en disant qu’il y avait un moment qu’elle avait envie de prendre un amant mais était embarrassé pour en trouver et choisir un avec qui les choses seraient simples vis-à-vis d’elle et moi.
J’étais consterné et le devins encore plus quand elle me dit : Maurice vous apprécie beaucoup et moi aussi vous pourrez être comme chez vous et venir quand vous voulez, cela sera plus simple. Je lui demandais alors quand pourrions nous concrétiser et là elle me surprit en disant : de suite si vous avez le temps. Je lui dis que c’était impossible ce soir mais que je pourrais venir après demain car on sera samedi et que je pourrais être libre la journée. Maurice dit alors : c’est parfait je suis d’astreinte ce samedi ! J’embrasse Martine sur les joues et lui murmure : j’ai hâte d’être à samedi puis je sors avec Maurice pour regagner ma voiture. Arrivé à cette dernière Maurice me roule une pelle et me dit en souriant : il parait qu’avec ta femme vous allez prendre l’apéro demain soir chez Robert ? J’acquiesce surpris et Maurice me dit : Robert m’a appelé, il est un peu inquiet, puis il ajoute : fais gaffe sa femme est autoritaire et assez garce, Robert ne veut pas qu’elle apprenne pour nous. Avant de prendre congé je lui dis : elle n’est pas plus âgée que lui ? Maurice sourit et me dit : si Robert a 37ans et elle 45ans de plus elle vient d’une famille qui a de l’argent et elle tiens Robert avec cela aussi.
Je souris et monte en voiture pour rentrer car Corinne va m’attendre.
A peine arrivé je la trouve assise robe relevée avec Michel à genoux entre ses cuisses qui la fait jouir avec mains et langue. Je mate en me pelotant le paquet et dès que je bande je passe derrière Michel et trousse sa jupette de soubrette et l’enfile tout de go, il n’a pas de culotte et porte sa cage de chasteté. Je le baise longuement et Corinne me crie ne jouit pas ! Ton jus est à moi ! Soudain Corinne jouit de façon bruyante et moi, sentant que je vais en faire autant, je sors ma queue du cul de Michel qui se réajuste alors et file finir de prépare le repas et mettre la table. J’ai la queue raide tendue, j’aurai aimé jouir ! Corinne vient vers moi et me caresse les couilles en me roulant une pelle et me dit : ce soir ton jus est à moi, c’est moi qui te ferait jouir. Nous dinons tranquillement et filons ensuite au lit, Corinne me fait alors allonger et me suce en me doigtant doucement le cul. Elle masse ma prostate tout en gardant juste mon gland en bouche et tournant sa langue autour. Son autre main me malaxe doucement les couilles, je me laisse faire et quand je vais jouir elle s’interrompt, laisse retomber l’excitation et recommence. Elle fait cela plusieurs fois de suite et j’en peux plus d’un coup je lâche de longs jets de foutre tout en jouissant de façon intense. J’ai l’impression d’une jouissance qui n’en finit pas. C’est le massage de la prostate en plus de la pipe et du malaxage de couilles qui cause cela. Je finis par retomber, Corinne, qui a tout avalé, me roule une pelle poisseuse à souhait et me dit : fais moi jouir ! J’entreprends de lui travailler l’entrejambes avec langue et doigts. De deux doigts d’une main je branle doucement sa chatte baveuse à souhait et avec ma bouche j’aspire et suce son clito. Après plusieurs minutes, alors qu’elle commence à jouir je suce un doigt de mon autre main et lui enfonce doucement dans le cul dès qu’elle commence à jouir, là elle jouit encore plus et plus fort en hurlant.
Du jus poisseux coule de sa chatte et soudain elle serre les cuisses, se raidit et hurle. Cela dure un long moment puis elle se détend retombe et d’un coup avec ses mains elle écarte ses grandes lèvres et me pisse dessus en soupirant d’aise. Elle rit alors et me dit : allons nous doucher. Au passage on constate que Michel a tout nettoyé et rangé puis est parti se coucher. On se douche ensemble puis on change les draps et on se couche enlacés, Corinne me dit : j’ai hâte d’être à demain soir pour voir ce que l’on peut tenter avec les deux autres. Je l’embrasse et lui dit : dors, on verra bien !

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