L'Odyssée - 4 (Fin)
Enfin les Dieux consentent à mener à Ulysse à Ithaque. Le navire poussé par ses rameurs est un peu ralenti et une nuit des chant mélodieux les laissent réveillés. Ulysse ordonne à l'équipage de cesser l'avancer. Lorsque le navire est arrêté il est envahi par un horde de Sirènes. Par crainte et pas peur, Ulysse se fait attacher au mat du navire. Ils regarde la suite avec regret.
Les Sirènes ressemblent, quand elle sont dans l'eau, à des femmes avec une queue de poisson. Hors de l'eau elles sont disons normales, si on excepte leur faim de sexe. Elles sont peu portées sur la gaudriole entre elles ou alors pas manque flagrant de plaisir.
Les matelots sont contents, sûr de pouvoir tirer un bon coup avec ses dingues de foutre. Chacun d'eux à la visite d'une sirène. Au début, encore plein de manque, comme tout marin, ils se précipitent vers les corps ondulants. Ces femmes spéciales leur donnent au début leur mamelles à lécher, sucer, mordre. Elles caressent déjà la queue de leur futur amant. Elles ne masturbent surtout pas. Les mains se dirigent toutes entre les fesses des matelots. Elles ne cherchent que le entrée particulières. Mais certains de ces hommes n'aiment pas tellement ce genre de pénétration, même si elles sont excitantes pour les sirène.
Elles se laissent fouiller en haut du pubis. Les mains de là descendent encore vers les endroits plus chauds, plus réceptifs, plus pénétrables. En restant sur son banc, un des marins fait venir sa future amante sur les cuisses. Il agit avec elle comme avec une femme normale. Il veut la faire jouir, elle avant lui. Il entame ses manuvres par un massage en rond du clitoris. Il envoie la sirène dans le paradis dÉros.
Elle ne fait que dire des oui, oui, encore....Il obéit même si sa queue est dure. Il entre deux doigts dans le vagin plus qu'humide. Il la doigte un bon moment pour la faire encore et encore jouir. Elle ne tient plus en place. Elle entame même un chant comme seules savent le faire les filles de sa race.
Elle se retourne, le dos face au poitrail du marin, elle se pousse contre lui, sens la queue dans la raie de ses fesses. Ce n'est pas là quelle le veut. Elle se lève à peine pour que le gland soit sur son sexe. Elle se laisse aller pour être enfin pénétrée. Lui se plie un peu avant : la pine est bien mise, elle entre facilement dans le vagin offert. Une lente danse commence : ni l'un ni l'autre ne veut un plaisir immédiat. Elle se laisse aller malgré elle à un orgasme, elle se tourne pour faire face à son amant : elle le prend directement dans sa moule à nouveau. Ils s'embrassent pendant toute la durée de leur liaison. Elle jouit plusieurs fois, pire qu'une femme normale. Quand il lui donne sa semence, elle se lève pour disparaître dans la mer.
Ulysse se fait libérer : il ne risque plus rien, les sirènes sont toutes dans l'océan.
Ainsi Ulysse reviens à Ithaque.
Il pensait bien trouver Pénélope au port.
Pénélope est dans sa chambre. Elle rêve à des amants imaginaires crées par Éros rien que pour elle. Sa nudité ouvre son sexe à sa main. Elle en touche les bords, comme pour vérifier quil est toujours là. Les lèvres sont les premières à recevoir ses doigts. Ils passent ensuite vers le haut pour écarter les lèvres, faire bander et ressortir le clitoris. Elle le caresse doucement, le fait encore bander, le caresse plus vite, a un premier orgasme, recommence sur le bouton pour avoir un autre orgasme ; elle est poussée vers sa raie. Il y a un bon moment qu'elle ne s'est pas toucher l'anus. Elle le caresse en profondeur : le doigt entre. Pénélope se masturbe le cul. L'autre main revient sur le con où elle entre à son tour. Pénélope ne sait pas de quel endroit vient sa jouissance.
Ulysse arrive au moment où elle se crispe sous sa caresse. La voir ainsi, Ulysse fait ce que tout homme raisonnable ferait : il est sur elle, la bite droite. Après une petit cri de surprise elle ouvre sa bouche pour recevoir dignement son mari.
Sa langue refait les même mouvements qu'au paravent.
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