Une Journée Ordinaire (Suite)
Le soir, quand tu rentres, je te remercie comme prévu, seins nus, tétons déjà durs, à genou devant la porte dentrée, je te souris, gourmande...
Dès que tu passes la porte, tu tarrêtes, à deux mètres de moi, tu me souris, carnassier. Tu me fais attendre quelques secondes, le temps de poser sa sacoche dordi, poser ta veste, déboucler tranquillement ta ceinture, tu déboutonnes un par un des boutons de ton jean, tu dégages ta queue qui ne demandait que çà, je ladmire et jen salive davance
« Allez viens, viens vers moi, à quatre pattes, bouge bien ton beau ptit cul
viens toccuper de moi. »
Javance très lentement vers toi, une main après lautre, ne quittant pas ma cible des yeux, je sais que tu regardes mes seins qui tanguent, mon cul qui se balance de gauche à droite, serré dans le jean. Quand jarrive près de toi, je me redresse, à genou, je caresse mon visage sur ton membre dressé, palpitant, je lembrasse, le respire, le titille du bout de la langue, ma main droite caresse tes boules si douces, pleines de promesses, jatt ta verge de la gauche, la guide vers ma bouche humide.
Tu me caresses les cheveux, me dit comme tu aimes, comme tu maimes, comment cest bon dêtre aussi bien accueilli chez soi
je sais que tu te rends compte de la chance que tu a, comme je sais la chance que jai
Je moccupe de ton gland, pose mes lèvres fermées dessus, un petit coup de langue pour déguster la première goutte de ton jus, je resserre les lèvres et me pénètre de ton dard, doucement, fermement, comme tu aimes
tout doucement jusquau fond de ma gorge, ton sexe me remplit
puis
Ai-je besoin de me perdre en détail ? Je te fais une bonne pipe comme tu aimes
assez vite tout de même parce quà genoux sur le carrelage, cest pas terrible pour le confort
donc jaccélère le mouvement, ma bouche, ta queue, mes mains, tes couilles, jaccélère jusquà ce que tu viennes, je te sors de ma bouche, tu prends ta queue en main et dirige tes longs jets sur ma poitrine offerte
Et toi lecteur, jespère quà cette lecture, tu donnes un dernier coup de poignet et que tu balances la sauce, ma bouche ouverte attend
Et toi, lectrice, tes doigts qui sagitent entre tes jambes, poussent-les un peu pour que ma langue se glisse dans ta belle fente humide, je glisse un doigt dans ton petit trou serré, deux ?
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