Leslie Hs19

Leslie HS19 – Hors-série – Karen, la vendeuse à domicile

Un jour, alors que je travaillais à la maison, au calme, en kimono en soie blanche et des mules assorties aux pieds pour être à l’aise dans mon travail, vers onze heures, on a sonné à la porte d’entrée de l’appartement, je me suis levée et je suis allée ouvrir. Une jeune femme se tenait sur le pas de ma porte.
- Bonjour, je suis vendeuse à domicile et j’ai des petites choses à vous proposer, mais je peux repasser plus tard si vous êtes occupée…
- Non, c’est bon, je vous en prie, entrée, vous ne me dérangez pas et j’allais faire une pause-café.
- Merci, dit-elle en entrant.
- Vous en voulez un ?
- Volontiers, merci.
- Je m’appelle Leslie !
- Et moi Karen !

Karen est une jeune femme de vingt-cinq ans, environ, avec du charme. Dans les un mètre soixante-cinq, mince, peut-être cinquante kilos, brune aux cheveux longs. Une certaine sensualité émane d’elle et en la regardant je trouve son corps bien proportionné, cuisses et seins juste comme il faut, un ventre plat et un fessier à damné, cambrée elle a certainement fait beaucoup de sport dans sa jeunesse et encore peut-être maintenant.
De la cuisine je lui demande :
- Vous prenez du sucre, Karen ?
- Oui, deux.
Je suis revenue avec le plateau et me suis installée dans le fauteuil en face de Karen qui, elle était sur le canapé, en disant :
- Alors qu’elle me vaut l’honneur de votre visite ?
Karen m’a regardé de haut en bas, et ses yeux verts sur mon corps ont provoqué un léger sentiment de gêne, il y eut un petit blanc de quelques secondes, suffisamment long pour être remarqué en tout cas.
Un peu mal à l’aise en poussant un petit gloussement d’adolescente, certainement troublée, tout en jetant un regard sur mes jambes, elle me dit :
- Je suis vendeuse à domicile de lingerie !

Karen était vêtue d’un tailleur beige qui rehaussait ses formes, et son chemisier noir s’ouvrait sur un décolleté carrément érotique, ses seins étaient prêts à sortir de leurs balcons au moindre mouvement brusque, un véritable appel au plaisir.

Je dois avouer que ça m’a fait beaucoup d’effet, et mon tempérament de coquine s’est doucement réveillé.

Je me suis assise près d’elle pour qu’elle me présente les différents catalogues de lingerie. Mes yeux étaient braqués sur sa poitrine et je me penchais régulièrement sur les pages de magazine pour humer son parfum, une odeur de pêche et d’épices venant directement de sa peau blanche. J’ai senti mon string se tendre sous l’effet de mon sexe qui se réveillait, lorsque son genou s’est collé à mes jambes.

La situation était chaude, je n’avais pas retiré ma jambe toujours au contact de genou de Karen, et je sentais le contact de son genou s’accen progressivement et sa main caresser furtivement ma cuisse chaque fois qu’elle tournait une page.


Je sentais son parfum m’envouter à mesure qu’elle se rapprochait de moi, j’étais furieusement excitée.
La jupe de son tailleur, maintenant, remontée à mi-cuisse, n’arrangeait rien à l’état dans lequel je me trouvais et je me suis sentie défaillir, excitée de voir le spectacle envoûtant de la limite de ses bas dévoilant la peau nue de ses cuisses.

- Vous savez, me dit-elle, vous pouvez faire un essayage sur notre ensemble favori, j’en ai un exemplaire avec moi et je suis certaine qu’l vous ira à ravir…
Elle prit son attaché case et en sortit l’ensemble dont-elle venait de me parler, un merveilleux ensemble en soie et dentelles, blanc, le soutien-gorge seins nus, le porte-jarretelles assorti et un string fendu pour compléter.
- Ainsi, dit-elle, avec cet ensemble nous sommes toujours prêtes pour une éventuelle occasion !
- Voilà qui est directement dit, lui répondais-je.
- Vous savez, la vie est courte et il faut en profiter !
J’ai essayé l’ensemble en le passant, lui tournant le dos, mais en me retournant le membre sorti du string fendu et les seins exposés par le soutien-gorge, elle ne put qu’émettre un :
- Ohhh !
Après cet instant de surprise passé, elle me dit :
- Approche…
Sa voix douce et sensuelle résonne encore dans ma tête à l’instant où j’écris ces mots…
En me penchant vers le sol pour poser mes mules près de la table basse, j’ai lancé un regard vers ses cuisses, en me voyant faire, brusquement, Karen a écarté les jambes, dévoilant son sexe nu et lisse.
Je n’en croyais pas mes yeux, la vendeuse de lingerie ne portait pas de culotte, j’ai levé la tête vers elle et vis que Karen souriait, il était clair qu’elle me désirait.
Je suis allée vers elle. Nos lèvres se sont instinctivement trouvées, sa langue s’est rapidement engouffrée dans ma bouche. Ce long et langoureux baiser était ponctué par nos caresses, chacune cherchant à découvrir et séduire le corps de l’autre. Que c’était excitant, doux… Un vrai bonheur. La main de Karen s’est glissée le long de mon corps et ses doigts ont effleurées mon sexe tendu, avant qu’une main s’en saisisse.

C’est dans un silence complice que nous sommes allées dans ma chambre, main dans la main… Nous nous sommes déshabillées mutuellement, et Karen m’a regardé en me jetant un regard coquin. Ses yeux pervers brillaient et elle me dit :
- J’adore faire craquée mes clientes, c’est le privilège de mon métier !
Lorsque je me suis agenouillée pour être devant sa vulve glabre, ses mains se sont posés sur ma tête et doucement elle a écarté ses jambes, tout en imprimant d’approcher mes lèvres de son intimité en appuyant avec douceur sur ma tête.
J’ai vu son sexe lisse aux lèvres charnues, mouillées et s’ouvrant comme un coquillage, son clitoris, énorme, pointant de façon insolente au milieu de ses lèvres intimes. Elle a poussé son sexe vers mon visage et j’ai enfoui mon nez dans son entre-jambes, mes lèvres collées aux siennes.
- Lèches-moi, j’en meurs d’envie, regarde comme je coule…

Elle n’avait pas besoin d’en dire plus. J’ai sorti ma langue et léchais son sexe offert, Karen mouillait comme une folle, elle haletait et gémissait comme une coquine en proie au plaisir, sans oublier de passer mes mains sur son cul.
J’ai glissé mes doigts dans sa raie pour caresser son anus, elle s’est cambrée pour mieux ouvris sa raie des fesses en disant :
- Humm, continue, ça m’excite.
Elle frottait sa chatte sur ma bouche en remuant son cul de façon langoureuse. La pression de ses mains sur ma tête ne cessait pour que je continue à lui manger le minou.
- Lèches-moi bien, oui comme ça et mets-moi un doigt dans le cul, ohhh oui, c’est bon !
J’ai poussé Karen sur le lit et je me suis mise en soixante-neuf sur elle, je voulais lui mettre ma queue dans sa bouche et sentir sa langue sur mon gland, mais elle le voulait aussi, alors nous nous sommes dévorées ainsi pendant de longues minutes.

J’alternais cunnilingus et feuille de rose. Nos doigts pénétraient nos orifices gourmands avec frénésie. Elle a jouit une première lorsque j’ai aspiré son clitoris entre ses lèvres, alors qu’elle avait deux doigts dans son cul…
Karen m’a repoussé, gentiment, et s’est positionnée en levrette sur le lit, son cul offert tourné vers moi.
- Encore, lèches-moi le petit orifice, prépares-le !
Je me suis jetée sur son anus, excitée par son langage cru, elle voulait être sodomisée, pas de soucis. Je l’ai léchée de haut en bas, puis en faisant tourner ma langue dessus, j’ai salivé tant et plus dans son trou fripé afin d’y faire glisser un puis deux doigts. Karen gémissait, sa voix résonnait dans la petite pièce.
- Tu en veux plus, lui ai-je demandé ?
En guise de réponse, elle s’est enfoncée un peu plus sur mes doigts.

Je me suis redressée et entre ses cuisses j’ai posé mon gland sur sa rondelle bien ouverte en disant :
- Je vais t’enculer, ma jolie.
Je suis entré e elle sans aucun problème, son anus s’ouvrant délicatement et inexorablement sous la poussée de mon membre, puis saisissant le gode réaliste, qui est toujours sous mon oreiller, je lui ai plongé dans sa chatte béante et trempée.
A ses hurlements de plaisir et ses :
- Oui, oui, c’est bon !
J’ai vite compris que je pouvais la ramoner en puissance ! Je faisais aller et venir le gode rapidement dans sa chatte en lui pistonnant le culm à grands coups de reins.
- Han ! Oui ! … Oh putain, vas-y ! Han ! Oh c’est trop bon…
Sa mouille coulait comme un petit ruisseau le long du gode, puis elle a explosé de jouissance ! Un torrent a éclaboussé mes bras et mes cuisses, et en une fraction de seconde mes draps étaient détrempés…
Karen avait jouit et elle s’est écrasée sur le lit avec un soupir de plaisir.

Après quelques minutes de repos, elle s’est redressée en disant :
- À ton tour, mademoiselle…
Karen m’a retourné sur le dos, et m’a largement écarté les cuisses. Puis elle s’est assis mes jambes en prenant soin de bien m’ouvrir les fesses pour voir mon anus.
Karen s’est emparé du gode réaliste en disant :
- Ton petit trou doit avoir l’habitude de celui-là, ce sera parfait, tu dos avoir une belle collection de godes, et ton œillet doit en avoir pris plus d’un.
J’ai senti le gode s’enfoncer dans mon anus.
- Oh, mais tu as le cul bien ouvert, dit-elle, tu aimes ?
- Oui, dis-je.
Karen a enfoncé entièrement le gode dans mon cul et je me suis ouverte sous la poussée du membre factice, j’étais bien prise, qu’elle sensation d’être remplie…
Puis elle a fait de lents va-et-vient, faisant monter doucement le plaisir, j’écartais mes cuisses au maximum, pour bien sentir la pénétration.
Il ne m’a fallu que quelques secondes pour jouir et nous nous sommes écroulées l’une près de l’autre.

Avant de partir, je luis ai acheté l’ensemble et Karen a promis de revenir me voir…

A suivre…