Leslie Hs20

Leslie HS20 - Hors-série – Le voisin d’en face

Une petite explication, l’immeuble que nous habitons, avec Laure, donne sur l’arrière sur une cour intérieure, assez grande nos fenêtres de cuisine et de deux chambres ont vu sur les immeuble d’en face.
De ces fenêtres nous pouvons voir ce qui se passe dans les appartements opposés par rapport à notre immeuble.
En été, au moment des grosses chaleurs, toutes les fenêtres sont ouvertes pour provoquer un courant d’air amenant un peu de fraicheur dans les pièces.
Avec Laure, nous avions remarqué qu’un homme venait de s’installer dans l’immeuble dans face, juste au même étage, ce qui faisait que nous avions une vue imprenable sur son appartement…
Il était assez jeune, la trentaine, brun cheveux très courts, il était non dénué de charme et vivait seul. Mensurations ordinaires, un look assez décontracté, et une activité professionnelle lui laissant pas mal de temps libre et quelques visites de tous âges et sexes.

Quelques jours après son emménagement, un matin alors que Laure était déjà partie et que j’allais travailler à la maison, je rentre dans la cuisine pour boire prendre un café et me mettre au travail, je remarque que les fenêtres d’en face sont grandes ouvertes et l’homme est là, assis devant un café.
Assis, le peignoir entrouvert sur un torse un peu velu et un bas-ventre totalement glabre et je découvre un long sexe au repos et deux boules imberbes et de belle taille. Mon regard se fixe sur son entrejambe pour contempler son sexe qui pend au bord de la chaise.
L’homme ne me voit pas car je derrière les rideaux de ma fenêtre entrouverte. A cette heure matinale, il parait à l’aise dans son intimité et je reste figée, la gorge sèche devant les dimensions de son sexe au repos. Mes expériences passées ne m’avaient laissé que peu d’occasion de voir un tel membre.
Je ne sais combien de temps je suis restée à le regarder, quelques mouvements de sa part faisant se balancer doucement son sexe.

J’étais excitée par cette vision, troublée par le plaisir de mon voyeurisme, et je ne pouvais détacher mes yeux de cette partie de son corps.
Après un temps qui m’a paru long, l’homme s’est levé, quelque peu songeuse en buvant mon café, je pensais à cet homme et comment un corps féminin pouvait-il s’accommoder d’un sexe pareil dans ses chairs intimes, surtout en pensant à la taille de de ce membre en érection, incroyable…
Toute la matinée j’ai revu l’image de cet homme nu se relevant et de son sexe pendant, lui arrivant presque à la moitié de la cuisse…

Dans l’après-midi, alors que ne cesse de regarder vers l’immeuble d’en face, il est là, en jean et torse nu et avec près de lui une jeune fille, menue, la vingtaine environ, mignonne comme un cœur.
Une bouffée de chaleur m’envahit, elle-t-elle sa maîtresse, une aventure de passage ?
Leurs frôlements montrent une certaine intimité, une sensualité se dégage de leurs contacts. Il profite de chaque instant de proximité pour se caresser et ne se gêne pas pour venir se frotter contre l’homme.
Ce que je vois pour le moment, c’est que son jean est tendu à craquer. Une bosse impressionnante déforme la toile, une hanche moulée dans une mini jupe se frotte, quand ce n’est pas une main, contre ce gonflement peu discret.

Ce petit monde quitte la cuisine et moi la mienne, toujours rêveuse mais, je les retrouve aussitôt dans la chambre en face de celle que nous réservons avec Laure pour nos amis de passage.

L’homme est allongé sur le lit et la jeune fille penchée tendrement sur lui, quelques caresses de ses mains sur le torse de l’homme et elles descendent vers le haut du jean pour en ouvrir les pans, il ne porte pas de slip, alors elle prend le sexe en main et se met à le caresser.
Le spectacle est fabuleux, le membre de l’homme est gonflé et les dimensions sont impressionnantes, mais apparemment pas pour la jeune fille qui tient le sexe dans sa petite main sans en arriver à en faire le tour et se déplaçant ; elle vient se placer, à genoux entre les jambes de l’homme.

Ses deux mains caressent le sexe tendu et les deux couilles, puis la jeune fille se penche et prend le membre entre ses lèvres et je vois aussitôt la tête de la fille qui monte et descend, la main de l’homme caressant sa longue chevelure brune.

Des minutes incroyables s’écoulent, je suis fascinée par cette fellation, il n’est pas possible que cette fille ne soit pas heureuse de faire ce qu’elle fait, ses mouvements sont lents, harmonieux, aucune impression de contrainte ne se dégage des mains de l’homme sur la tête de la frêle jeune fille.
Cela dure des minutes, et je vois l’imposant membre qui disparaît et réapparait entre les lèvres distendues de la môme,, après un temps très long, l’homme est soudain pris de mouvements saccadés et je suis persuadée qu’il vient de jouir dans la bouche de cette jeune fille qui ne s’est pas dérobée, elle continue un moment avant qu’ils ne disparaissent…
Je dois vous dire que ce spectacle m’a excitée, et je me retrouve le sexe en main en train de me branler comme une dingue, repensant au consentement de la fille et à son plaisir en suçant ce membre de taille exceptionnelle, sans se détourner et l’amener à la jouissance.

J’ai décidé le soir même de travailler à la maison toute la semaine en espérant en voir un peu plus…

Le lendemain vers dix heures, j’ai une surprise, je vois l’homme, accompagné d’un autre, beaucoup plus jeune, dans sa cuisine. La scène est rapide.
Le jeune homme se pose à genoux et, après avoir déboutonné le jean de mon voisin, enfourne son sexe dans sa bouche. J’ai une vue très directe. Je vois, à nouveau, ce sexe énorme se raidir, gonfler et dégouliner de salive dans la bouche du jeune homme.
Le jeune homme absorbe ce sexe démesuré entre ses lèvres, quelques instants puis il se mettait à passer sa langue partout sur le sexe de son partenaire, et sur les boules toujours aussi dégagées de toute pilosité.
Le jeune homme s’en donnait à cœur joie, fascinée je ne pouvais quitter cette scène des yeux.
Je n’en revenais pas, le plus jeune arrivait à faire rentrer la moitié au moins du sexe de mon voisin au fond de sa bouche. Les va-et-vient se faisaient plus rapides.
Un arrêt soudain, l’homme s’est dégagé de la bouche de son partenaire et à jouit sur son visage en de longues saccades, puis ils ont disparus...

Le soir, alors que Laure était resté travailler tard, vers dix heures, la lumière s’est allumée dans l’appartement d’en face, je me tenais dans l’ombre de la chambres d’amis attendant Laure et espérant un petit spectacle.
L’homme était dans la chambre avec près de lui la même jeune fille que la veille, ils se caressaient en s’embrassant près du lit et rapidement la jeune fille s’est retrouvée nue entre les bras de son amant.
Elle avait un corps de fillette, une poitrine à peine formée, pratiquement plate, aux aréoles brunes, un ventre plat d’adolescente, elle paraissait encore plus frêle nue. Ses attaches fines donnaient avec sa minceur une véritable impression de fragilité.
Elle se mit à genoux devant l’homme et après avoir ouvert son jean, qu’il envoya balader au loin avec sa chemise, elle lui fit une fellation en se caressant la vulve complètement lisse aux lèvres brunes bien apparentes.
Le résultat ne se fit pas attendre et l’homme banda en quelques instants, puis il la releva et la coucha en-travers du lit pour se mettre sur elle…
Je frémis en voyant sa verge dressée pointée à l’entrée de la chatte de la frêle jeune fille, qui ouvrit les jambes afin de faciliter la tâche de son amant.
Elle poussa un cri qui résonna à mes oreilles par les fenêtres ouvertes et accueillit la pénétration en grimaçant un peu.
J’ai commencé à me branler en regardant cette pénétration qui distendait la chatte de la fille, elle poussait des cris comme un animal blessé tandis que la verge de l’homme la pénétrait lentement.
Je n’en revenais pas, elle l’a accueilli entièrement, et l’homme fiché au plus profond d’elle marqua un instant une pause en montrant une certaine satisfaction.

Puis il commença des allées et venues, lui tirant des cris à ameuter le voisinage, alors penant la petite culotte de la jeune fille, il lui enfourna dans le bouche, faisant cesser ses cris de jouissance, mais les yeux exorbités de la fille montrait bien la pénétration hors normes qu’elle subissait.

Il la pilonna ainsi pendant de longues minutes, lui tirant certainement des hurlements qu’elle ne pouvait émettre compte tenue de la petite culotte entravant sa bouche et bloquant ses cris au fond de sa gorge.
Puis il la retourna et la mit en levrette, la fille les yeux complètement dilaté secoua la tête de gauche à droite, comme dans le refus de quelque chose qui allait se passer…
Je frémis à nouveau, me refusant de croire qu’il allait la sodomiser, car avec un tel membre, elle allait souffrir.
Elle se débattit, tentant d’échapper à l’emprise de l’homme et la petite culotte s’échappa de sa bouche et crus entendre la jeune fille dire dans un ton implorant :
- Non, pas par-là, j’ai trop mal à chaque fois !
- Mais tu aimes et tu n’es que ma petite enculée que j’adore.
- Oui, mais…
Ainsi, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait sodomisée par son amant et je pensais en les regardant et en me branlant, comment un corps aussi frêle pouvait-il accepter une telle intrusion dans son orifice le plus étroit, certainement une longue préparation et une pratique régulière pouvait rendre cela possible, mais tout de même.
Dans mes pensées, les yeux dans le vague, j’en avais oublié les protagonistes d’en face et je fus ramener à la réalité par les cris de la jeune fille :
- Ahhh, salaud, je t’aime !
Le gland de l’homme venait de disparaitre dans l’anus de la fille, qui cambrée hurlait :
- Ohhh, t’es trop gros pour mon petit cul !
L’homme s’enfonçait inexorablement dans le cul de sa partenaire, qui continuait de crier :
Salaud, tu profites de ma jeunesse, ohhh, faut-il que je t’aime !
Je suis certaine que des larmes perlaient des yeux de la jeune amante et je pensais que je n’aurais pas accepté un tel membre en moi, quoique…
Un nouveau hurlement déchira la nuit quand dans un coup de reins ultime l’homme s’enfonça au plus profond du cul de sa jeune compagne :
- Ahhh, je meurs, tu me tue mon amour à chaque fois !
L’homme l’encula pendant de longues minutes et s’effondra sur elle après avoir jouit au plus profond d’elle, la laissant sans vie et sans voix en lui disant :
- Petite enculée chérie, je t’adore, ton petit cul est si bon !
La lumière s’éteignit et ils durent rester un instant ainsi avant de s’endormir…

Quand Laure est rentrée, je ne luis ai pas laissé le temps de se déshabiller, je lui ai sauté dessus, excitée comme une puce et nous avons fait l’amour…

A suivre…

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