Ah Les Sorties En Vélo !! (4)
Corinne ma accompagné à la gare en me disant : je viendrais te chercher ce soir pour que lon parte directement chez nos hôtes. Comme je ne rentrerai pas me changer je suis partie avec un pantalon de toile beige très légère qui met en évidence le fait que je nai rien dessous ainsi quune chemisette blanche assez transparente dans laquelle mes tétons pointe. Dans le train je remarque plusieurs fois que lon me mate, aussi bien femmes quhommes pendant que je cherche une place assise tranquille. Cependant cela mexcite tellement que je bande et cela fait plus que ce voir. La jeune femme en face de moi voyant cela rougit et regarde ailleurs mais régulièrement son regard se fixe sur la bosse qui tend mon pantalon et quand son regard croise le mien je lui souris et elle me sourit en rougissant.
Arrivé à paris je décide de passer aux toilettes le temps de me calmer et là je constate quun homme, qui était dans le train et qui avait tout vu, ma suivi dans les toilettes. Arrivé là le type vérifie que lon est que tous les deux et me passe la main au paquet en caressant le sien. Je le mate, 40ans tout au plus assez grand mince, très dégarni avec des lunettes. Dhabitude je les préfère plus en chair mais là je suis très excité et je le laisse faire. Il baisse mon pantalon et branle ma queue dressée, de mon côté je baisse le sien et puis son boxer et sa queue jaillit tendue, cest une queue de longueur moyenne et très fine, façon pine de chien, avec de petites couilles. Je le branle et il me demande si jai une capote. Quelle question jen ai toujours au cas où ! Jen sors une, il la prend et me la pose puis sans un mot se penche sur le lavabo et passant ses mains derrière lui écarte ses fesses et me dit : baise moi ! Je pose mon gland enveloppé du préservatif sur son illet et pousse dun coup avec un han de bucheron. Il a un hoquet mais je menfonce dun coup et commence à le limer en me cramponnant à ses hanches. Il a passé une main sous son ventre et se branle en même temps, très rapidement il jouit et je sens son cul se serrer sur ma queue.
Sortant de son cul jôte la capote, la noue et la jette dans les toilettes puis tire la chasse, lui sest essuyé et réajusté. Il me regarde alors et en souriant me dit : il y a longtemps que je te vois et que je te mate dans le train le matin mais je nai jamais osé taborder ne sachant pas comment je serai reçu mais ce matin ta tenue puis ta gaule devant tout le monde ma fait penser que javais une chance. Je lui demande sil veut que lon se revoie, en dehors du train bien sur ! Il me dit en souriant : jaimerai assez mais je ne peux te recevoir je suis marié et jai des s, je le rassure en lui expliquant que cest sans problème pour moi. Il me laisse sa carte en me disant cest mon portable, tu me laisses un message et je te rappelle. Je lui donne alors mon numéro et lui dis : toi laisse moi un message pour me dire quand tu es libre ce sera plus facile, puis je latt et avant quil réagisse je pose mes lèvres sur les siennes. Il se raidit, je le serre fort et lui dit douvrir la bouche puis je lui roule une pelle en lui malaxant le paquet. Au début il reste raide puis se laisse aller et menlace.
Quand je le lâche il rougit et me dit que les pelles il npas lhabitude. Nous sortons et je pars prendre mon métro pour gagner mon labo. La journée me semble longue et quand vient lheure de partir je souffle et file à toute vitesse. Dans le train jappelle Corinne pour lui indiquer à quelle heure je serai à la gare car jai pu avoir un train plus tôt. Une fois arrivé je sors de la gare et Corinne est là qui mattend. Je la détaille et sourit elle a fait fort ! Elle porte une robe noire assez courte dont le haut, transparent jusquaux seins, laisse voir le dessus de ses seins dont les tétons pointent dans la robe. Jambes gainées de noir et talons hauts complète le tableau. Elle sourit en me voyant la détailler et me dit : je nai pas mis de culotte ni de soutien gorge. Cela mexcite beaucoup et elle le sait. On monte alors en voiture et direction chez Robert et Agnès.
Quand nous arrivons devant chez eux je ne vois quun grand mur avec un haut rideau darbres et un immense portail. Je descends et sonne à linterphone qui sy trouve. Une voix féminine, certainement Agnès, demande : oui, qui est ce ? Je réponds : André pierre et Corinne. Immédiatement je vois le portail commencer à souvrir et la voix qui me dit entrer avec la voiture, suivez lallée jusquà la maison. Nous nous engageons dans lallée et apercevons une immense maison fin 19ème début 20ème et nous nous garons sur lesplanade juste devant un grand perron. A peine descendu de voiture la porte souvre sur Agnès qui, en nous souriant, nous fait signe. Nous montons le perron et Comme Agnès scrute nos tenues un peu étonnée je la déshabille du regard. Elle porte une petite robe dété à fleurs boutonnée sur le devant et une paire de mules à talons hauts et aujourdhui elle est coiffée en queue de cheval et porte de petites lunettes. Elle me mate en rougissant car mon pantalon et ma chemisette montre clairement mon anatomie dans le contre jour et indique que je nai rien sous mes vêtements. De la même façon elle détaille Corinne et rougit.
Nous entrons et elle nous passer dans un immense salon ou Robert en short et chemisette prépare lapéritif, une véritable petite soubrette, me dis-je en souriant. Robert est écarlate en matant Corinne qui lui sourit et le regarde au fond des yeux avant dorienter son regard sur le short. Il me regarde alors et comme sa femme a pu le constater il saperçoit que je suis sans rien sous ma chemisette et mon pantalon. Agnès lui dit sèchement : tu vois tu aurais du mettre un pantalon. Je souris car Robert a alors lexpression dun petit garçon pris la main dans les confitures. Agnès nous invite à nous asseoir et dun ton sec elle dit à Robert : occupes toi de nos invités, ne reste pas là comme un empoté. Tout rouge Robert demande à chacun ce que nous voulons et après lui avoir répondu je me penche et demande à Agnès où sont les petits coins.
Je sus Agnès qui mindique mouvre une porte et me dit voila je la détaille de la tête au pieds et mimagine en train de la sauter, cela me fait bander comme un fou et comme je suis proche delle la bosse de mon pantalon vient à la toucher elle regarde alors sans bouger pour autant puis me regardant dans les yeux rougit alors que je souris mon regard planté dans le sien. On peut lire mon désir dans ce regard. Tant pis même si cela doit mal finir je prends sa main et la pose sur la bosse de mon pantalon. A ma grande surprise elle referme la main dessus, la bouche ouverte et le regard allumé, puis elle mattire dans les toilettes. Ces dernière son vastes avec WC, bidet et lavabo, le tout carrelé avec gout et une immense glace au dessus du lavabo. A peine la porte refermée elle ouvre et baisse mon pantalon fébrilement et ouvre ma chemisette. Elle regarde ma que tendue lisse et bien raide et se met à me branler pendant que je déboutonne sa robe. Dessous elle a un soutien gorge pigeonnant qui laisse ses tétons à lair et cest bien ce que javais deviné la première fois elle a dassez petits seins mais des tétons énormes avec de très larges aréoles brunes. Jentreprends de les sucer doucement et les mordiller elle gémit doucement et se cambre en se serrant la queue à me faire mal. Je baisse alors sa culotte et découvre quelle est épilée, oh elle doit être vicieuse comme ma dit Maurice mais hypocrite car jouant à la bourgeoise sainte nitouche daprès ce que jen ai vu pour linstant. Elle me dit alors dans un souffle : baise-moi avec ton gros saucisson ! Jôte complètement sa robe et sa culotte, elle reste juste avec son soutien gorge.
Je la plie deux contre le lavabo et lui murmure : je vais te ramoner ta petite chatte avec mon gros saucisson, salope ! Elle gémit : oui, vas-y mets le moi ! Je lenfile dun coup et elle râle en disant : putain quil est gros ! Je la bourre à grands coups et elle gémit. Je lui murmure à loreille : je le savais tes une grosse salope, un trou à bittes, tiens prends la bien.
Quand je reviens à mon tour Agnès discute comme si de rien nétait avec Corinne et Robert en sirotant son verre. Corinne en souriant me dit : tu as été bien long ! Pas de soucis jespère ? Non rien, dis-je, pendant que Agnès rougit en me regardant à la dérobée. On grignote amuse gueule et autres petits encas que Robert avait préparé tout en buvant nos verres et on discute tachant détablir un contact plus intime. Robert soudain me dit : il parait que Maurice veut recommencer à faire du vélo et que tu las conseillé et proposer de venir avec toi, jaimerai bien aussi, si cela ne te dérange pas. Agnès dit alors : oh oui dites lui oui, je trouve quil sest empâté et cela lui ferait du bien. Je demande à Robert si il a un vélo digne de ce nom et il propose de me monter ce quil a et dit à Agnès : on vous laisse je vais voir avec André pierre au sujet du vélo. Agnès répond en souriant : allez-y, je vais pouvoir échanger quelques secrets avec Corinne. Nous sortons et Robert se dirige jusquà un bâtiment en fond de jardin et ouvre la porte. Nous entrons et il referme à clé derrière nous.
Il me dit alors : tu las baisée ? Puis rapidement ajoute : ne dis rien jen étais sur. Cette salope ma questionné sur toi, a même appelé Maurice et elle était très excitée en vous attendant. Il me dit alors : jai rien contre le fait que tu la baise, cela va me faire des vacances elle va me foutre un peu la paix. Il ajoute fais attention elle a un appétit énorme et est très vicieuses et autoritaire. Je lui réponds que Maurice ma prévenu. Il me dit alors : il ny quune chose que je ne veux pas quelle sache cest que je baise ailleurs avec des mecs. Lui attrapant le paquet en souriant je lui dis tinquiète ce nest pas moi qui lui dirais mais si elle te doigte et te baise avec un gode ceinture cest quelle se doute de quelque chose. Il me dit non je ne pense pas cest plutôt parce que avec elle jai du mal à bander et jéjacule de suite. Je lui dis : en tout cas avec moi tu bande comme un âne, il sourit et ôte son short et son boxer puis pendant que je le branle il baisse mon pantalon et ma caresse la raie du cul et titille mon illet. Je retire complètement mon pantalon et me mettant à genoux je le suce, mais il marrête très vite en disant : stop je vais jouir je suis trop excité.
Il ouvre une armoire et sort du gel et des capotes, étonné je lui dis tu mets une capote ? Il ya un problème ? Il me sourit et me dit non mais avec la capote je serai moins sensible et néjaculerai pas de suite. Je souris et me pliant en deux lui tends mon cul quil barbouille de gel puis se branle et enfile la capote quil tartine de gel et mencule dun coup en soupirant daise. Il me ramone le cul à grands coups lents et halète en cadence. Jouvre ma chemisette et me tripote les tétons. Sous lenculade ma queue sest gonflée et est humide. Je sers alors les fesses pour mieux sentir sa queue et dun coup il senfonce et reste immobile en criant salaud cest trop bon ! Il vient de jouir et sortant sa queue il ôte la capote et me tend son membre poisseux que je suce doucement jusquà ce quil soit luisant et que cela soit désagréable pour lui.
On se réajuste tranquillement et il me demande si ma femme Corinne est aussi salope que je lai laissé entendre le samedi où lon a baisé. Comme pour Maurice je lui laisse croire que Corinne est ma femme et lui répond que cest une vicieuse finie, que lon a même une soubrette male à la maison. Excité par ce que je lui dis il me demande sil pourra venir et lessayer ! Je ris et lui dis : on mettra cela au point mais rejoignons Agnès et Corinne. Nous regagnons la maison où Corinne et Agnès papote en riant mais sarrête quand nous arrivons. Je dis alors à Corinne : il est temps de prendre congé. Agnès se levant nous dit : ce fut un plaisir, jespère que nous allons bientôt nous revoir. Puis elle fait la bise à Corinne et ma la faisant ensuite elle me murmure : jai laissé ma carte à Corinne appelez moi. Robert nous reconduit à nôtre voiture et fait la bise à Corinne et se tournant vers moi va me tendre la main mais je latt et devant Corinne lui pose un baiser rapide sur les lèvres. Il rougit et regarde vite si on a pu voir depuis la maison et soupire lair rassuré. Nous rentrons tranquillement et Corinne me dit : tu sais quand on a été seules elle ma fait des propositions a demi mots et je lui ai dit que jétais bi quelle pouvait y aller franchement. Elle est restée sur le cul, tu aurais vu sa tête ! Mais je te raconterai cela au calme quand nous serons rentrés. Tout cela mexcitait et javais hâte den savoir plus !
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