Ma Belle Soeur (1/4)

Ça sonne...... Dommage, je venais juste de m'installer devant un bon film.

Et oui, nous sommes vendredi, c'est le premier jour de mon week-end. Depuis ce nouveau job je travaille du dimanche au jeudi et je suis en week-end le vendredi et le samedi.
Bref, les trois gamins sont à l'école, ma femme au boulot, mais qui peut bien me déranger ainsi le vendredi à 9h du matin ?

"Béa ! Qu'est-ce que tu fais là ? Viens, entre, je t'ouvre le portail"
Béatrice, ma belle sœur, la grande sœur de ma femme.
Joli brin de fille. Elle va vers ses 43 ans, elle a 4 ans de plus que moi, et jongle tout le temps entre sa vie de mère de 3 s, de femme au foyer et de responsable commerciale dans une boîte de cosmétique. Bref, elle est tout le temps sur tous les fronts à courir partout.

Je la vois passer le portail et venir vers la porte d’entrée, comme d’habitude, superbement bien habillée, très classe, un tailleur gris avec pantalon assorti, un chemisier chocolat ainsi que des petits escarpins très fins, dont on ne voit que le bout pointu ainsi que le talon fin sur lequel repose le pli du pantalon qui tombe parfaitement bien.

Je lui ouvre la porte, elle entre, je me penche pour lui faire la bise, et je la vois, les yeux rouges, limite à pleurer. Je l’embrasse sur la joue et l’invite à entrer.

«Quelque chose ne va pas Béa ? Tu ne sembles pas bien du tout».
«Raz le bol de ce boulot de chiotte !! Je me casse les fesses pour tout le monde et quand j’ai besoin d’un coup de main, plus personne». Je viens de m’engueuler avec l’un des mecs de mon équipe et qui décide que non, il ne ferait pas ce que je lui demande».

Bref, il faut que je me calme, que j’en discute pour extérioriser tout cela car j’en peux plus là, les mômes, Ludo qui fout rien à la maison et le boulot qui avance à l’envers.....

«Aller !! vient t’assoir un peu, te reposer, vas-y, va t’installer dans le canapé»
«OK, merci, tu peux me donner un truc à boire, j’ai besoin de me dé-stresser un peu et de ne plus avoir les pieds sur terre».


«Voilà un peu de vodka avec un fond d’orange, ça te convient ? vas-y explique moi en détail ce qu’il y a».
«Merci pour le verre, bon voilà, je t’explique.....»

Elle me parle mais je n’écoute rien en fait, je la regarde de haut en bas, sa tête, sa coiffure, son chemisier légèrement entre-ouvert, ses jambes croisées qui laissent découvrir ses chaussures en espèce de daim gris, avec une petite boucle sur les cotés.
Je sens qu’elle se détend, elle s’enfonce doucement dans le canapé.

«Vas-y, ressert moi un peu de vodka s’il te plait»
Je m'exécute tout en me posant LA question : pourquoi vient-elle me voir ? pourquoi ne pas appeler Ludo son mari ou sa soeur... OK, on s’entend très bien, on discute bien volontiers mais pas plus.
«J’ai chaud maintenant, avec ta mixture, je vais poser ma veste... tu n’avais rien à faire aujourd’hui j’espère» me lance-t-elle.
Elle se lève du canapé pour poser sa veste sur le dossier de chaise du salon lorsque, l’alcool aidant, elle tombe sur moi qui suis resté assis dans la canapé.

On se regarde dans les yeux, des secondes qui durent des heures.... je m’approche d’elle et ferme les yeux, je sens le contact de sa bouche sur mes lèvres, et je sens sa langue doucement caresser mes lèvres qui s’ouvrent pour la laisser me pénétrer.

Elle est assise sur moi, je caresse sa joue de la main gauche tout en l’embrassant goulument. Elle se laisse faire puis d’un seul coup se lève.
Elle se met debout, face à moi, je bande comme un fou, j’y crois pas, j’embrasse ma belle soeur.... Elle pose sa veste et vient se positionner délicatement à califourchon sur moi, je sens un léger va-et-vient de sa part ce qui m’excite encore plus, elle me regarde dans les yeux puis m’embrasse.

Je me décolle du dossier pour enlever mon tee-shirt, je me débat avec lui-ci, je suis coincé, elle sourit et m’aide à l’enlever. Elle me caresse le torse de ses mains, les cotes, les pectoraux, le cou.
Elle se sur-élève un peu en s’appuyant sur les genoux, puis prend ma tête de sa main droite pour l’appuyer contre sa poitrine. J’ai le nez dans son décolleté. Elle n’a pas de très gros seins, mais peu importe, elle sent admirablement bon, et je dégrafe peut à peut les boutons de son chemisier.
Je découvre un joli soutien-gorge bleu-gris que je m’empresse de caresser, de contourner de ma main baladeuse qui va et vient entre sa poitrine et son soutien-gorge.

Elle se lève, s’agenouille devant moi en me regardant avec un petit sourire. Elle déboutonne mon jean et me le glisse tant bien que mal sur mes chevilles. Elle regarde mon boxer avec une énorme bosse au milieu, glisse la main dans l’ouverture et y ressort mon pieu décalotté. Elle se penche et me lèche doucement de bas en haut le long de ma verge en érection, je bascule la tête en arrière et ferme les yeux... Mon Dieu que c’est booooonnnnnn !!!!!

J’ai envie de prendre un peu la main sur ce qui se passe.
Non pas que j’ai envie d’arrêter, non, loin de là, juste que je veux lui faire plaisir, je veux plutôt lui donner du plaisir.

Je lui soulève doucement la tête de mes mains, l’embrasse, me lève, et sans que j’ai eu le temps de quoi que ce soit, elle avale d’un seul coup mon sexe en me caressant les fesses d’une main ainsi que les couilles de l’autre... je suis sur un nuage.

Je la fais se mettre debout, lui enlève son soutien-gorge ainsi que son pantalon, un magnifique petit string se dévoile alors à moi. De la dentelle sur le devant et une petite ficelle reste cachée entre ses fesses pour rejoindre un petit anneau en forme de coeur sur le tissu qui fait le tour de sa taille. Magnifique !

Je la fais s’agenouiller sur la table basse devant la télé, je plonge ma tête entre ses fesses et ma langue commence à osciller le long de ses grandes lèvres extérieures gonflées de désir et léchant aussi le tissus de son string qui remonte le long de sa raie, de sa petite étoile que je veux pénétrer.

Elle écarte les jambes un peu plus afin de s’offrir à moi, afin de s’ouvrir un peu plus, puis de sa main gauche, elle parvient à me prendre la tête pour me l’appuyer fortement contre son cul.
«Vas-y, lèche moi bien, je veux sentir ta langue partout me mouiller, me pénétrer».
Je m’exécute bestialement, d’un doigt j’écarte doucement son string pour plonger ma langue dans ses profondeurs humides et chaudes.

Elle est prête, je souhaite lui laisser son string qui, je dois l’avouer, me plait bien, j’aimerai bien la prendre avec cette petite lingerie fine.
Je me redresse et la pénètre d’un seul coup. Elle mouille tellement que mon dard n’a aucun mal à ouvrir ses lèvres et plonge dans son intime profondeur. C’est chaud, c’est doux, c’est bon. Elle se cambre en gémissant et je commence des coups de reins à différents rythmes.

«Oh oui, vas-y, c’est booonnn !! défonce moi la chatte, plus fort»

Elle en veut plus, et bien non, au contraire, je veux la faire attendre, la faire languir, je ralenti le rythme pour la pénétrer de haut en bas et de bas en haut, je veux sentir de ma verge puissante à l’intérieur de son vagin.
Elle me regarde sur le coté, j’approche mes doigts de sa bouche qu’elle s’empresse de sucer... Puis referme les yeux.

Pendant que je la lime doucement, j’écarte encore son string pour découvrir sa petite rondelle qui n’a peut être jamais été sollicitée ? Je ne sais pas, que va-t-elle me dire ? Va-t-elle me demander d’arrêter ? tant de questions sans réponse.... bon aller, je me lance.
J’enfonce mon sexe au plus profond du sien et reste là, tandis qu’avec mon doigt, je lui caresse son passage secret, elle bouge un peu du postérieur, non pas pour m’en empêcher, mais plutôt pour se caresser elle même avec mon doigt. J’appuie doucement, ....mon index s’enfonce, .... elle bouge encore sa croupe pour s’enfoncer mon doigt dans l’anus.
Je ne bouge plus ma main, mais reprend mes aller-retours de plus belle.
Elle bascule sa tête en arrière, je lui prends les cheveux que je tire en arrière, on accélère le mouvement.

Elle s’arrête d’un coup, se lève de la table.
«Prend-moi debout par derrière !» me lance-t-elle. «Je veux te sentir en moi».

Elle va vers la table du salon, retire son string me suce la bite toute humide et tourne sa langue autour de mon gland et se tourne face à la table en écartant les cuisses.
Je m’agenouille derrière elle pour la lécher, oui, j’adore ça, fourrer ma langue partout.
Puis je me lève, elle a gardé ses escarpins ce qui fait qu’elle est naturellement cambré et lorsque je la pénètre, je sens mon pénis doucement frotter le long de ses parois vaginales ce qui a pour effet immédiat de la faire jouir.
Je me mets contre elle, ma main droite lui caressant les seins et la gauche descendant vers sa touffe. De mes doigts, je peux sentir ma queue en elle faisant des va-et-viens.

J’accélère, c’est le moment, elle pousse des petits cris de plus en plus fort, j’accélère encore, elle sert ma main gauche, comme pour la faire pénétrer également, elle crie à présent en remuant la tête, je crie également, elle jouit, je ne peux plus me retenir, j’explose en elle, je ralentis d’un coup, encore quelques aller-retours, je sens mon sperme qui dégouline le long de sa chatte.

Elle se retourne vers moi, m’embrasse, et me lèche le gland doucement juste du bout de la langue. Je suis aux anges, puis d’un seul coup enfourne mon pieu ramolli au fond de sa gorge.

«Merci à toi» me lance-t-elle.
«Tu rigoles, merci à toi, c’était très bon.....»

«Je vais prendre une douche seule... et repartir à la maison».
«Qu’est-ce qu’on fait après ?»
«Quoi après ? tu veux qu’on remette cela ?»
«Bien, oui, j’ai adoré, apparemment tu as aussi bien apprécié, je sais que c’est peut être bizarre, mais même si tu es ma belle soeur, tu n’en restes pas moins une magnifique femme très excitante avec qui j’ai adoré faire l’amour. Je n’ai jamais trompé ta soeur, jamais, et je n’ai pas honte de l’avoir fait avec toi, maintenant. Mais j’avoue, que j’aimerai bien recommencer. Toi et moi».
«Seulement tous les deux ?»....
silence...
«Non, je rigole,... sache que j’ai trouvé cela très bon, et que j’aimerai aussi pourquoi pas qu’on se revoit... j’ai quelques fantasmes inavoués, et peut être inavouables que je n’ai jamais proposé à Ludo... donc je pense que j’aimerai passer le pas avec toi, sans penser à rien, juste du sexe sans se poser de questions, juste à la recherche du plaisir simple.

Elle sort de la douche, s’essuie, s’habille doucement et se remaquille.
Elle m’embrasse tendrement et repart au travail.....

Quelle matinée. Que de questions encore en suspend, quels fantasmes ? qu’est-ce quelle veut faire ? où va-t-elle m’entrainer ? bref, je n’en sais rien, mais je n’attends que cela.

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