La Présidente
LA PRÉSIDENTE :
À dix-huit ans, ayant soif daventure, je mengage pour quatre ans dans linfanterie coloniale où je sert en Indochine en mesurant les horreurs dune sale guerre de 1950 à 1954.
Avant mon départ en Extrême-Orient, javais de multiples activités, sportives et culturelles dans la bonne ville royale de X
dont jétais originaire. En sus, je faisais partie des secouristes de la Croix-Rouge locale et participais à toutes leurs activités, fréquentant honorablement ces « bonne dames » de la société bourgeoise locale. Bien entendu, de retour à X
je reprend ma place dans cette communauté.
À peu près six mois après mon retour, je rencontre un soir Bernard, un bon copain de mes débuts dans un photo-club de ma région, perdu de vue depuis mon départ à larmée. Celui-ci qui connaît mes activités à la Croix-Rouge locale me fait part dune information concernant sa présidente Cécile de Launay. Cest en fait une opportunité étonnante qui se présente à moi.
Cette femme ma beaucoup troublé lors de mes seize à dix-huit ans. À ce moment, elle devait avoir autour de trente-cinq ans et jétais dans une profonde admiration pour cette bourgeoise qui me faisait bander au-delà de toute imagination. Cécile de Launay est présidente de la Croix-Rouge de la ville royale de X
Elle occupe un poste important à la mairie et possède un hôtel particulier dans un quartier périphérique huppé. Lors des réceptions officielles de la Croix-Rouge, jai souvent, avec des jeunes gens de mon âge, préparé des amuse-gueules et des canapés de toutes sortes et participé à ces réceptions. Cétait une occasion de rencontrer des jeunes filles et de pouvoir par la suite avoir un carnet dadresses bien rempli. Mais impossible de retenir lattention de ces femmes du monde qui, à trente ou quarante ans, ne regardaient pas les gamins que nous étions à cette époque. Je compte bien me rattr à présent, alors que je possède un moyen de pression qui devrait me mettre la séduisante Cécile à ma merci.
En effet, mon ancien camarade qui officie comme photographe de presse dans le journal local a pris des clichés de Madame de Launay en compagnie de son amie Isabelle dAvron, propriétaire dune bijouterie et âgée de quarante-cinq ans. Il y a trois photographies en noir et blanc sur papier glacé représentant les deux femmes dans des positions plutôt scabreuses. Sur la première, on voit très bien Cécile, à demi nue, les cuisses grandes ouvertes se faisant faire minette par Isabelle. Sur la deuxième photo, les deux femmes sembrassent goulûment, leurs visages étant parfaitement reconnaissables. Sur le troisième cliché, Cécile aspire entre ses lèvres un téton dIsabelle, là encore les deux visages ne permettent aucun doute sur leur identité. Mon ami Bernard qui a pris ces photographies à lHôtel de Ville, dans un bureau désaffecté, mexplique quil cherchait un coin tranquille pour se reposer lors dune soirée officielle et quil avait surpris les deux femmes qui ne lavaient pas aperçu. Armé dun Leica, il avait pu prendre discrètement ces photos, mais il sétait dégonflé de les proposer à sa rédaction, trop proche politiquement de léquipe de la mairie. Je navais bien sûr pas ce genre de scrupules et je comptais bien men servir à mon profit.
Je prends donc rendez-vous avec la présidente de Croix-Rouge sous le prétexte, quayant servi dans le service de santé durant quatre ans en Indochine, je serai à même dorganiser des stages qui pourraient intéresser les membres de la Croix-Rouge locale. Je lui demande un entretien privé, ne voulant pas ébruiter cette affaire si elle ne retenait pas son attention. Aussi, cest sans surprise que je reçois une invitation à me rendre à son hôtel particulier à quinze heures le jour suivant ma demande. Il me faut maintenant décrire la femme que jespère bien circonvenir et surtout pouvoir assouvir mes fantasmes qui mont tant travaillé, il y a quelques années. Cécile de Launay est une très belle plante. Elle doit avoir à présent un peu moins ou tout juste quarante ans.
Je sais quelle a été la maîtresse du premier adjoint au maire et les photos en ma possession en font une femme bisexuelle, puisquelle se gouine avec sa meilleure amie, secrétaire générale de la Croix-Rouge.
Lorsque je me présente à son domicile, une gentille soubrette en tablier blanc vient mouvrir et mintroduit dans un des salons que je connais bien. Celui-ci jouxte le bureau de Madame la Présidente. Celle-ci, après mavoir laissé faire le pied de grue une bonne demi-heure, vient enfin minviter à entrer dans son bureau. Elle paraît surprise de me voir après quatre ans dabsence. Il est vrai quelle connaissait un garçon de dix-huit ans un peu timide et gauche, alors quelle se retrouve devant un gaillard ayant des allures de baroudeur, bien bronzé et musclé par un rude parcours militaire. Je vois quelle me jauge, appréciant sans doute la carrure de lhomme que je suis devenu, mais me faisant comprendre dun regard condescendant, la différence de milieu qui nous sépare. De souche noble par son père, Cécile est également une grande bourgeoise qui possède un patrimoine non négligeable. Ne sétant jamais mariée, elle garde les hommes à une certaine distance, bien que sa liaison discrète avec le premier adjoint soit connue dun petit nombre de personnes. Par contre, personne na jamais eu connaissance de sa liaison saphique avec son amie Isabelle et je suis certainement le seul avec mon ami Bernard à être en mesure de me servir de cette arme redoutable envers les deux femmes.
Lorsque Cécile ouvre la porte de son bureau, elle est resplendissante et très « classe ».
- Je vous remercie, Chère Madame, de maccorder cet entretien. Comme vous me le demandez expressément, je vais être bref. Jai connu, il y a quelques mois lors dun service à un poste de secours de votre organisation, la jeune Béatrice M
Nous nous sommes plu et nous sommes devenus amants. Lui faisant découvrir sa sexualité sous différentes formes, je souhaiterais que vous puissiez linitier aux rapports saphiques que vous pratiquez assidûment ma-t-on dit.
Madame de Launay est interloquée, elle me regarde avec effarement, ne sattendant pas à ces propos inconvenants. Elle en bafouille presque.
- Mais, mais
Vous, vous
êtes dune impudence ! Je vous prie de sortir et de plus jamais revenir chez-moi pour
pour énoncer de pareils propos inconvenants et déplacés.
En disant cela, elle sest levée et me montre la direction de la porte dun geste péremptoire.
Je reste tranquillement assis au plus profond de mon fauteuil, retirant de la poche intérieure de ma veste trois contretypes des photographies compromettantes, je les dispose sur la table basse qui se trouve devant moi. La présidente jette un il intrigué sur les clichés, puis sapprochant de la table, elle détaille le contenu des photographies sans oser les prendre en main. Soudain elle se reconnaît et se décompose. Cherchant un appui sur le bras du fauteuil quelle venait de quitter, elle se laisse choir dans le siège et se met à trembler. Elle a du mal à respirer et me regarde dun air implorant. Je la contemple froidement, ne faisant rien pour la rassurer et reste silencieux, attendant quelle madresse la parole. Elle regarde affolée autour delle, cherchant un improbable secours. Dailleurs il vaut mieux quil ny ait personne. Pour linstant il ny a que nous deux qui sommes à même de régler cette histoire sans faire trop de dégâts. Si des étrangers ont vent de laffaire, cen est fini de la réputation de notre présidente. Je crois que Madame de Launay en prend conscience peu à peu. Pour la première fois elle mappelle par mon prénom.
- Mon petit Michel, comment êtes-vous en possession de pareilles photographies ce sont certainement des montages, vous savez, pour
pour me nuire comment pouvez-vous penser que je puisse être mêlée à des pratiques aussi
aussi
- Rassurez-vous, ma chère présidente, ce sont bien des clichés réels jai la date et le lieu ainsi quun témoin qui a assisté à vos ébats avec notre secrétaire générale. Je remarque quelle a de bien jolis seins dailleurs et que vous les sucez avec une certaine délectation. Je ne crois pas que vous puissiez nier à qui que ce soit que vous avez une relation homosexuelle avec Isabelle dAvron. Naturellement ce secret pourra rester entre nous, tant que vous voudrez bien vous montrer compréhensive. Pas dinquiétude, je ne vous demanderai jamais dargent, cela ne mintéresse pas. Par contre vos faveurs et celles de votre amie devront mêtre acquises à jamais.
Cécile me regarde avec de grands yeux. Elle doit être abasourdit de se savoir manipulé par un jeune homme qui pourrait être son fils. Elle me jauge, se demandant si elle ne peut pas mintimider. Peut-être pas, mais elle pourra sans doute me manuvrer si cest son corps qui mintéresse. Tout cela je le devine en regardant la divine garce reprendre son sang-froid. Cest alors que je porte le coup de grâce.
- Ma chère présidente, il nest plus temps de supputer ce que vous pourriez faire pour vous tirer de ce mauvais pas Ou vous acceptez dans linstant dêtre à moi autant de temps que je le voudrais, il vaut dailleurs mieux commencer maintenant avant que lâge ne vous ratt Oui je sais, je suis un goujat Ou bien vous refusez et les photographies circuleront parmi la bonne société X
et je pense même que quelques journaux pourraient être intéressé par vos débordements. Décidez-vous vite, dans quelques minutes, il sera trop tard.
La quadragénaire reprend ses esprits, apparemment sa décision est prise, elle se lève, ouvre les boutons de son tailleur, puis écartant les pans de la veste elle vient se poster devant moi, à me toucher et balbutie.
- Je suis
Je suis à vous Michel. Autant de temps que vous voudrez bien de moi. Mais je vous supplie, pour moi, pour ma famille. Ne divulguez jamais ces photographies à qui que ce soit, même lorsque vous serez lassé de mon corps.
- Rassurez-vous ma chère Cécile, tant que vous tiendrez votre promesse vous navez rien à craindre. Je compte sur vous pour quIsabelle accepte de se joindre à nos ébats. Sans cela le marché ne tiendrait plus.
- Cest bien ce qui minquiète Isabelle a horreur des hommes elle a été mal mariée, il y a de cela vingt-cinq ans et seules les femmes savent la satisfaire.
- Nous verrons cela je ne suis pas un soudard et si jai quelques succès auprès des jeunes filles, je compte bien pouvoir satisfaire deux femmes aussi belles et désirables que vous lêtes. Pour linstant je souhaite que nous ne soyons pas dérangés durant une bonne heure passez vos ordres à votre personnel et revenez vite.
Madame de Launay sabsente un petit quart dheure, lorsquelle revient, elle a retiré son tailleur et porte un kimono en soie noire tout en ayant gardé ses escarpins jaunes. Elle ferme à clef la porte de son bureau et vient docilement vers moi. Je la prends dans mes bras et lembrasse sur ses lèvres closes. Je caresse dune main la base de son crâne et sort ma langue que je glisse entre ses lèvres. Elle laisse ma langue sintroduire dans sa bouche mais dans un premier temps, elle ne réagit pas. Puis sa langue vient semmêler autour de la mienne et nous nous accordons un baiser profond durant dix minutes au moins. Pendant ce temps, jai glissé une main dans lentrebâillement de son vêtement et jai dégrafé habilement son soutien-gorge. Je caresse alors ses seins lourds qui retombent un peu sur son torse mais qui sont fermes sous mes doigts qui les pétrissent. Cécile gémit un peu à mes palpations de plus en plus appuyées. Je lappuie sur son bureau et la force à sétendre, tirant son bassin au bord et laissant ses jambes pendre librement. Jouvre en grand le kimono et découvre le corps dalbâtre que je convoite depuis si longtemps.
Cécile est parfaite, elle doit avoir trois ou quatre kilogrammes en trop, mais pas plus. Pour sa taille, cest négligeable. Son petit ventre est légèrement arrondi ce qui nest pas pour me déplaire. Sa poitrine plantureuse sest étalée sur son buste, mais les mamelons et les tétons pointent orgueilleusement vers le ciel. Je prends délicatement sa culotte de satin et la fait glisser sur ses hanches, son bassin se soulève alors que je la fais descendre sur ses cuisses et ses jambes pour enfin la laisser tomber sur le sol. Il reste seulement le porte-jarretelles qui souligne le léger bombé de son ventre. Cest alors que je me régale de la beauté de son mont de vénus où un fin duvet blond descend tout autour des grandes lèvres pour se perdre dans la raie culière. Je caresse délicatement les jambes et les cuisses gainées de soie brune, puis, atteignant la chair nue du haut des cuisses, je palpe délicatement laine et le ventre qui frémit sous mes attouchements.
Me mettant à genoux sur la moquette, jembrasse le haut des cuisses à lendroit où la chair est la plus tendre, arrachant à ma proie un gémissement de contentement. Ensuite, mes lèvres parcourent le tour de laine et le mont de vénus, évitant de toucher le sexe qui sentrouvre sous le désir que je devine ; mes mains ne restent pas inactives et font des circonvolutions sur le ventre et les seins, puis ma langue vient sinfiltrer entre les grandes lèvres qui sécartent comme la corolle dune fleur. Ma langue écartant cette fois les petites lèvres et pointant dans lexcavation vulvaire, je recueille un peu de liqueur vaginale qui commence à sourdre des profondeurs du pertuis. Je lape un peu de cette mouille qui a un goût suave et épicé. Je remonte alors ma langue vers le méat urinaire et déguste un reste de liquide salé et âcre qui se mélange à la mouille qui coule à présent abondamment. Cécile gémit maintenant continuellement, pourtant cela ne fait que commencer car je mapproche du capuchon du clitoris que je dégage avec mes lèvres au moment où Cécile pousse un cri et quelle resserre ses cuisses autour de ma tête. Je donne des petits coups de langue tout autour du bouton qui pointe de plus en plus, gorgé de sang et dun beau rouge foncé. Je ne lai pas encore touché alors que les halètements de la quadragénaire se font de plus en plus rapides.
Lorsque je prends le clitoris entre mes lèvres pincées, Cécile pousse un feulement, agitant son bassin en tous sens alors que je pince et mordille le bourgeon de chair jusquà ce que le vagin expulse un jet de mouille et que la femme qui jouit sous moi, crie et pleure en même temps. Jaspire et bois la liqueur, savourant le plaisir que je viens de donner à cette femme qui a dû être surprise de la jouissance quelle a ressentie. Je me relève et contemple ma proie consentante. Elle refait lentement surface et me sourit. Puis se redressant elle vient menlacer et membrasse amoureusement.
- Vous savez Michel, je nai jamais eu autant de plaisir durant toute ma vie amoureuse que dans linstant que vous venez de moffrir. Pourtant les femmes entre elles savent très bien se donner des caresses aux endroits où vous mavez câliné et embrassé. Mais jamais je nai ressenti une telle
Une telle
- Jouissance vous nemployez jamais les mots adéquats pour décrire ce que vous ressentez ? Cest pourtant du bon Français que Diable. Oh pardon chère Madame, je ne devrais pas jurer en votre présence.
- Arrêtez votre cinéma Michel jai beaucoup de mal à parler des choses du sexe il est vrai, mais je reconnais que malgré votre jeunesse, vous êtes un maître dans lart de certains attouchements, très intimes.
- Cunnilingus cest aussi dans le dictionnaire Jai toujours préféré donner du plaisir à mes partenaires féminines au détriment du mien que je passe au second plan. De toute façon pour un homme, la jouissance arrive toujours trop vite et ne se renouvelle pas avant un certain temps. La femme a lavantage de pouvoir jouir successivement lors dun rapport sexuel et très vite avoir envie de prendre du plaisir à nouveau. Il faut quelle soit épuisée nerveusement pour quelle crie grâce et ne soit plus capable daccepter quon la touche.
- Eh bien ! Qui maurait dit quun gamin de vingt-deux ans à peine soit capable dun tel raisonnement et dune telle maîtrise de soi. À aucun moment Michel, je ne vous ai vu impatient de sortir vos attributs et essayé de me pénétrer. Cest pourtant en général ce que font les hommes non ?
- Des soudards oui ! Jai trop de respect pour la « Femme », entre guillemets, pour me conduire de la sorte. Cest vrai, jaime les femmes et je nai aucun tabou, vous vous en rendrez compte. Cependant juvre pour leur plaisir, même si certaines pratiques paraissent obscènes pour les timorés.
- Vous me faites peur Michel. Ce pourrait-il que jignore à mon âge les mille et une façons de faire lamour ?
- Peut-être. Nous verrons comment se dérouleront les suites de notre relation. Je voudrais que vous sachiez, Madame, que cela fait plus de six ans que jai envie de vous, de votre corps mais aussi de votre classe et peut être un peu de votre âme, bien que là je nen sois pas certain. Lorsquà seize ans, je suis entré aux secouristes et que je vous ai côtoyé lors de certaines réceptions, je peux vous dire que jai bandé pour vous et que vous nêtes jamais sortie de ma tête, même lorsque je faisais la guerre durant quatre ans en Indochine. Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à vous. Je ne compte plus. Aussi lorsque lopportunité ma permis dentrer en possession des clichés que vous connaissez, je nai eu aucun scrupule. Il fallait que je vous fasse lamour.
- Vous me surprenez jignorais cette passion ancienne jadmire encore plus le sang-froid dont vous faites preuve en ne me sautant pas dessus. Cest tout à votre honneur. Je voudrais à mon tour faire un geste. Ce nest pas une pratique courante chez moi et il faut beaucoup insister pour my résoudre. Mais cette fois cest presque avec plaisir que je vous propose de vous faire, comment dites-vous, une petite « gâterie » ?
- Une fellation ma chère, donnons son vrai nom à une action qui est la réplique de celle que je vous ai offerte Il ny a rien de sale dans lamour et jai dégusté votre liqueur avec un réel plaisir. Mais je ne veux en rien vous forcer aujourdhui. Malgré tout, si cest sincère, il mest agréable daccepter de soumettre mon pénis à vos charmantes lèvres.
- Comme cest bien dit, mais pour cela je vous préfèrerais dans une tenue plus adéquate.
Aussitôt dit, aussitôt fait. En un tour de main je suis plus nu que nu et je me présente flamberge au vent devant ma belle présidente. Celle-ci contemple mon corps halé et couvert de quelques cicatrices. Elle vient membrasser tendrement et parcours de ses lèvres mon torse jusquà mon ventre, puis prenant ma verge entre ses doigts, elle la masturbe avec beaucoup de douceur, décalottant le gland qui est devenu rouge violacé sous la tension que jentretiens depuis plus dune heure. Elle gobe le bout du gland et lèche son pourtour, enfin elle engloutit ma verge dans sa bouche, ressortant la hampe avec ses doigts et lenfouissant à nouveau au fond de sa gorge. Je suis étonné de la façon adroite dont elle me masturbe avec ses doigts et sa bouche. Je laisse échapper un gémissement sous le plaisir que je ressens à la fellation de cette femme qui agit avec beaucoup de retenue mais avec décision. Elle continue avec application la caresse buccale et lorsque je veux me retirer, sentant la montée du sperme à travers le canal de lurètre, elle accentue le va et vient et, malgré un soubresaut de tout son être lorsque la liqueur jaillit dans sa bouche, elle absorbe tout le jus qui dégouline de ses lèvres et avale le sperme qui a jailli au fond de sa gorge. Je vois bien quelle a fait un effort considérable pour accepter ce qui pour elle doit faire partie de linacceptable. Aussi je la reprends dans mes bras et lembrasse profondément, goûtant avec elle mon propre sperme. Elle se laisse aller, alors que je vois deux grosses larmes couler de ses yeux limpides. Je les sèche avec ma langue et lui souffle à loreille un « merci ma chérie» qui la fait fondre. Cette fois elle pleure à chaudes larmes. La tension de laprès-midi a du langoisser au maximum. La révélation des photos compromettantes, le fait de devoir se livrer à moi. Le plaisir quelle en a retiré, puis la fellation quelle sest décidée à me faire, tout cela a eu raison de son self contrôle. Plus tard, alors quelle sest calmée, elle mavoue.
- Michel, ne croyez pas que je suis une dévergondée. Cest la première fois que je prenais une verge dans ma bouche. Je ne suis pas une oie blanche, je sais que cela est courant dans tous les milieux. Mes lectures et les conversations avec certaines dames de mon entourage mont averti suffisamment. Je trouvais cette pratique profondément révoltante. Jai compris, lorsque vous mavez fait jouir avec vos lèvres et votre langue comme jamais je navais joui autant avant, jai compris que la réciproque devait être vrai et quil ny avait aucune raison pour que je ne vous rende pas ce que vous maviez donné. Jy aie même pris du plaisir lorsque je vous ai entendu gémir du bonheur que mes lèvres vous donnaient. Jai compris bien des choses ce soir. Vous êtes un amant merveilleux Michel et je vous veux en moi lorsque vous serez disposé à me prendre.
Mon pénis est de nouveau en érection et Cécile ne peut ne pas sen rendre compte. Aussi, avec ma main qui le maintient, je masturbe lentrejambe de Cécile, appuyant fortement sur son clitoris pour lui faire sentir tout mon désir. Elle membrasse à pleine bouche et ouvre ses cuisses, projetant son petit ventre rond au-devant du mien pour chercher le bâton qui va la pourfendre. Je retarde le plus possible lintroduction dans le vagin convoité, mais Cécile est impatiente de me recevoir. Elle remue son bassin cherchant le gland qui glisse autour de ses lèvres, puis je laisse ma verge échapper à mes doigts et je menfonce jusquà la garde dans la conque juteuse qui se resserre sur mon membre. Nous nous agitons en cadence dune façon furieuse, ayant envie de nous mélanger étroitement aussi bien lun que lautre. Je pousse des rugissements et Cécile des cris inintelligibles, presque inhumains tellement notre jouissance est grande. Après quelques minutes, je lâche ma semence qui jaillit du gland et vient frapper le fond de la matrice de ma présidente qui sanglote nerveusement. Cela fait plus de deux heures que nous faisons lamour et nous navons pas vu le temps sécouler.
Madame la Présidente a des obligations. Heureusement la réception où elle doit se rendre nest pas très loin de chez elle. Elle a tout juste un quart dheure pour se préparer et réparer les outrages de nos moments de folie. Nos adieux sont brefs et nous convenons de nous appeler au téléphone pour un prochain rendez-vous
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