La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1454)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) (suite de l'épisode précédent N°1453) -
Les serviteurs descendent du car et les portes se referment
Le Majordome patiente devant la Rolls, garée face au bus, il lit dans le visage du chauffeur de lautocar que quelque chose ne va pas, il lui fait signe douvrir les portes pour le rejoindre.
- Tout va bien, le chien ? La conduite te fatigue ? Tu peux sortir prendre lair si cela est nécessaire, la sécurité de tous prime sur ta condition de soumis.
- Non Monsieur Walter, je vais bien, merci de vous en soucier.
- Alors pourquoi cette tête soucieuse ?
- Cest que... je nai pas à juger des actes des serviteurs, mais jai le sentiment que certains outrepassent leurs droits, Monsieur Walter.
- Hum, en effet tu nas pas à en juger
, répond Walter dirigeant son regard vers le fond du bus.
Le Majordome observe un instant, découvrant soumise Keira MDE en position dattente, son corps largement marqué de sanctions fraîchement appliquées.
-
Mais tu fais bien de malerter, continue-t-il avant de rejoindre le fond du car.
Walter sapproche, observe la jeune femme pour se rendre compte quelle est marquée sur une grande partie de son corps. Alors il saccroupit à sa hauteur, prend son menton dans sa main pour plonger un regard interrogateur dans ses yeux. Elle se contente de lui sourire comme si elle cherchait à le rassurer
- Qui ta marqué de la sorte, soumise MDE ?
- Cest Monsieur Bertrand, mais cétait amplement mérité, jai tardé à exécuter ses exigences, Monsieur.
- Hum, je vois, répond Walter qui ne croit pas une seconde la jeune femme. Et pourquoi avoir tardé à obéir ?
- La fatigue je suppose, mais ceci nexplique pas cela, Monsieur, je me dois de faire honneur à léducation du Maître quel que soit mon état.
- Souhaites-tu que jordonne que tu restes assise à ta place, pour le reste du trajet afin que tu te reposes ?
Vanessa repense à la discussion quelle a eu avec Le Maître, Il savait que ce serviteur dépasserait de nouveau les limites, le Noble attendait même cette occasion, pour pouvoir le congédier.
- Merci de votre attention Monsieur Walter, mais accepter votre aide reviendrait à accepter un traitement de faveur, je tiens à prouver que je mérite la place que le Maître ma octroyée
- Très bien, répond Walter en se relevant.
Le Majordome ne lui dit rien et rejoint le conducteur à lavant, en vérifiant au passage que chaque esclave est parfaitement immobile.
- esclave Maxime MDE, si pendant la fin du trajet, tu vois que la Favorite du Maître risque quoi que ce soit, tu arrêtes immédiatement le car et invoquant une excuse dune quelconque panne, cest un ordre, tu as bien compris ?
- Oui, Monsieur Walter, comptez sur moi, je serai très vigilant, dit-il dans un élan de solidarité envers une soumise MDE.
- Parfait, dit-il en quittant lautobus.
Le Majordome rejoint la Rolls alors que Monsieur le Marquis dEvans arrive tout juste de sa pause.
- Walter, tout va bien ?, interroge le Noble voyant le regard pensif de son Majordome.
- Oui Monsieur Le Marquis, cest simplement que Votre Favorite vient de me mentir pour protéger un de vos serviteurs.
- Ah ? Je técoute, répond le Noble pour lenjoindre à continuer.
- soumise Keira MDE présente des marques importantes jusque sur des parties de son corps qui ne devraient pas être marquées, une sanction appliquée par Bertrand. Je suis certain quil a trouvé un banal motif pour se venger, mais dans la puissante dévotion quelle ressent envers Vous, elle affirme que la sanction était méritée
Bertrand a visiblement outrepassé les règles
- Hum, je vois. Tu penses quelle court un risque plus grand que des marques imméritées ?, interroge Le Noble qui ne semble pas surpris de ce quIl apprend, mais qui sinquiète pour Sa Favorite.
- Non, pas à ce point, Bertrand nest pas seul avec elle, je sais quon peut compter sur Vincent et les autres serviteurs. Et puis jai donné des ordres à soumis maxime MDE qui, en cas durgence la concernant, se garera sur laire de repos la plus proche ou même sur la voix darrêt durgence en cas dextrême nécessité.
- Bien, alors nous réglerons cela à notre arrivée, allons, reprenons la route, nous sommes attendus
Au même moment, les serviteurs remontent dans le car, allant reprendre leur place tout en contrôlant que tout est en ordre au niveau des esclaves. Bertrand se place face à soumise Keira MDE, il regarde la photo quil avait prise delle avant la pause et remarque que sa tête a bougé.
- Tu as bougé pendant notre absence, salope ?, questionne-t-il.
- Non Monsieur, répond-t-elle humblement.
- Ne ment pas, chienne, accuse-t-il en lui administrant une gifle magistrale sur la joue gauche qui fait sursauter tous les autres esclaves tellement elle est sonore.
Vanessa ressent un violent esprit de rébellion monter en elle, ses poings se serrent, tout comme sa mâchoire, elle respire profondément pour accepter la maltraitance de cet homme malsain sans se révolter, pour rester digne de la marque du Noble.
- Monsieur, je vous assure, je suis restée à ma place, pendant toute votre absence, sans esquisser le moindre geste, reprend-t-elle
Keira MDE reçoit une seconde gifle sur lautre joue, mais cette fois-ci il a tourné sa chevalière et son visage se retrouve marqué considérablement. Alors quil allait lui en administrer une troisième, Vincent intervient en lui retenant le bras dune poigne ferme.
- Ça suffit !, arrête
soumise Keira MDE aux pieds ! ordonne-t-il dun ton ne laissant aucune place au refus.
La jeune femme obéit promptement, trop heureuse déchapper aux sévices immérités de ce Bertrand habité par la vengeance.
- De quel droit interviens-tu ?, soffusque Bertrand.
- Tu outrepasses tes droits, cest mon devoir de tinterrompre.
- Je suis en droit de la sanctionner, elle a fauté.
- Je moccupe de son cas à partir de maintenant. De ton côté, je te conseille de toccuper autrement avec les esclaves de Monsieur Le Marquis, dans le cas contraire, je serais contraint de lavertir dans la seconde, car là tu dépasses les bornes, répond Vincent sur un ton non négociable.
Bertrand lâche prise, comprenant quil nobtiendra pas raison, fait un geste rapide de colère pour se retourner et va sasseoir un peu plus loin à lécart, tout au maugréant des mots incompréhensibles entre ses dents avec du mépris dans son regard.
- Comment te sens-tu, soumise MDE ?, murmure dun ton doucereux Vincent à loreille de la jeune femme.
- Bien, merci de vous en soucier, Monsieur, répond-t-elle dun ton parfaitement soumis et reconnaissant.
- Cest tout à ton honneur de faire face, mais je veux savoir réellement comment tu vas, répond-t-il dun ton inquiet.
- Jai mal un peu partout, mais jai connu pire, cest surtout le plug qui devient insupportable, Monsieur, mon ventre devient vraiment douloureux, répond la jeune femme.
- Présente-moi ton cul, ordonne-t-il dun ton très doux.
Vanessa sexécute, se plaçant à quatre pattes, puis en levrette dans lallée centrale, cul bien exposé se mettant dos à lui. Il pose alors ses mains sur son fessier avec délicatesse, le caresse avec une douceur infinie pour quelle se détende, puis se saisit de la base du plug et doucement entreprend de le retirer, la laissant le pousser à son rythme. Lorsquil sort enfin, elle retient son cri, mais la douleur est tellement vive que ses muscles ne la tiennent plus, et elle sécroule au sol. Vanessa tente de se redresser immédiatement, mais ny parvient pas. Vincent la stoppe dun geste de la main, lui faisant comprendre quelle doit rester allongée au sol.
- Monsieur, je suis désolée de ne pas être à la hauteur dune soumise MDE, je vous prie de bien vouloir sanctionner cette attitude, dit-elle la voix chevrotante, retenant un sanglot.
Vincent laide à se relever, sans un mot, mais avec un regard apaisant, exprimant une grande amabilité, une gentillesse emplie dhumanité. Le doux serviteur la fait allonger sur la banquette à ses côtés, la laissant même poser sa tête sur sa cuisse, puis fait signe à un autre serviteur pour quil la recouvre dune couverture chaude. Vincent lui caresse le cuir chevelu comme on caresse un animal de compagnie. Vanessa au fond delle-même se sent rassurée et apprécie le comportement exemplaire de Vincent.
- Allons, ne culpabilise pas tant, tu mérites plus que personne dautres la marque que tu portes dans ta chaire, tu es allée au bout de tes limites, ton corps ne suit plus, cest normal. Il reste un peu plus de deux heures de route, essayes de te reposer, la rassure-t-il dun ton particulièrement doux en caressant ses cheveux.
Keira MDE se calme la tête sur la cuisse du serviteur du Maître, rassurée par ses paroles et ses gestes aimants. Elle ferme les yeux, appréciant les caresses quil lui octroie, et sendort rapidement
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!