La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°215)
Nouvelle histoire de la Saga : Mûriana au château :
Mûriana était loin de se douter du grand changement dans sa vie qui allait arriver en ce jour et qui aurait pu être banal comme un autre jour. Changement qui se profilait quand elle prit le train en direction du Beaujolais. En effet elle avait un rendez-vous professionnel avec les Elus dune Communauté de Commune située près de Villefranche sur Saône au Nord de Lyon. Après un voyage sans encombre, elle finit son déplacement en taxi jusquà la commune où avait lieu la réunion à caractère purement professionnel, sil y avait besoin de le rappeler. Il pleuvait abondement déjà depuis plusieurs heures et sans interruption quand elle franchit la porte dentrée de la mairie concernée. Elle fut très bien accueillie par la secrétaire de Mairie qui la conduisit à la grande salle du Conseil Municipal où une vingtaine dElus de la Communauté de Communes lattendait. La réunion se passa fort bien. Mûriana trouva parmi lassemblée un interlocuteur à léloquence prestigieuse en la personne du premier adjoint de la commune qui accueillait la réunion. Ce premier adjoint nétait autre que le fameux Monsieur le Marquis dEvans célèbre par son château, ses terres et domaines forestiers entourant le village. A lissue de la longue réunion et par souci de bien accueillir les intervenants, un pot fut proposé où chaque participant pu se désaltérer et se régaler devant un copieux apéritif dînatoire en cette fin daprès-midi. Une certaine convivialité régnait quand la secrétaire de Mairie entra pour se diriger vers Monsieur le Maire pour lui annoncer discrètement une information à loreille. Le premier magistrat de la commune remercia sa secrétaire et demanda le silence pour sexclamer :
- Mesdames et Messieurs, on vient de mannoncer que la Mairie vient de recevoir un nouveau niveau dalerte de la préfecture. En effet Météo France annonce de fortes pluies sur notre belle région. Lalerte passe dorange à rouge pour cette nuit et de ce fait tous les transports sont immobilisés dès à présent que ce soient les trains comme les avions en partance de Lyon.
Un brouhaha confus se fit entendre dans lassemblée. Tellement surprise, Mûriana ne put sempêcher de parler tout haut de ce quelle pensait :
- Mais ? Je devais rentrer ce soir par mon train, se dit-elle
Faut donc que je me trouve un hôtel pas très loin, et nous verrons demain matin si le temps sarrange
Puis ne sachant pas trop à qui sadresser, elle aperçut le Marquis dEvans en train de déguster une coupe de champagne et donc elle se permis de linterpeller car elle a été charmée par son charisme et son savoir-vivre lors de la réunion.
- Pardonnez-moi, Monsieur, mais y a-til un hôtel dans une de vos communes ?
Le Marquis se retourna. Il dévisagea dabord de la tête au pied la femme qui venait linterrompre dans sa dégustation, puis il pris un large sourire :
- Un hôtel ? Non et cest un de nos gros soucis à la Com Com, essayer de redynamiser le commerce local en retrouvant au moins un restaurant à défaut dun hôtel
- Ah ?
Mais ou vais-je dormir alors, je devais reprendre mon train ce soir et je ne sais que faire
- Vous cherchez un endroit pour dormir ? A part les hôtels à Villefranche/Saône, il ny a rien par ici. Mais je doute quil soit bien prudent de vous y rendre en voiture maintenant car si la Saône est en crue, ce qui fort probable pour avoir une alerte rouge et si elle déborde sur la route vous risquez de ne jamais arriver
- Mais ?
Me voila donc coincée ici
Que faire
?
- Vous navez aucun endroit pour vous loger cette nuit ?
(il réfléchit quelques secondes) Si vous le désirez, je peux vous offrir mon hospitalité, je suis le Marquis dEvans et le propriétaire du château que vous avez dû apercevoir en arrivant ici. Si ça vous dit jai largement de quoi loger ! Ce ne sont pas les chambres qui manquent au château !
- Je ne sais pas
je ne voudrai pas r de votre hospitalité
- Avouez que vous navez pas trop de choix ! Alors ne soyez pas gênée et acceptez sans réserves, vous serez bien logée et à labri des intempéries !
- Alors cest daccord ! Je vous remercie infiniment de votre hospitalité qui je lavoue menlève une belle épine du pied
- Je vous en prie.
- Merci. Le temps de prendre mon sac laissé ici à laccueil et je vous suis, cher Monsieur.
La nuit venait de tomber en ce mois doctobre et le voyage dune quinzaine de minutes habituellement du village au château dura plutôt le double tellement la pluie battante ralentissait la voiture obligée à rouler prudemment. La visibilité nulle, les essuie-glaces actionnés à plein régime, cest sous une trombe deau inouïe que la voiture de sport du Marquis arriva dans la cour du Château quasiment au pas tant on ne distinguait à peine lallée centrale. Walter déboula rapidement les escaliers du perron avec un large parapluie ouvert pour venir accueillir son patron. Tous les trois entrèrent le plus vite possible à lintérieur de la vieille demeure afin de se mettre à labri du déluge de pluie qui redoublait dintensité
- Merci Walter, je te présente Madame Estier. Nous allons lui offrir lhospitalité suite à ces intempéries. Occupe toi bien delle, veille à ce quelle ne manque rien. Donne lui la chambre bleue. Donne lui aussi des habits secs et montre lui la salle de bain N°3. (puis à Murîana) Madame, soyez la bienvenue, vous êtes ici chez vous et vous pouvez aller et venir dans les couloirs du château ! La seule chose que je vous demande est de ne pas aller de ce coté-ci, à laile gauche du château, vous risqueriez de
non rien .... (et saluant poliment Mûriana)
Je vous laisse entre les mains de Walter, il sera à votre disposition pour quoi que ce soit. Nous dînerons à 21h dans la grande Salle. A tout à lheure.
- Je vous remercie Monsieur le Marquis mais
Elle aurait voulu mieux lui exprimer sa reconnaissance mais le Marquis dEvans avait déjà tourné les talons.
Le soir venu, après un bon bain salvateur dans une luxueuse baignoire aux robinets en or massif. Mûriana était détendue, si bien quelle resta nue sous son chaud, épais et si doux peignoir éponge aux liserés dOr qui lui descendait jusquau talon.
Au fond du couloir, un épais pilier circulaire soutenait un autre escalier mais celui-ci en colimaçon. Et ce quelle vit, était absolument surprenant à ses yeux, elle resta figée par la surprise, elle simmobilisa. Là à quelques mètres delle, elle reconnut Walter debout en train de baiser par derrière une femme nue portant simplement un épais collier.
- Allez petite chienne, tiens prend ça dans ton cul de salope, tu nes quune soumise parmi les autres, quune esclave du cheptel de Monsieur le Marquis, une chienne bonne à baiser
A ce moment là Mûriana compris ce que vous dire le Marquis par
vous risqueriez de
non rien .... Elle compris ce quen réalité était son hôte. Mûriana aurait pu senfuir en silence mais elle était comme hypnotisée par la scène. Ses yeux regardaient cet accouplement pervers et elle narrivait pas à détourner son regard. La soumise haletait de plaisir, ses mains appuyées contre le pilier. Alors commença en cachette pour Mûriana une douce excitation qui montait en elle. Et cest derrière un autre pilier à proximité quelle se dirigea en silence afin de se masturber tout en ne perdant rien de la scène si érotique si excitante. Elle défit la ceinture de son peignoir pour passer directement sa main sur son clitoris déjà bien excité. Elle se branla tel une voyeuse quelle était à cet instant. Ses doigts saventurèrent dans son sexe fort humide et elle commença à se doigter sa chatte si émoustillée quand elle entendit des pas derrière elle. Elle voulu au plus vite se retourner mais elle neut pas le temps de réagir, ni de voir cette présence énigmatique. Elle sentit simplement des mains qui lui bandaient les yeux dun long bandeau noir puis on lui bâillonnait la bouche tandis quon la maintenait les bras avec force. Elle neut même pas le temps de crier quelle se sentit soulever puis emmener dans des longs couloirs .. Puis Mûriana comprit qu'on la descendit par des escaliers en colimaçon. Elle avait peur mais aussi une incompréhensible excitation dêtre ainsi emmenée montait en elle. Puis elle entendit le bruit d'une porte qui grinça
Mûriana sentit quon la déposa puis qu'on l'attacha exhibée nue à une croix Saint Andrée, son peignoir lui ayant été retiré. Elle entendit que lon parlait pas très loin et elle comprit quil y avait des gens proches, certainement dans la même pièce. Alors on lui enleva son bandeau ...
(à suivre
)
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