La Crise Du Logement A Du Bon ...
De plus en plus de couples fidèles lecteurs du site H D S me confient leur aventures afin que jen fasse un récit, en voici une vécue par Murielle et Alain trente deux et trente six ans qui a mon avis mérite de paraitre.
Je me substitue donc à eux pour la raconter :
Nous revenions de passer les fêtes du premier de lan en famille a lautre bout de la France, prévoyant une certaine fatigue nous avions réservé une chambre dhôtel a mis parcours, arrivés vers dix neuf heures nous avons pris possession de la chambre avant de redescendre pour diner, en passant dans le hall des éclats de voix ont attirés notre attention, un client mécontent avait réservé une chambre par internet mais apparemment cela navait pas été pris en compte et lhôtel était complet, nous avons poursuivit notre chemin jusquà la salle a manger ou une table de quatre nous était attribuée
A peine assis le serveur vient vers nous lair embarrassé
- Excusez moi messieurs dame cela vous gêneraient- il si je joins une autre personne a cette table ?
- Pas le moins du monde il y a suffisamment de place !
- Merci vous me rendez un grand service
Nous avons la surprise de voir savancer lhomme du hall, grand, très élégant, les tempes grisonnantes, la cinquantaine, tout ce que je préfère est regroupé en lui !
- Excusez le dérangement messieurs dame
- Vous êtes le bienvenu !
- Décidément ce nest pas mon soir, la chambre que jai réservée na pas été prise en compte et le restaurant est quasiment complet !
- Pour diner ça sarrange mais pour dormir ?
- Je nai pas le choix, je dors dans la voiture
- Par ce froid ? vous ny pensez pas !
Libertins à nos heures, nous nous regardons mon mari et moi, un seul battement de cils a suffit
- Écoutez, nous pouvons vous accueillir dans notre chambre le lit largement assez grand pour accueillir une personne supplémentaire, en tout bien tout honneur soyez rassuré
- Ça me gêne.
- Aucunement ! pas la peine dameuter le personnel vous passez par le parking la fenêtre ou nous somment est au rez- de -chaussée
Pendant le repas latmosphère sest détendue, une douce chaleur monte en moi grâce au vin quAlain me sers régulièrement, Théo, puisque quil sappelle Théo, jette de nombreux regards vers mon décolleté, il est marié, papa de deux grands s et une femme charmante si lon en croit la photo à laquelle il voue beaucoup damour
ce nest pas gagné...
A la fin du repas Théo nous quitte pour sortir et re-rentrer par notre fenêtre non sans être passé par la caisse car il a tenu à régler les repas pour nous remercier de notre hospitalité
- Il va falloir que tu lui fasses des avances car il a lair dun homme sérieux
- Fait moi confiance, je préfère ce genre dhomme aux types qui viennent en boite
pour ne pas payer une prostituée !
- Jai très envie de voir ses mains sur toi, quil te baise, et pourquoi pas plus
.
- Arrête tu me fais mouiller !
Arrivés dans la chambre Alain lui laisse la priorité pour la douche, il est ressorti dix minutes plus tard une serviette autour des reins, jadmire sa carrure athlétique et son parfum discret, jai pris la suite sous la douche et jai enfilé un mini string bleu ciel et une courte combinette en tulle de la même couleur, mon époux a pris la suite en me disant discrètement quil allait prendre son temps, jai éteint la lumière ne laissant que celle de la salle de bain qui diffuse une pénombre agréable puis jai déambulé dans la chambre afin quil me détaille sous tous les angles avant de venir massoir prés de lui sur le lit, il est visiblement troublé, sa serviette est bien gonflée au bon endroit
. Pour rompre la gêne jallume la télé et zappe, comme par hasard je tombe sur un film x
- Vous aimez ce genre de film ?
- il marrive au court de mes déplacements den regarder, vous pouvez le laisser, en tous cas vous navez rien à envier a ces sublimes créatures !
- merci
Je dois tout tenter
ma main gauche se pose sur sa cuisse il a une réaction détonnement mais ne me repousse pas, il garde ses mains bien sagement posées sur le lit en regardant le film ou lactrice penchée sur un lit se fait défoncer par un grand black, jen profite pour remonter sous la serviette ou mattend une queue bandée de même calibre que celle du noir, je la serre fortement elle donne des coups de rebellions, a ce moment là mon mari nu sort de la salle de bain et vient derrière sur le lit , il me caresse par-dessus ma nuisette avant de la faire glisser sur mes épaules, Théo ne peux résister et tourne la tête vers moi , Alain me renverse , je me soulève afin de faire glisser mon vêtement jusquen bas , mon mari vient sinstaller entre mes cuisses ouvertes pour repousser mon string sur le coté me lécher le sexe , notre invité nen peut plus !
- Excusez moi je nai jamais trompé ma femme mais je ne peux résister devant une telle beauté
Il prend possession de mes seins dont les tétons sont durs et sensibles, la serviette éponge a disparue je prends sa queue dans ma bouche, du moins ce qui peut entrer, voyant cela Alain me débarrasse de mon string et me positionne en soixante neuf sur mon amant qui fait pénétrer profondément sa langue dans mon vagin détrempé, jai eu mon premier orgasme en gémissant très fort
Théo ma mise sur le dos, mes jambes sur ses épaules, jai saisi sa bitte en la dirigeant vers ma fente, il na plus qua pousser
.
Apaisée, après une brève toilette pour ne pas inonder les draps nous nous couchons, évidement placée entre mes deux hommes, terrassé par la fatigue du voyage et nos galipettes Alain sendors rapidement, tournée vers lui par décence je ne tarde pas a ressentir une érection sur mes fesses, Théo a le souffle court, je tends mon cul vers lui en ramenant un genou vers ma poitrine, le chemin de ma chatte est libre
.Il na aucune peine a pénétrer mon conduit vaginal encore saturé de foutre , sa queue vat- et- vient lentement pour ne pas faire bouger le matelas mais suffisamment efficace pour réveiller les sensations a peine retombées de mon dernier orgasme je mord le drap pour ne pas crier comme je le souhaiterais
Mon amant éjacule rapidement je tombe dans une douce torpeur laissant le sperme sévacuer dans les draps, quelle heure peut il être ? Jentends des soupirs, Théo nest plus allongé a mon coté
je laperçois dans le contre jour de la fenêtre assis sur une chaise il se masturbe, Alain ronfle comme un bienheureux, je me lève sans bruit et chuchote
- Que fais-tu ?
- Je ne peux pas dormir, te sentir nue et disponible mobsède
Je massois a califourchon sur ses genoux, sa verge tendue a lextrême fait barrière entre nous, nos lèvres se joignent il triture mes seins, je me soulève pour pointer son dard sur mon trou
mon petit trou, lentement le gland fait son travail de sape, défripant ma cible, quelques secondes plus tard entièrement empalée je pèse sur ses bourses, nous restons sans bouger un temps infini à savourer cette pénétration particulière
- Je ne lai jamais fait à ma femme
.
- Et moi jamais avec quelquun dautre quAlain, encule moi comme tu le désire Théo
- Soulève toi doucement ça me suffit
Rapidement je sens un liquide chaud envahir mon boyau, sa verge est redevenue molle, nous recouchons sagement, au petit matin à nouveau je sens une main me caresser la chatte cette fois cest Alain qui se manifeste il est dur, me tirant par un bras je devine ce quil veut.
- Chérie ? Ça te dit que Théo se joigne à nous ?
- Dans ma chatte ?
- Non, dans ton ptit cul
- Mais ?
- Ça me ferait plaisir
Théo ?
- Oui ?
- Tu veux prendre Murielle avec moi ?
- Heuuu
oui !
Il me jette un regard un peu ahuri, mais dans la seconde qui suit sa queue prend une rigidité séduisante, sans se presser il vient prendre position entre les jambes de mon mari, mes muqueuses anales doivent êtres encore souples car il entre si facilement en moi que ça surprend Alain
- Tu dois en avoir vachement envie, dhabitude ça prend un quart dheure avant que tu sois détendue
- Ce doit être les conditions et puis je nai jamais fais ça a trois avec un inconnu
. Je suis complètement remplie !
- Mmuuuuuummmmmm, je sens sa queue glisser sur la mienne cest super
- Ta femme est vraiment extraordinaire Alain je ne vous oublierais jamais
- Dommage que cinq cents kilomètres nous séparent
.
Je suis sortie dentre les deux hommes complètement vidée mais pleine à ras bord de sève masculine, sur le chemin du retour jai dormis jusquà la maison, Alain a cru que jétais malade
.
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