Leslie Hs21

Leslie HS21 - Hors-série – Isabelle, l’essayage

Je suis retournée dans la boutique d’Isabelle, vous vous souvenez la petite vendeuse que j’aime bien…

Je suis passée devant la boutique une première fois, quasiment sans ralentir, juste pour voir si Isabelle était là, en regardant à l’intérieur du coin de l’œil, je m’amuse presque de mon attitude, car si Isabelle me voit elle risque de me courir après.
Elle était là, occupée avec une cliente et elle ne m’a pas vu, alors j’ai fait demi-tour et je suis revenue me planter devant la vitrine en faisant semblant de chercher et d’hésiter, mais je sais parfaitement ce que je vais le faire, attendre qu’Isabelle soit libre pour qu’elle s’occupe de moi…

Ça fait un moment que je ne suis pas retournée voir ma petite vendeuse préférée, mon amante occasionnelle et comme en ce moment c’est les soldes, je ne vais pas me priver d’acheter quelques dessous et faire tourner la tête de ma petite vendeuse.
Après un dernier coup d’œil dans la boutique, je vois qu’Isabelle encaisse sa cliente et va être dans un instant libre, alors je passe le seuil et salue d’un sourire Isabelle dont les yeux ne manquent pas de monter son étonnement, mais aussi sa joie de me voir.
Sans m’attarder je fais un premier tour rapide des lieux pour choisir les sous-vêtements que je désire acheter, d’abord une magnifique guêpière, toute de satin noir, puis ensuite un joli string rouge, fait de tulle élastique replié à la ceinture, simple et original, il devrait envelopper mon anatomie sans problèmes…
Puis une culotte qui joue dans la transparence, le devant en tulle brune, partiellement brodée de rose sombre et d’argent, avec au centre un lacet factice veillant symboliquement sur le pubis. À l’arrière, encore un petit triangle de tulle brodé, juste au creux des reins, et une mousseline au motif rayé pour recouvrir délicatement les fesses sans rien en dissimuler, elle est top et me plaît trop !
Et je tombe sur la perle, une guêpière-corset, rouge sur le devant avec des broderie au niveau de la poitrine, des jarretelles noires pour des bas et le dos noir, toute en satin et très échancrée sur les hanches, un vrai bijou…

Pendant mes pérégrinations, la cliente d’Isabelle est partie et celle-ci vient me rejoindre pour m’embrasser directement sur la bouche en me disant :
- Cela fait bien longtemps ! Tu m’as déjà oublié ?
- Non, dis-je.

- Je comprends, ce n’est pas grave…
Je remarque alors que le rideau de fer est à moitié baissé, il est presque midi, je devais être vraiment absorbé pour ne pas l’entendre descendre !
- Alors, tu as fait ton choix ? me demande Isabelle.
- Oui.
Elle inspecte alors rapidement mes achats, vérifiant sans doute les tailles, tout en me demandant d’une voix étrange, presque ironique, mais toujours avec un petit quelque chose de sensuel :
- Tu veux les essayer…
- Je crois que oui, surtout si tu es près de moi pour me donner ton avis…
- Alors donne-moi un instant !
Sans un mot de plus, Isabelle se dirige vers l’entrée du magasin et finit de descendre le rideau de fer.

Je la regarde ce petit bout de femme, juchée sur des escarpins aux talons raisonnables dans son tailleur-jupe gris perle, qui la met bien en valeur, faisant monter en moi les désirs comme la première fois…
Alors qu’elle revient vers moi, mon regard remonte de ses hanches dont, et me semble-t-il, elle accentue quelque peu les ondulations, comme pour me provoquer, avec toujours ce sourire qui n’a pas quitté ses lèvres sensuelles, et je la trouve terriblement mignonne, avec ses yeux brillants d’excitation.
- Comme ça, on sera tranquilles, je ne rouvre que vers seize heures, allez, viens…
- Je te suis, ma chérie.
- Dis-moi, Leslie, ça te dérange si je prends des photos ? La lingerie et la photo sont mes deux passions, et avec toi…
- Je veux bien poser pour toi, mais à une condition.
- Je t’écoute ?
- D’abord, tu peux me photographier comme cela te chantes, mais uniquement pour toi, et tu me donneras une copie des fichiers.
- Pas de problème. Je publie parfois mes clichés sur des sites, mais jamais sans l’accord de mes modèles !
- Bon, puisque tu me laisses maîtresse des choses, déshabille-toi donc, qu’on essaye déjà tes achats, pendant que je vais chercher mon matos…
Elle en profite du moment de mon changement pour aller dans l’arrière-boutique et revenir avec son matériel photo.

Quand elle revient je suis prête et j’ai revêtu le petit string rouge, poitrine nue, Isabelle m’observe et me dit :
- Toujours aussi belle !
- Je pourrais dire la même chose de toi ?
- Attends tu vas voir !
Et Isabelle se déshabille pour se retrouver comme moi en string, après quelques instants d’observation réciproque, je lui confirme qu’elle a toujours un très joli corps.
Isabelle att son reflex et dit :
- Allez, on y va !

Elle fait d’abord quelques clichés en me faisant tourner sur moi-même, avant de me demander de déambuler dans la boutique en faisant mine de m’intéresser à quelques articles… Après quelques minutes, elle me dit :
- T’es superbe, et surtout, ce string cache bien ton anatomie, c’est génial !
- Arêtes je vais rougir, dis-je-je.
- A moitié à poil dans ma boutique, je t’avoue que ça m’excite terriblement, surtout sachant ce que tu caches dans ton joli string rouge…
Elle me regarde encore en faisant d’autres clichés et rajoute :
- En plus avec tes escarpins tu es très attirante ! Bon, tu veux qu’on passe à la suite ?
- Avec la guêpière rouge, si tu veux.
- Ok, vas-y change toi, me dit Isabelle.


Aussitôt dit, aussitôt fait. Avec un petit sourire en coin, elle me regarde me changer, je passe la guêpière et des bas gris foncé puis je renfile mes escarpins.
- Waouh, fait Isabelle, superbe, mais sans le string ce serait encore mieux…
Sans me laisser le temps de réfléchir, elle s’accroupit devant moi sur ses talons pour faire glisser mon string le long de mes jambes et elle s’arrête, nez-à-nez avec mon sexe en érection devant ses yeux…
Eh oui, si j’avais jusqu’à présent réussi à contenir mon excitation à des dimensions raisonnables et compatibles avec la tenue précédente, ses mains et son souffle sur ma peau, la vision troublante que m’offre sa position, ont définitivement eue raison de moi, comme elle reste silencieuse, je lâche :
- Ben oui, qu’est-ce que tu veux, tu me fais toujours autant d’effet…
- Mais c’est très bien, je commençais à me demander si tout allait bien, tu sais… Ça fait déjà un petit moment que j’ai chaud au ventre, moi !
- C’est le privilège des filles… Mais tu ne peux pas me laisser dans cet état…
Elle fait quelques clichés de moi en guêpière et bas fixé aux jarretelles, juchée sur mes escarpins, mais le sexe érigé offert à toutes les tentations…
- Attends j’ai une idée…Pour te soulager maintenant…
Elle se rhabille à la va-vite dans son tailleur, elle remonte le rideau et avant de disparaitre, elle me lance :
- Attends-moi, j’en ai pour une minute, je reviens de suite…
Et la voilà partie !

Deux minutes plus tard, Isabelle revient mais suivie par une jeune femme ! Sans me laisser le temps d’ouvrir la bouche pour lui dire mon léger mécontentement, car je suis à moitié nue au milieu du magasin, elle nous présente.
- Ambre, tu as devant toi, Leslie, une transexuelle amatrice de lingerie ! Leslie, voilà Ambre, mon amie vendeuse dans le magasin d’à côté et aussi mon amante occasionnelle, je lui ai déjà parlé de toi et m’a demandé à te voir en vrai…
- Salut Leslie ! Me lance Ambre.
- Euh… bonjour, Ambre.
- C’est vrai que t’es mignonne tout plein comme ça, tu me fais voir un peu ?

Bon, de toute façon je suis piégée par Isabelle, Ambre est là et en plus, elle est jolie.
Elle aussi est juchée sur des immenses talons aiguilles, encore plus grands que les miens, brune les cheveux longs encadrant un petit visage doux orné de deux améthystes envoûtantes.
Son corps, dissimulé par une jolie robe noire s’arrêtant à mi-cuisses, et une poitrine apparemment voluptueuse, mais moins de courbes aux hanches… Ses jambes sont gainées de nylon blanc, mais je suis certaine qu’il ne s’agit pas de collants !
Tout ça, je l’observe tout en déambulant un peu dans la boutique devant les deux femmes, en guêpière le sexe nu et dressé, indécente…
- Allez, Leslie, me rappelle Isabelle, Ambre va te soulager…

Isabelle les yeux brillants vient de dire cela de façon très naturelle ce qui provoque chez Ambre une réaction, car je la vois passer se petite langue lubrique sur ses lèvres.
- Ce sera avec plaisir ! Déclare Ambre.
J’ai compris, Isabelle a été cherché son amante pour me soulager et la nouvelle venue commence aussitôt à s’approcher de moi, sous l’œil attentif d’Isabelle, qui ne va rien perdre du spectacle.
Ambre, maintenant près de moi, ne se prive pas de me frôler de façon sensuelle, caressant délicatement mon sexe plein d’ardeurs.
- Tu ne veux pas quitter ta robe ? Demande Isabelle à Ambre. Ainsi tu seras en petite tenue comme nous ! En plus ça va être rigolo !
Elles échangent un long regard puis, avec un petit haussement d’épaule, Ambre soupire :
- Ok, comme tu veux, on verra bien…
- Je suis certaine que Leslie va apprécier, dis Isabelle.
- Leslie, tu veux bien me déshabiller ? Me demande Ambre, je suis sûre que notre amie appréciera.

Je ne me fais pas prier, et face à isabelle et à son objectif, je passe dans le dos d’Ambre et tout en lui donnant de petits baisers dans le cou et sur ses douces épaules dégagées, je fais descendre mes mains de ses aisselles à ses cuisses en une légère caresse, frôlant au passage les rondeurs de sa poitrine.
Puis, saisissant le bas de sa robe, je la remonte lentement, dévoilant tour à tour ses cuisses, son entrejambe, son ventre et ses seins et d’un coup la robe retroussée sur ses bras levés au-dessus de sa tête disparait pour terminer sur un présentoir près de nous.
De dos, je peux que constater que sa lingerie est assortie à ses bas, je ne m’étais pas trompée…
Je me plaque alors contre son dos, calant mon sexe raide entre ses fesses, tout en partant à la découverte de sa brassière et de ce qu’elle cache. Ambre semble apprécier, elle se tortille un peu en se cambrant pour mieux plaquer son postérieur à mon bas-ventre tout en m’offrant sa superbe poitrine, dont les tétons raidis par l’excitation semblent vouloir déchiqueter le tulle délicat qui les enferme, Ambre se laisse faire et pourtant, je la sens tendue comme un arc, sans que j’en comprenne la raison…

Je poursuis néanmoins mon exploration, attentive au moindre signe de sa part… Mais elle se laisse faire, totalement passive, avec toujours cet étrange mélange de lascivité et d’appréhension.
J’ai vraiment l’impression d’avoir affaire à une vierge, mais n’est-elle pas l’amante d’Isabelle, alors simplement une lesbienne qui n’a jamais goûté aux sexes males…
Mes mains ont maintenant atteint le haut de ses hanches, ont franchi le porte-jarretelles en dentelle pour trouver la ceinture du string. Elles la suivent, quittant bientôt le satin du dos pour le tulle brodé légèrement élastique du devant, Isabelle semble fascinée par le spectacle.
Alors que je m’approche tout doucement du pubis d’Ambre, mes doigts s’arrêtent, car au lieu de la douce plaine annonçant les timides reliefs, d’un sexe féminin, auxquels je m’attendais, mes doigts touchent un morceau de chair dur sous l’étoffe du string d’Ambre.
Un sexe d’homme bandé et près à s’érigé une fois libéré de sa gangue d’étoffe, un sexe de belles dimensions, qui soulève et déforme sauvagement l’infortuné sous-vêtement !

Je ne bouge plus pendant quelques secondes, des secondes qui me sont nécessaires pour comprendre qu’Isabelle m’a réservé cette surprise, et de comprendre que c’est une transexuelle que je caresse…
Mais, un instant plus tard, infiniment lentement, je reprends ma progression, glissant mes doigts sous le string pour venir enserrer la hampe de chair qu’il héberge. Simultanément, je m’accroupis, laissant glisser ma tête contre le dos d’Ambre jusqu’à venir la nicher au creux de ses reins.
Elle s’est détendue, manifestement heureuse de ma réaction.
- Isabelle, tu aurais pu me prévenir, murmurais-je doucement.
- Je n’aurais pas eu autant de plaisir, dit Isabelle.
- Sans doute pas…
- Tu veux arrêter ? Me demande Isabelle.
- Pourquoi ? Dis-je.
- Tu veux continuer à jouer avec elle ?
Je sens de nouveau le corps d’Ambre se contracter dans l’attente de ma réponse. Pourtant, elle bande toujours à mort entre mes doigts…
- Oui…
- Jusqu’au bout ?
- Oui !
- Alors vas-y, moi je regarde, conclut Isabelle.

A suivre…