Leslie Hs22

Leslie HS22 - Hors-série – Isabelle, l’essayage, suite et fin

Une fois le string aux chevilles d’Ambre, je me redresse et lui fais face, contemplant encore un instant son corps, et je la vois sourire les yeux pétillants de malice.
Dans l’état d’excitation actuel dans lequel je suis, je prends son visage entre mes mains et lui administre une baiser profond en soudant mes lèvres aux siennes et nos langues dansent aussitôt une sarabande torride et mouillée.
A cet instant je suis en guêpière et bas, cul et sexe nu, Ambre elle est nue, le sexe dressé près à me pourfendre, quant à Isabelle, elle ne porte plus que ses bas maintenus pas un porte jaretelles.
Isabelle, délaissant définitivement son reflex, me saisit aux épaules et me force à me plier en deux, les jambes toujours bien droites dans mes talons aiguilles, pour approcher mon visage du membre de son amie. Je me doutais bien qu’elle ne pourrait s’empêcher de se venir prendre part à nos ébats…

Sans aucune hésitation, je pose mes lèvres sur l’extrémité violacé du sexe d’Ambre, puis le bout de ma langue, juste un peu pour constater la fermeté de ce membre offert, qu’aussitôt je prends entre mes lèvres, faisant feuler la belle Ambre…
Elle est aussi lisse que moi, et c’est un régal.
- Tu aimes sucer les belles queues, hein, petite cochonne ? Me demande Isabelle.
Sans oublier de me flatter la croupe de sa main, indubitablement idéalement exposée à ses avances.
- Humm ! Acquiescé-je la bouche pleine.
- Bon, il va falloir la préparer, tu as ton petit matériel avec toi ? demande-t-elle à Ambre.
- Oui, J’ai tout dans mon sac, comme d’habitude !

Elles m’entraînent alors vers l’arrière-boutique, où comme je m’en doutais se trouve un lit et un fauteuil et tout ce qu’il faut pour faire une pause où comme à cet instant recevoir une cliente pour un essayage un peu spécial…
Ambre nous délaisse un instant, le temps de fouiller dans son sac à la recherche de son petit matériel, dont je gage que vous avez deviné la nature…
Effectivement, elle revient vers nous en brandissant un joli gode en disant :
- Allez, présente-nous ton petit cul qu’Isabelle te prépare !
- Allez, pendant que tu recommences à sucer notre copine, je vais te préparer ton petit trou, rajoute Isabelle.

Le gode fait au moins trois centimètres de diamètre, tout rond, tout lisse, Ambre s’est assise dans le fauteuil et c’est à quatre-pattes que je recommence à la sucer, offerte à Isabelle qui me fait aussitôt une feuille de rose, tout en utilisant ses doigts pour commencer à m’ouvrir. Un peu de gel sur ma rosette et elle m’empale avec l’olisbos, qui n’éprouve aucune difficulté à pénétrer mes entrailles.

Après quelques aller et retours, Isabelle dit :
- Elle est prête, tu peux t’en occuper !
Isabelle me relève et me place debout, cambrée, les mains en appui sur le dosseret du lit, et je me retrouve avec Ambre dans mon dos, son membre dressé prêt à investir mes fesses, mais en prenant son temps, elle regarde et semble apprécier la scène que je lui offre…
Puis les mains de ma partenaire se posent sur mes hanches, pour me m’obliger à descendre mon bassin afin que mes fesses soient à la hauteur de son sexe. Je me laisse guider et descends mes fesses, puis je sens Ambre s’aider d’une main pour placer la pointe de son gland sur ma rosette entrouverte.
Alors, pour faciliter la pénétration, je me cambre instinctivement et Ambre accentue la pression, je me sens lentement ouverte, perforée, c’est que le sexe d’Ambre, sans être de dimensions exceptionnelles, est tout de même de dimensions respectables, au moins en largeur et je le sens quand même passer. Mais, bien lubrifié et assoupli, mon antre prend rapidement la mesure de l’intrus, et elle peut finir de m’empaler jusqu’à la garde.
Seuls nos souffles perturbent le silence de l’arrière-boutique, si tous ces gens qui passent devant le magasin, de l’autre côté du rideau de fer, savaient ce qui se passe à l’intérieur de ce magasin de lingerie, il y aurait foule !

Les mains d’Ambre commencent à me serrer les hanches de ses mains et se met à faire des aller et des retours dans mon fondement.
Bientôt, elle a trouvé un rythme qui me convient, recul assez rapide et avancé tout en douceur, si bien que d’agréables sensations physiques naissent dans mon ventre et je commence à éprouver un intense plaisir et gémit comme une jeune fille qui se fait prendre.
- Tu aimes ça, hein, petite salope ? Miaule Isabelle en s’approchant de nous.
- Ohhh, oui… Je suis une petite salope, Isabelle tu le sais… Baisez-moi !
- Mais bien sûr… Tu es bien ouverte, maintenant, petite Leslie, dit Ambre, allez à quatre pattes, et cambres-toi bien, montre-moi comme tu as envie que je te prenne et que je te troue le cul…
- Humm, j’adore cette vue ! Commente mon enculeuse, tout en se renfonçant en moi.
La levrette me fait sentir encore plus bestialement femelle, encore plus salope.
- Allez, belle enculée, puisque tu veux être une belle salope, lèche-moi donc ! Dit Isabelle.
Et elle s’allonge sur le dos devant moi en écartant ses jolies cuisses gainées de nylon noir.

Je m’avance aussitôt vers son entrejambe et je donne quelques petits coups de langues à proximité immédiate des zones sensibles, pour la chauffer encore un peu, j’avance mes mains à la rencontre de sa mignonne poitrine, ce qui a pour effet d’encore mieux exposer ma croupe au mandrin qui me perfore toujours, tantôt en un lent ramonage, tantôt presque immobile au plus profond de mon ventre…

Lassées de mes coups de langue, Isabelle a saisi ma tête pour la plaquer avec autorité sur son intimité désormais ouverte et ruisselante, me faisant gouter son nectar de jouissance aux saveurs épicées, masser ses replis cachés, aspirer son petit bouton raidit par le plaisir qui l’emporte, et même mordiller avec force retenue, ses délicats pétales…
Elle semble apprécier et relève de ses mains ses jambes pour m’offrir en une muette mais explicite invitation son œillet, alors plantant mon regard dans le sien, je vais sans hésitation vers ce trésor offert et lui lèche avec plaisir son petit trou. Mais lorsque, raidissant ma langue, je force sur quelques millimètres cette porte intime, elle se raidit et soupire en disant :
- Tu lèches toujours super bien ! On va voir si t’es toujours aussi douée avec ta queue, ma chérie…
- Dis donc, Isabelle, l’interpelle Ambre, ça te dérangerait de me goder un peu ? Sinon, je serais la seule à ne pas être fourrée par le cul et ça, ce ne serait pas juste !
- Ok, attends, je vais te mettre le gode !
- Vas-y, dit Ambre.
Et elle se plaque contre mon dos pour mieux s’offrir.
Une fois son cul dûment garni, elle se redresse puis s’agenouille en me tirant les bras en arrière pour me faire asseoir sur son chibre, libérant et m’exposant mon membre aux appétits d’Isabelle.
Celle-ci ne perd pas de temps et, s’asseyant sur mes cuisses, guide mon sexe dans son antre bouillant d’excitation.
Baiser et être baisé en même temps, ça aussi c’est quelque chose !

Isabelle s’est aussitôt plaquée à moi, nous enlaçant toutes deux et je me retrouve enserré entre les deux poitrines de mes compagnes, massée par quatre tétons raidis de plaisir, tandis que nos lèvres et langues se débrouillent comme elles peuvent pour enchaîner de dévastateurs baisers…
Mes mains, à nouveau libres, sont venues se plaquer au cou d’Isabelle, avant de fondre lentement et en douceur le long de son dos, vers sa délicieuse croupe. Je masse un instant ses fesses fermes aventurant rapidement un puis deux doigts à l’orée de son petit trou, qui imbibé de salive et cyprine n’oppose aucune résistance à cette invasion, ce qui tire à Isabelle un langoureux frisson.
Nous réussissons à faire encore durer le plaisir un moment, puis Ambre parvient au bout de sa remarquable endurance et explose en moi et c’est avec un plaisir non dissimulé que je reçois ses jets de foutre au creux de mon ventre…
Mais déjà, Isabelle s’abandonne à son tour au plaisir dans un long feulement étouffé par nos baisers et un petit torrent qui nous inonde le bas-ventre ! Les soubresauts sauvages de son sexe ont presque instantanément raison de moi et je jouis en elle en feulant de plaisir.

Nous restons le plus longtemps possible enchâssés les unes dans les autres, pour profiter encore un peu de ces instants intenses. Puis, à regret, nous nous séparons avant d’entreprendre une rapide toilette avec les moyens du bord, il est bientôt quinze heure, le temps pour Isabelle de se refaire une beauté de rouvrir sa boutique !

Pendant que je rassemble mes affaires, juchée sur mes talons aiguilles et seulement vêtue de ma guêpière et de mes bas, je surprends un petit conciliabule entre les deux filles.
- Leslie ? M’interpelle Isabelle.
- Oui ?
- On voudrait te revoir…
- Oui, rajoute Ambre, j’aimerais que tu me prennes…
- Pourquoi pas, dis-je, j’en ai très envie.
- Alors à bientôt, dit Ambre en retournant dans sa boutique après un rapide baiser d’adieu.
Isabelle, après m’avoir fait une copie des photos sur une clé USB, relève son rideau et avant de nous quitter, elle me glisse à l’oreille :
- Tu vois chérie, je t’ai remplacé, mais tu peux revenir me voir quand tu veux !
- Je ne te promets rien mais c’est très tentant, dis-je.
- Oui, surtout que maintenant il y a Ambre et qu’elle te réclame…

A suivre…