Retour De Vacances
Rentrée samedi dans la nuit d'un voyage vacancier à l'étranger, quelle ne fût ma surprise en allumant mon téléphone de recevoir un texto de Gérard envoyé jeudi!
Mon petit coquin s'est accordé un petit plaisir avec ses joujoux tout en lisant les histoires déjà écrites!
Malgré l'impatience qui me chauffait le ventre, il fallut attendre le lundi, pour lire le feu vert.
Le parcours pour atteindre sa maison me parut encore plus long que d'habitude.
Mon cerveau décousu par l'envie fonctionne à cent à l'heure.
Des images lointaines resurgissent : toi allongé, déjà empalé et prêt pour jouer ou en attente et te branlant bien fort , ta main entre tes fesses pour me faire le passage...
"Je suis ton soumis"a-t-il écrit.
Arrivée dans la cour, je tente de me re-saisir, et fait descendre de la chambre l'expéditeur prétextant ne pas savoir fermer la porte .
La première chose que je vis paraitre fût son membre bien bandé comme à l'accoutumée.
Dès la dernière marche,je m'en empare goulument pour lui dire bonjour tandis qu'il fait honneur à mon trou en le caressant sans ménagement.
Et il remonte le premier m'offrant la vision de son joli petit derrière.
Sur le lit, n'attendant que l'usage sont étalés les joujoux par ordre de grosseur.
Il s'installe directement le dos tourné,les jambes repliées en avant, me présentant son cul en invite. Je m'agenouille au pied du lit, et écarte avec délicatesse ses fesses ainsi offertes.
Malgré l'envie de le baiser directement, je me surprends à caresser son antre du bout des doigts, suffisamment fort toutefois pour voir une réaction quasi instantanée.
A peine quelques caresses tout autour et le petit trou s'ouvre, suggérant une invite.
En même temps que mon index le pénètre, ma langue s'active autour de sa pastille.J'en profite pour déposer un peu de salive afin de faciliter le passage.
Je me faufile derrière lui afin de saisir avec mes mains sa queue qu'il est en train de branler, et tout en regardant ce spectacle magnifique, je pense à lui enfoncer un des objets .
Alors, tout en le regardant,jenduis copieusement un des joujoux que je m'introduis sans vergogne dans la chatte ruisselante.
Puis je lui plante un, puis deux doigts dans lanus en guise de préliminaire.
Hum ! Il était bien prêt, car aussitôt sa rondelle sélargit !
Désormais Gérard est allongé sur le dos, les genoux repliés et écartés me laissant à loisir profiter du spectacle de son petit trou.
Les yeux dans les siens j'ai rapproché tout doucement ma langue vers son entrejambe en léchant délicatement ses bourses gonflées et me suis mise à lécher sa corolle brune.
Ma bouche avide a commencé à titiller ce recoin si sensible avant de senfoncer plus profond déclenchant des petits sons de plaisir de part et d'autre.Constatant que le petit cul s'offrait plus généreusement,j'ai alors refait glisser deux doigts dans sa raie.
J'ai passé un coup de langue entre ses jambes et branlé un peu sa queue contre son ventre, puis fouillé de l'index son illet qui se rétractait au fil de mes entrées.
Ouvrant plus encore ses fesses avec le pouce de la main qui l'aurait bien pénétré, j'ai fait coulé de la salive sur sa rosette et l'ai introduit avec, en plus des deux autres.
Le gourmand apprécie la caresse intérieure, je pourrai même ajouter encore un doigt ou peut-être bien la main.
Mais le jeu m'a enflammé,et donné une grande envie de le prendre à fond .
D'un regard, nous nous sommes compris et son cul s'est ouvert à la bonne taille.
Très excitée, je me suis relevée,j'aurai voulu pouvoir enfiler en même temps la ceinture et lui introduire le gros gode directement ,tant son petit trou était en attente..
Mais Gérard profita de ma maladresse pour se décontracter et changer de position.
Me fixant de son regard insolent, il se remit assis les jambes écartées.
Ne me démontant pas, et maintenant harnachée avec le plus gros des godes, je n'avais plus envie de suivre le scénario fixé.
On avait convenu de commencer par le plug pour dilater et pouvoir s'amuser ensuite avec le moyen et jouir avec le plus gros.
Il me demanda d'y aller doucement et j'acquiésais avec un sourire.
N'écoutant que mes pulsions qui me ravage le ventre,je commence à le caresser avec le bout du joujou; il se met à frétiller. Je repars voir avec ma langue si la douceur va résister tout en maintenant le joujou sur son trou, que j'humecte au passage avec ma salive.
Force est de constater que malgré ses dires Gérard n'attend que la pénétration.
Les jambes frémissantes de désir, j'approche de son anus déjà refermé.
Le joujou en place sur la ceinture, je me glisse, assise et les jambes écartées aussi en face de lui jusqu'au moment où le bout du sexe mythique effleure sa petite entrée.
Ainsi,sans hésiter je lui rentre le gode tout entier et attend quelques secondes avant de le retirer.
En fond j'entends qu'il me dit "doucement", je suis toute à mon extase, ne pouvant ôter mon regard de ce spectacle si excitant.
A plusieurs reprises je lui met tout entier, prends une pause et le retire tout aussi lentement.
Je sens nos plaisirs croîtrent.
Devant si peu de résistance,j'accélère la cadence et commence à le défoncer violemment tout en le maintenant par la taille afin qu'il ne puisse se dégager.
Je lime son anus avec vigueur me rappelant le plaisir éprouvé quant il me prend ainsi aussi fort.
Mon regard ne peut se détacher de ce spectacle enivrant. Est-ce mon corps, est-ce le sien qui tremble ainsi?
Mon ventre tout entier bouillonne et les battements de mon cur s'accélère.
A bout de résistance je laisse échapper mon plaisir entre mes jambes et ne voit pas arriver son éjaculation qui m'asperge le visage et les yeux,me faisant revenir sur terre douloureusement.
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