De L'Épistolaire Au Réel... De Passionnée À Soumise...
Après cet épisode tendrement amoureux, nous avions elle et moi une impatiente envie de recommencer le plus vite possible
Nous nous sommes retrouvés sur MSN en continuant déchanger des mots tendres et de petits scénario forts forts excitants
De plus en plus souvent, cétait des histoires où elle métait soumise
de plus en plus soumise
des histoires, où elle cédait de plus en plus de terrain sur ses tabous, ses interdits. Des songes, où elle offrait son corps à mes fantasmes, mes envies qui voulaient refouler ses inhibitions au point quelle accepterait ce quelle avait refusé à ces autres partenaires
Je la sentais prête à franchir ce pas qui la séparait de linconnu et qui la conduirait peut-être encore plus loin sur le chemin dune complète libération sexuelle.
A quelque temps de là, nous convînmes dun autre rendez vous et je repartais la retrouver dans une chambre dhôtel, au Nord équatorial de notre tendresse qui devenait de plus en plus réel
palpable devrais-je dire.
Jarrivais le premier déjà follement impatient. Elle gratta la porte quelques minutes après. Jouvris et la pris dans mes bras pour un long et fougueux baiser.
Fébrilement je lui enlevais la ceinture de son jean pendant quelle faisait céder la mienne Nous faisions les mêmes gestes en miroir
un miroir déshabilleur comme le poker mais en moins risqué et bien plus agréable.
Enfin nus, nous prîmes le lit dassaut en long baisers où nos langues semmêlaient tendrement tandis que nos doigts curieux, repartaient à la re-découverte de nos corps.
Elle empoignait ma virilité, me branlait, pendant que je pénétrais de mes doigts son intimité déjà chaude, déjà trempée et déjà offerte. Nous restâmes un long moment à profiter des cette tendresse lubrique. Peu à peu, je laissais un de mes doigts passer sur lanneau toujours secret, toujours vierge, caché dans létroite vallée de sa raie
Cédant à la fougue et à ma curiosité, je mettais trois doigts dans son antre avant den sortir un, le plus long qui lubrifié de ses transpirations, entra sans peine entre ses fesses
Elle se serra un peu plus contre moi me planta ses ongles dans le dos mais me laissa aller un peu plus loin
La barrière cérébrale, saffaissait et laissait le champs libre à une plus grande exploration de son corps.
Tout cela se faisait comme en dehors de notre contrôle puisque nous ne cessions de nous regarder en nous embrassant goulument.
Jétais ému du cadeau quelle était en train de me faire en permettant à mes doigts dentrer dans cette partie sensible, inexplorée, entièrement vierge.
Nous roulions lun sur lautre et je ne sais plus comment nous en arrivâmes là, mais je me retrouvais la langue plantée dans son sexe pendant quelle dévorait le mien. Jétais en dessous et en profitais pour retrouver sur ma langue les douces fragrances et le goût salé et doucement ferreux des émanations de son excitation grandissante.
Elle descendit et se mit entre mes jambes, son regard planté dans le mien. Sans me quitter des yeux, elle fit aller sa langue de mes perles comme elle dit- à ma tige et jusquau sommet de mon gland gorgé de sang et de désir. Elle posa sa bouche sur le haut du gland et me regardant avec un sourire malicieux, elle entrouvrit les lèvres pour laisser ce sexe tendu pénétrer dans sa bouche.
-« Hummmmmmm oui ma chérie, suce moi, tu le fais si bien
HUMMM cette langue
comment fais tu cela ? »
Elle continuait et je me gardais bien de lui dire quoique ce soit, lui laissant le plaisir de me découvrir pendant que je caressais ses cheveux et son cou pour accompagner le rythme quelle avait envie dimprimer à ces amoureuses succions
Je me caressais les pointes très lentement pour ne pas affoler mes sens et les laisser me déborder. Je voulais, comme elle dailleurs, que cela dure encore et encore. Une main sur ma tige et une autre sur mes perles, je savourais ces délicieux instants de bonheur intenses. Je ne me souvenais pas quon mait sucé avec tant de tendresse, damour et de savoir faire.
Je la ramenais vers moi doucement et embrassais ses seins, les caressant, les pressant entre mes mains câlines, pinçant légèrement les pointes éternellement dressées.
Accoudé sur le lit, je passais une de mes jambes sur elle et fini par me retrouver sur elle.
Jouvris ses jambes caressant du pouce son clito tout rond, sensible et baignant dans son envie, généreusement visqueuse . Je présentais mon sexe à lentrée de son vagin appuyant mon gland délicatement pour que sécartent les grandes lèvres et me laissent aller plus loin. Les petites lèvres cédaient petit à petit et jentrais tout mon gland en elle avant de mimmobiliser complètement.
Elle fit de grands mouvements de bassins pour sempaler magrippant les hanches pour me tirer à elle. Je mis ses jambes sur mes épaules, lui pris les poignets et lui dit dune voix douce mais ferme :
-« Ne bouge plus et laisse moi faire. Tu nas pas le droit de bouger
attend !!! »
Elle ne bougeait plus et se livrait à ma cruauté, attendant une intrusion plus profonde plus nette et surtout plus rapide
Je la fis languir encore un peu lui caressant les seins, les hanches et le ventre en lui disant des mots damour :
-« Tu es belle ma tendre ainsi offerte à mon désir. Ne bouge pas, laisse toi aller et accepte dattendre tu veux bien ? »
-« Oui mon amour mais viens en moi sil te plait » me dit-elle.
-« NON ne bouge pas tu nas pas encore mérité que jaille plus loin. »
Je voulais prendre un rôle que je navais jusque là pris que dans les scénario que je lui envoyais. Le rôle de celui qui décide et dirige les débats la laissant dans le rôle de plus en plus précis de celle qui se conforme et qui attend les désirs de son amant.
-« Je veux que tu toffres, que tu te donnes. En es tu capable mon amour ? »
-« Oui mon cur jen suis capable »
-« Tu en es sure, je peux faire ce que jai envie de faire ? »
-« Oui » répondit-elle
-« Tu sais ce que je veux nest-ce pas ? »
-« Oui je le sais » souffla t-elle.
-« Et de quoi ai-je envie mon amour ? »
Elle ne répondit pas
« Hé bien, de quoi ai-je envie ? »
-« de ce que tu mas écris la dernière fois »
-« quavais-je écris ma tendre ? dis le moi ! »
Elle luttait encore pour ne pas céder ce quelle navait jamais accordé à personne.
Dune voix forte je lui dis alors :
-« DIS LE !!!»
-« Que tu voulais mes fesses »
-« Non, je ne lai pas écris comme ça, fais un effort et dis moi ce que jai écris COMME je lai écris «
-« Que tu voulais mon cul » dit-elle en rougissant.
Non seulement, elle navait jamais été sodomisée, mais en plus, elle navait JAMAIS parlé crument.
Afin dasseoir un peu plus une autorité relative, puisque cest elle qui me laccordait, je répétais :
-« redis le ! »
-« Tu as envie de prendre mon cul »
-« Oui en effet et toi, tu as envie de me le donner ? »
Elle souffla sans rien dire .
-« HE BIEN ? TU EN AS ENVIE OU PAS ??? »
-« Oui ! »
-« Tu as envie de quoi dis le moi en faisant une phrase ! »
-« Jai envie que tu me prennes le cul »
-« Tu me donnes ton cul amour ? »
-« Oui je te donne mon cul mon tendre »
jarrivais à dextatiques sommets dexcitation et je bandais comme jamais
Elle ne me cédait pas vraiment
.elle soffrait à moi et cela me troublait profondément.
Je sentais confusément quelle jouait le jeu sans le jouer vraiment, que cela cachait autre chose, mais je ne savais pas quoi.
Excité, je posais mon gland sur la rosace vierge de son cul que je venais de lubrifier dun doigt enduit de salive. Je poussais doucement, tendrement sur cet anneau et là, surprise, il céda sans que jai à forcer, comme sil se fut agit de son sexe.
Jen déduis quelle voulait REELLEMENT moffrir son cul comme un inestimable présent.
Mon sexe entrait lentement entre les lobes généreux de ses fesses inexplorées. Je narrêtais pas jusquà ce que mon sexe arrive au bout de cet espace inconnu de tous
Sauf de moi désormais. Jentamais, un rythme très lent mais inexorable. Javançais doucement et me reculais sans marrêter. Les allés retour mattiraient vers les sommets des sensations les plus tendres. Elle était serrée, bien sur, mais jétais aussi perturbé par le fait dêtre le premier à emprunter cette voie là que par le fait quelle jouait le rôle dune soumise qui soffrait pleinement.
Ses jambes étaient toujours sur mes épaules et je décidais daller un peu plus vite.
-« Je ne te fais pas mal mon amour ? »
-« Non, je nai pas mal »
-« Tu veux que je continues ? »
-« oui »
-« oui quoi ? tu veux que je continues à tenculer ? »
-« Oui »
-« dis le ma douce, dis le moi »
Je savais que je lui demandais quelque chose quelle navait encore jamais fait et quen plus, je lui demandais de me le dire ce qui visiblement la troublait et la faisait rougir fortement.
-« Oui amour continues de menculer. »
Je repris un rythme un peu plus rapide attentif à ne pas lui faire mal, continuer sans la heurter mais faire en sorte quelle maccepte, quelle se donne à moi. Elle gémissait mais pas de douleur, juste de cette nouvelle sensation dêtre prise autrement, pleinement, entièrement.
Je lui dis alors :
-« Ecartes tes fesses mon amour, montre moi que tu en as VRAIMENT envie ! »
Elle mis ses mains de chaque côté de ses lobes fessiers et écartant ses fesses, elle répondit
« Encules moi encore »
Après un long moment, je me retirais delle lentement pour ne pas lui faire mal et je me penchais sur elle pour la couvrir de baisers. Je me levais pour aller me laver un peu et je revins vers elle. Elle avait toujours les jambes ouvertes et je les repris sur mes épaules, je posais mon gland sur son cul faisant mine de vouloir y retourner. Elle me laissait faire tendrement alanguie.
Je glissais alors vers son sexe et jentrais fermement en elle. Je marrêtais à mi-chemin.
-« Tu me la donne aussi ta chatte ma chérie ? »
-« oui mon amour je te la donne »
jentrais, un peu brutalement pour me planter an fond delle. Elle soupira et me dit :
-« Hooooooooo putain mais que cest bon, !!! Enfonce toi enfonce enfonce !!! »
Elle posa ses doigts sur mes tétons en les faisant rouler doucement sous la pulpe de ses doigts et je dus faire appel à toutes mes ressources, pour ne pas me laisser aller à jouir en elle
pas tout de suite. Je lui pris les poignets pour ne pas craquer plus que pour montrer ma force et mon emprise sur elle, en disant :
-« Arrête ma salope , je ne veux pas jouir tout de suite ».
Je me penchais sur ses lèvres et lembrassais à bouche que veux-tu
Elle me rendait chacun de mes baisers fouillant ma bouche de sa langue . Je restais planté en elle murmurant des mots doux et tendres mélangés de « merci mon amour pour ce cadeau merveilleux ».
Après un peu de repos, nous reprîmes nos caresses, nos baisers fous. Je descendais vers son ventre pour lui lécher longuement la chatte et lui nettoyer le cul de ma langue, la boire entièrement et la goûter complètement.
Elle se laissa aller avant de me relever pour me mettre sur le dos et me faire la même chose. Elle me suça longtemps en me fixant de ses grands yeux où je pouvais lire tout son amour et sa tendresse.
Elle vint ensuite me chevaucher et glissa mon sexe dans le sien avec des yeux gourmands
Elle entama immédiatement une chevauchée denfer guidant son plaisir et le mien.
Au bout dun moment, son regard devint plus trouble, je savais quelle était en train de perdre pied et quelle allait enfin jouir. Elle se mit à miauler comme la fois précédente.
Doucement dabord, puis de plus en plus fort.
Par prudence et avant que ses griffes ne me lacèrent, je lui pris les poignets tout en accompagnant ses mouvement amples sur ma bite. Elle sallongea et essaya de me mordre. Je lenveloppais de mes bras pour éviter les morsures, mais elle réussit à me mordre lépaule. « AÏE !!! arrête !!! » lui dis-je, mais cétait peine perdue puisquelle était en train de jouir et quelle ne sappartenait déjà plus.
Je la relevais, lâchais un de ses poignets pour lui claquer les seins et lui pincer les pointes.
-« Arrête de me mordre salope ! »
Elle miaula encore plus fort comme une chatte qui attaque et chercha à me griffer encore une fois. Je repris sa main dans la mienne en entremêlant nos doigts.
Elle continua de bouger et de miauler puis sapaisa tout doucement avant de sallonger sur moi sans chercher à me mordre cette fois .
Nous restâmes ainsi un long moment enlacés, ma bitte dans sa chatte trempée.
Je débandais lentement en lembrassant tendrement.
-« Je ne tai pas fait mal mon amour ? » risquais-je
-« Ho non, cétait génial ! »
Oui ça lavait été pour moi, je le lui dis ajoutant :
« ça ne ta pas fais mal du tout ? »
-« Si un peu mais cest pas vraiment une douleur
Ca fait quand même tout bizarre »
-« Si tu le veux, nous recommencerons une autre fois »
-« oui, si tu veux mon amour . Jaime bien quand tu fais « lamant » .»
???
Je compris vaguement sans comprendre. Faire « lamant », cétait sans doute un peu sa façon de me dire « quand tu es le maître »
Mais je nen étais pas sur du tout.
Cela demandait des éclaircissements et jétais déterminé à en avoir le cur net un peu plus tard.
Elle ajouta :
-« Jai bien aimé quand tu mas dit « salope » »
-« Quoi ??? je tai dis ça ? »
-« Oui deux fois ! »
-« Non cest pas vrai ??? »
-« si cest vrai »
-« Je ne tai pas choqué ? Je suis désolé, mais je ne le dis pas dordinaire »
-« non, je ne suis pas choquée du tout cétait bon même, à ce moment là »
HOULA, si je mattendais
Je ne suis habituellement pas très bavard lorsque je fais lamour et voilà que non seulement je métais mis à parler, mais quen plus de cela, javais prononcé des mots que mon respect pour la femme dans ces moments de tendresse minterdit de dire.
Nous venions de franchir elle et moi, un cap, inattendu et qui ouvrait dénormes perspectives.
Ces aveux, cette conversation mexcitait et elle sen aperçu. Reprenant mon sexe dans sa main pour me branler tendrement, je la laissais faire en lui disant :
-« tu aimes ma bitte ? »
-« Oui je laime »
-« Tu aimes la sucer ? »
-« oui beaucoup ! »
-« Alors quattends tu pour le faire ? »
Sa bouche sapprocha de ma bitte et elle lui laissa passer la barrière de ses lèvres.
-« Oui suce moi ma petite salope ».
Cette fois, je lavais dis volontairement. Mon cur battait plus vite et je sentais une excitation inhabituelle menvahir
Je me prenais au jeu du maître et elle à celui de la soumise.
-« Tu as aimé que je te prenne le cul ma salope ? »
Je lui pris les cheveux pour lui sortir la bitte de la bouche et lui laisser me répondre :
-« Oui jai aimé que tu me prennes le cul ! »
-« Jai envie de jouir dans ta chatte. Tu veux bien ? »
-« Oui, mon tendre jai envie. »
-« mets toi en levrette »
Elle sexécuta, se mis à quatre pattes moffrant la vision de ces fesses moins vierges que ce matin. Je lui fis resserrer les jambes, je pris mon sexe en main et lappliquais vers le bas de la fourche de ses jambes.
Lentement je remontais vers lentrée de sa chatte offerte, et jy entrais en vainqueur, fermement, autoritairement. Arrivé au fond de ce sexe, je fis claquer mes perles contre ses cuisses serrées.
Brusquement, jarrêtais. Elle fis un mouvement de recul pour encore sempaler mais je mettais mes mains sur ses reins pour len empêcher.
Dun voix rude je lui intimais :
-« Dis moi que tu es ma salope et que tu mappartiens désormais. »
Elle restait muette.
Je fis de nouveau claquer ma peau contre la sienne de façon assez brusque et nette
-« Hé bien ? dis que tu mappartiens désormais »
Dune toute petite voix elle repris :
-« Oui je tappartiens désormais »
-« PLUS FORT MA SALOPE !!!»
Elle reprit plus fort :
-« Oui je tappartiens désormais, je suis à toi »
-« Tu es ma salope ? »
-« Oui, je suis ta salope » lâcha t-elle enfin !
A ces mots, et devant ce nouveau cadeau, sa première soumission je ne pus me retenir et je la pénétrais avec force et vigueur ne pouvant plus marrêter. Soudain, tout se mélangeait dans ma tête, mes tempes bourdonnaient et je fus surpris par la force de ma jouissance
Partie de derrière mes jambes, jétais emporté par un cyclone de jouissance et je criais :
-« HOOOOO mon amour JE TAIME !!! »
Je mécroulais sur son dos et elle sallongea dans le même mouvement. Pour ne pas lécraser, je roulais sur le côté en embrassant son dos et en la serrant contre moi.
Nous parlâmes longtemps de cet épisode si nouveau pour nous deux. Je lui avouais avoir été fort fort troublé et elle me répondis quelle létait aussi et quelle avait pris beaucoup de plaisir.
Nous dûmes penser à nous rhabiller pour reprendre le cours de nos vies respectives avec ce serrement peiné dans la gorge et limpatience de se retrouver très très vite
Pour un autre épisode, un autre voyage, un autre monde
Tout neuf et rien quà nous
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